Les habitants du tristement célèbre bidonville «Bastos», dans la commune de Bordj Menaiel, à l'est du chef lieu de la wilaya de Boumerdès, sont dans le désarroi. Ils vivent le calvaire au quotidien, faute de commodités de base, ce qui leur a rendu la vie difficile. Les habitants du tristement célèbre bidonville «Bastos», dans la commune de Bordj Menaiel, à l'est du chef lieu de la wilaya de Boumerdès, sont dans le désarroi. Ils vivent le calvaire au quotidien, faute de commodités de base, ce qui leur a rendu la vie difficile. Ils habitent dans des conditions humainement inacceptable. Ils vivent «au rythme des changements des responsables à la tête de la commune», sans qu'aucun de ces derniers n'ait fait un geste pour mettre fin à une situation qui n'a que trop durée. Ce bidonville en question a été construit dans les années 80 et abrite actuellement plus de 250 familles. Ces habitants se plaignent ainsi de la situation causée par la hausse du mercure, notamment, durant la saison estivale. En effet, ces familles bouillonnent sous l'effet de la canicule. Ces recasés sont à la merci de la chaleur, car à l'intérieur même de ces taudis la chaleur grimpe vertigineusement. Pendant notre passage, ces habitants, qui ne savent plus à quel saint se vouer, ne demandent qu'un simple geste de la part des autorités. Ils ne «veulent pas êtres le cheval de bataille des chasseurs de voix pendant les échéances électorales», nous dit-on. Wilem Mouloud, habite ce site depuis 15 ans. Handicapé, ce père de famille vivote avec ses quatre enfants dans des conditions intenables. Son épouse est atteinte d'une maladie chronique à cause de la dégradation de la bâtisse qu'ils occupent depuis plus de quinze ans. «Nous avons frappé à toutes les portes afin d'avoir un logement décent, mais en vain», nous dira notre interlocuteur. «Je suis handicapé, je vis grâce à la prime du ministère de la solidarité nationale et je n'arrive pas à subvenir aux besoins de mes enfants, et je n'ai droit à aucuneforme d'aide au logement», tonne toujours notre interlocuteur. Ce bourg devient de plus en plus un refuge pour beaucoup de gens qui viennent de diverses régions du pays. A l'intérieur de ce site, les conditions de vies sont intenables. La plus parts des gourbis menacent ruine particulièrement en hiver, l'absence d'arbres a accentué le marasme. Par ailleurs, les voies dudit site ne sont pas bitumées, les habitants sont dépourvus de l'électricité, du réseau d'assainissement, de l'eau courante. La quasi-totalité des occupants de ce site, ne survivent que grâce à des emplois temporaires. Le commerce informel devient légion dans la commune de Bordj Menaiel. «La plupart des habitants n'ont pas un emploi stable, tantôt nous vendons divers produits dans les marchés, tantôt nous exerçons de petites bricoles dans les parages», fulmine encore Mouloud. Ils habitent dans des conditions humainement inacceptable. Ils vivent «au rythme des changements des responsables à la tête de la commune», sans qu'aucun de ces derniers n'ait fait un geste pour mettre fin à une situation qui n'a que trop durée. Ce bidonville en question a été construit dans les années 80 et abrite actuellement plus de 250 familles. Ces habitants se plaignent ainsi de la situation causée par la hausse du mercure, notamment, durant la saison estivale. En effet, ces familles bouillonnent sous l'effet de la canicule. Ces recasés sont à la merci de la chaleur, car à l'intérieur même de ces taudis la chaleur grimpe vertigineusement. Pendant notre passage, ces habitants, qui ne savent plus à quel saint se vouer, ne demandent qu'un simple geste de la part des autorités. Ils ne «veulent pas êtres le cheval de bataille des chasseurs de voix pendant les échéances électorales», nous dit-on. Wilem Mouloud, habite ce site depuis 15 ans. Handicapé, ce père de famille vivote avec ses quatre enfants dans des conditions intenables. Son épouse est atteinte d'une maladie chronique à cause de la dégradation de la bâtisse qu'ils occupent depuis plus de quinze ans. «Nous avons frappé à toutes les portes afin d'avoir un logement décent, mais en vain», nous dira notre interlocuteur. «Je suis handicapé, je vis grâce à la prime du ministère de la solidarité nationale et je n'arrive pas à subvenir aux besoins de mes enfants, et je n'ai droit à aucuneforme d'aide au logement», tonne toujours notre interlocuteur. Ce bourg devient de plus en plus un refuge pour beaucoup de gens qui viennent de diverses régions du pays. A l'intérieur de ce site, les conditions de vies sont intenables. La plus parts des gourbis menacent ruine particulièrement en hiver, l'absence d'arbres a accentué le marasme. Par ailleurs, les voies dudit site ne sont pas bitumées, les habitants sont dépourvus de l'électricité, du réseau d'assainissement, de l'eau courante. La quasi-totalité des occupants de ce site, ne survivent que grâce à des emplois temporaires. Le commerce informel devient légion dans la commune de Bordj Menaiel. «La plupart des habitants n'ont pas un emploi stable, tantôt nous vendons divers produits dans les marchés, tantôt nous exerçons de petites bricoles dans les parages», fulmine encore Mouloud.