Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, a présidé, jeudi dernier à l'hôtel Hilton, une cérémonie de sortie de promotion de 1.300 architectes, organisée par le conseil national de l'Ordre des architectes (CNOA) et baptisée du nom de Mohamed Maghlaoui, ancien ministre, décédé récemment des suites d'une longue maladie. Dans son allocution, le ministre a mis en relief «la nécessité de construire autrement et dans le strict respect des normes internationales de l'architecture universelle». Il a notamment insisté sur l'impérieuse obligation de gagner la bataille de la qualité architecturale afin de s'adapter aux changements et mutations ayant lieu dans le reste du monde en termes de créations et d'innovations. «La qualité et l'efficacité ne peuvent être garanties dans l'individualisme, mais seulement dans le regroupement des moyens et des capacités au sein des bureaux d'étude», a-t-il souligné, ajoutant que «les architectes doivent impérativement être aptes à mettre en synergie leurs moyens. Par conséquent, il ne sera plus nécessaire à l'avenir, de penser faire appel aux cabinets d'étude. Mais, il y a lieu plutôt de collaborer avec les bureaux d'étude». C'est ainsi qu'il a solennellement lancé un appel pour la mise en place de véritables bureaux d'étude opérationnels fonctionnant suivant les normes et les standards internationaux, ceci en étroite coopération avec les ingénieurs en génie-civil et d'autres ingénieurs afin d'assurer la promotion de la spécialisation et des études de haut niveau architectural. Ainsi, le représentant du gouvernement n'a pas manqué de signaler que «tous les moyens nécessaires seront mis en œuvre pour atteindre l'objectif de spécialisation des bureaux d'études et de l'architecture de haut standing, et ce en concertation avec les instances locales du CNOA". «Les architectes sont tenus, à l'avenir, d'être de vrais créateurs et non des pollueurs d'environnement, parce que leurs œuvres sont appelées à durer» a-t-il dit. Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, a présidé, jeudi dernier à l'hôtel Hilton, une cérémonie de sortie de promotion de 1.300 architectes, organisée par le conseil national de l'Ordre des architectes (CNOA) et baptisée du nom de Mohamed Maghlaoui, ancien ministre, décédé récemment des suites d'une longue maladie. Dans son allocution, le ministre a mis en relief «la nécessité de construire autrement et dans le strict respect des normes internationales de l'architecture universelle». Il a notamment insisté sur l'impérieuse obligation de gagner la bataille de la qualité architecturale afin de s'adapter aux changements et mutations ayant lieu dans le reste du monde en termes de créations et d'innovations. «La qualité et l'efficacité ne peuvent être garanties dans l'individualisme, mais seulement dans le regroupement des moyens et des capacités au sein des bureaux d'étude», a-t-il souligné, ajoutant que «les architectes doivent impérativement être aptes à mettre en synergie leurs moyens. Par conséquent, il ne sera plus nécessaire à l'avenir, de penser faire appel aux cabinets d'étude. Mais, il y a lieu plutôt de collaborer avec les bureaux d'étude». C'est ainsi qu'il a solennellement lancé un appel pour la mise en place de véritables bureaux d'étude opérationnels fonctionnant suivant les normes et les standards internationaux, ceci en étroite coopération avec les ingénieurs en génie-civil et d'autres ingénieurs afin d'assurer la promotion de la spécialisation et des études de haut niveau architectural. Ainsi, le représentant du gouvernement n'a pas manqué de signaler que «tous les moyens nécessaires seront mis en œuvre pour atteindre l'objectif de spécialisation des bureaux d'études et de l'architecture de haut standing, et ce en concertation avec les instances locales du CNOA". «Les architectes sont tenus, à l'avenir, d'être de vrais créateurs et non des pollueurs d'environnement, parce que leurs œuvres sont appelées à durer» a-t-il dit.