La délégation française, qui séjourne en Algérie dans le cadre de sa participation au 5éme seminiare régional des fonctionnaires parlementaires, a eu de nombreux entretiens avec des responsables algériens. Ces entretiens ont porté sur la promotion de la coopération bilatérale entre les deux pays. Conduite par les présidents des Groupes d'amitié «France- Algérie», le sénateur Claude Domeziel et le député Bernard Derosier, cette délégation a eu ainsi à rencontrer le président du CNES (Conseil national économique et social). Selon le communiqué rendu public par l'institution que préside Mohamed Seghir Babes les discussions ont porté sur les voies et moyens à même de «contribuer plus puissamment au renforcement de la coopération algéro-française et à la promotion des échanges multiformes entre les deux pays et les deux peuples», Les deux délégations ont, en outre, réitéré leur conviction «d'avoir à explorer de toutes nouvelles pistes qui soient à même d'accompagner l'ambition politique exprimée à l'échelon institutionnel le plus élevé de leurs Etats respectifs, et tendant en effet à marquer du sceau de l'exemplarité une relation (...) qui n'en requiert pas moins audace et anticipation ». Ainsi donc, les deux parties sont sur la même longueur d'ondes et reconnaissent, en filigrane, que les relations algero-françaises sont nettement en deçà des espérances et c'est pourquoi il est clairement dit que pour transcender cette situation, il est impératif d'avoir de l'audace et de l'anticipation. Au-delà des pesanteurs de l'histoire commune qui ont souvent été un facteur de blocage du développement des relations entre les deux pays, L'Algérie n'a cessé de mettre en avant la frilosité des entreprises françaises qui, contrairement aux opérateurs économiques d'autres pays européens, traînent le pas dés lors qu'il s'agit d'investissements. D'ailleurs, Mohamed Seghir Babes a eu a rappeler que le «format inédit emprunté par la session conjointe tenue récemment entre le CNES d'Algérie et le CESE de France alternativement à Alger et Marseille, avait permis de dessiner un chemin partenarial propre à nourrir des perspectives opérationnelles crédibles, car fortement portées par les segments les plus vivaces des sociétés civiles organisées représentées au sein de leurs espaces institutionnels».«L'échange à ce propos qui s'en est suivi a permis aux deux parties d'envisager une réflexion/action croisée, mettant en œuvre les éléments de synergie qu'autorisent les ancrages multiples de leurs mandats respectifs, ouvrant ainsi la possibilité d'en combiner les vertus pour les hisser à un haut niveau »relève encore le communiqué du CNES. MM. Claude Domeizel et Bernard Derosier ont eu aussi à s'entretenir avec la vice-présidente du Conseil de la nation, Mme Zohra Drif Bitat. Des entretiens qui ont porté sur le développement des relations parlementaires entre les deux pays. Abdelaziz Ziari, le président de l'APN a tout récemment effectué une visite en France à l'invitation du président de l'Assemblée nationale française, Bernard Accoyer, et où il a été question, lors des discussions, de dynamiser «la diplomatie parlementaire». Ziari a d'ailleurs accordé, hier, une audience au président du groupe d'amitié France –Algérie, le député Bernard Derosier . Bernard Derosier a eu des entretiens avec le président du groupe parlementaire d'amitié Algérie -France à l'APN, Belkacem Belabbas. En plus des relations parlementaires, les deux parties ont évoqué la question de la libre circulation des personnes et des biens entre les deux pays et, à ce titre, Derosier a affirmé qu'il fournira davantage d'efforts en vue de faciliter les mesures de circulation des Algériens en France. La délégation française, qui séjourne en Algérie dans le cadre de sa participation au 5éme seminiare régional des fonctionnaires parlementaires, a eu de nombreux entretiens avec des responsables algériens. Ces entretiens ont porté sur la promotion de la coopération bilatérale entre les deux pays. Conduite par les présidents des Groupes d'amitié «France- Algérie», le sénateur Claude Domeziel et le député Bernard Derosier, cette délégation a eu ainsi à rencontrer le président du CNES (Conseil national économique et social). Selon le communiqué rendu public par l'institution que préside Mohamed Seghir Babes les discussions ont porté sur les voies et moyens à même de «contribuer plus puissamment au renforcement de la coopération algéro-française et à la promotion des échanges multiformes entre les deux pays et les deux peuples», Les deux délégations ont, en outre, réitéré leur conviction «d'avoir à explorer de toutes nouvelles pistes qui soient à même d'accompagner l'ambition politique exprimée à l'échelon institutionnel le plus élevé de leurs Etats respectifs, et tendant en effet à marquer du sceau de l'exemplarité une relation (...) qui n'en requiert pas moins audace et anticipation ». Ainsi donc, les deux parties sont sur la même longueur d'ondes et reconnaissent, en filigrane, que les relations algero-françaises sont nettement en deçà des espérances et c'est pourquoi il est clairement dit que pour transcender cette situation, il est impératif d'avoir de l'audace et de l'anticipation. Au-delà des pesanteurs de l'histoire commune qui ont souvent été un facteur de blocage du développement des relations entre les deux pays, L'Algérie n'a cessé de mettre en avant la frilosité des entreprises françaises qui, contrairement aux opérateurs économiques d'autres pays européens, traînent le pas dés lors qu'il s'agit d'investissements. D'ailleurs, Mohamed Seghir Babes a eu a rappeler que le «format inédit emprunté par la session conjointe tenue récemment entre le CNES d'Algérie et le CESE de France alternativement à Alger et Marseille, avait permis de dessiner un chemin partenarial propre à nourrir des perspectives opérationnelles crédibles, car fortement portées par les segments les plus vivaces des sociétés civiles organisées représentées au sein de leurs espaces institutionnels».«L'échange à ce propos qui s'en est suivi a permis aux deux parties d'envisager une réflexion/action croisée, mettant en œuvre les éléments de synergie qu'autorisent les ancrages multiples de leurs mandats respectifs, ouvrant ainsi la possibilité d'en combiner les vertus pour les hisser à un haut niveau »relève encore le communiqué du CNES. MM. Claude Domeizel et Bernard Derosier ont eu aussi à s'entretenir avec la vice-présidente du Conseil de la nation, Mme Zohra Drif Bitat. Des entretiens qui ont porté sur le développement des relations parlementaires entre les deux pays. Abdelaziz Ziari, le président de l'APN a tout récemment effectué une visite en France à l'invitation du président de l'Assemblée nationale française, Bernard Accoyer, et où il a été question, lors des discussions, de dynamiser «la diplomatie parlementaire». Ziari a d'ailleurs accordé, hier, une audience au président du groupe d'amitié France –Algérie, le député Bernard Derosier . Bernard Derosier a eu des entretiens avec le président du groupe parlementaire d'amitié Algérie -France à l'APN, Belkacem Belabbas. En plus des relations parlementaires, les deux parties ont évoqué la question de la libre circulation des personnes et des biens entre les deux pays et, à ce titre, Derosier a affirmé qu'il fournira davantage d'efforts en vue de faciliter les mesures de circulation des Algériens en France.