Dans le cadre du 2e Festival panafricain, une caravane composée d'une trentaine d'artistes venus du Malawi et du Mali, s'est produite sur différentes scènes, à Bordj, à Ras El Oued et à Bordj Ghedir. Une quinzaine d'artistes algériens a également égayé les soirées estivales des habitants du centre culturel Aïcha-Haddad. Trois jours durant, le public a pu découvrir plusieurs sonorités africaines empruntées à différents rythmes : parfois avec une improvisation de free-jazz typiquement américain ou avec une touche de reggae jamaïcain, le tout dans une ambiance entraînante. En travaillant leurs voix, suivant des techniques de chant propres aux traditions de leurs pays respectifs, les artistes, griffant les guitares et percutant les tamtams et autres «callebasses» ont subjugué le public. M. A. Dans le cadre du 2e Festival panafricain, une caravane composée d'une trentaine d'artistes venus du Malawi et du Mali, s'est produite sur différentes scènes, à Bordj, à Ras El Oued et à Bordj Ghedir. Une quinzaine d'artistes algériens a également égayé les soirées estivales des habitants du centre culturel Aïcha-Haddad. Trois jours durant, le public a pu découvrir plusieurs sonorités africaines empruntées à différents rythmes : parfois avec une improvisation de free-jazz typiquement américain ou avec une touche de reggae jamaïcain, le tout dans une ambiance entraînante. En travaillant leurs voix, suivant des techniques de chant propres aux traditions de leurs pays respectifs, les artistes, griffant les guitares et percutant les tamtams et autres «callebasses» ont subjugué le public. M. A.