Sur les 110 entreprises éligibles à l'aide du programme d'Optimexport de soutien aux PME exportatrices, 44 ont été sélectionnées pour bénéficier de l'assistance technique et de l'expertise du programme Optimexport. Sur les 110 entreprises éligibles à l'aide du programme d'Optimexport de soutien aux PME exportatrices, 44 ont été sélectionnées pour bénéficier de l'assistance technique et de l'expertise du programme Optimexport. Les travaux relatifs à la matérialisation de l'aide à apporter par Optimexport aux 44 entreprises choisies pour bénéficier du programme d'assistance aux PME ont été clôturés en fin de la semaine dernière avec les différents intervenants et les opérateurs économiques concernés sous la présidence du chef de projet d'Optimexport, Marc Martinant. Sur les 110 entreprises éligibles à l'aide du programme d'Optimexport de soutien aux PME exportatrices, 44 ont été sélectionnées pour bénéficier de l'assistance technique et de l'expertise du programme Optimexport. En plus d'intégrer un volet développement international dans leur stratégie de croissance économique, ces entreprises sont les plus aptes à s'engager sur une période de deux années dans un Contrat de Partenariat à l'Export. Ces PME pourront, notamment, bénéficier d'une couverture des risques à l'exportation de leurs opérations par la CAGEX et avoir accès à la base de données COFACE de plus de 50 millions d'entreprises dans le monde. Parmi ces PME qui vont sensiblement améliorer leurs dispositions organisationnelles et managériales à l'export, on peut notamment citer celles versées dans l'agroalimentaire qui sont au nombre de 9 dont Vitajus. Concernant le secteur industriel, l'entreprise spécialisée dans l'extraction et le traitement de l'or, Agenor, aura également l'expertise et l'aide d'Optimexport. Les secteurs d'activités des entreprises triées ont trait à l'agroalimentaire avec neuf entreprises, l'industrie chimique et pétrochimique (7 PME), les matériaux de construction, les services (3), la pêche, l'édition, les textiles et l'industrie du papier et du carton et enfin l'artisanat (2 entreprises). Le secteur des transports (qui sera un thème important à développer lors d'un séminaire prévu en septembre prochain au profit des opérateurs économiques) s'est adjugé aussi une place importante dans le programme de financement d'Optimexport sachant que l'entreprise des chemins de fer, Ferrovial, va suivre les cours et séminaires organisés pour peaufiner ses capacités exportatrices. Cependant, le responsable d'Optimexport estime que «les entraves bureaucratiques et les lourdeurs administratives ainsi que le manque de rigueur dans le fonctionnement des entreprises freinent l'épanouissement des PME». Le Programme de cet organisme consiste justement à renforcer les capacités exportatrices des entreprises algériennes en leur prodiguant, notamment, des conseils d'ordre organisationnel et en matière de marketing et de management. Etalés sur 24 mois, les programmes d'Optimexport sont basés sur une série de séminaires et de cycles de formation inhérents à l'étude technico-commerciale des marchés, les méthodes liées aux activités d'exportation et tout le savoir-faire relatif aux relations avec les partenaires et les clients, ainsi qu'en ce qui concerne les échanges commerciaux et l'intégration du marché international en respectant les normes de la qualité. Les exportations hors hydrocarbures ont beaucoup baissé durant les six mois de l'année en cours comparativement à l'année précédente, plus particulièrement, pour ce qui est des produits agro-alimentaires qui n'ont rapporté que 30 millions d'euros, principalement les dattes (Deglet Nour). Cela est la conséquence de l'impact de l'accord d'association avec l'Union européenne, selon les statistiques fournies par l'Algex. Les travaux relatifs à la matérialisation de l'aide à apporter par Optimexport aux 44 entreprises choisies pour bénéficier du programme d'assistance aux PME ont été clôturés en fin de la semaine dernière avec les différents intervenants et les opérateurs économiques concernés sous la présidence du chef de projet d'Optimexport, Marc Martinant. Sur les 110 entreprises éligibles à l'aide du programme d'Optimexport de soutien aux PME exportatrices, 44 ont été sélectionnées pour bénéficier de l'assistance technique et de l'expertise du programme Optimexport. En plus d'intégrer un volet développement international dans leur stratégie de croissance économique, ces entreprises sont les plus aptes à s'engager sur une période de deux années dans un Contrat de Partenariat à l'Export. Ces PME pourront, notamment, bénéficier d'une couverture des risques à l'exportation de leurs opérations par la CAGEX et avoir accès à la base de données COFACE de plus de 50 millions d'entreprises dans le monde. Parmi ces PME qui vont sensiblement améliorer leurs dispositions organisationnelles et managériales à l'export, on peut notamment citer celles versées dans l'agroalimentaire qui sont au nombre de 9 dont Vitajus. Concernant le secteur industriel, l'entreprise spécialisée dans l'extraction et le traitement de l'or, Agenor, aura également l'expertise et l'aide d'Optimexport. Les secteurs d'activités des entreprises triées ont trait à l'agroalimentaire avec neuf entreprises, l'industrie chimique et pétrochimique (7 PME), les matériaux de construction, les services (3), la pêche, l'édition, les textiles et l'industrie du papier et du carton et enfin l'artisanat (2 entreprises). Le secteur des transports (qui sera un thème important à développer lors d'un séminaire prévu en septembre prochain au profit des opérateurs économiques) s'est adjugé aussi une place importante dans le programme de financement d'Optimexport sachant que l'entreprise des chemins de fer, Ferrovial, va suivre les cours et séminaires organisés pour peaufiner ses capacités exportatrices. Cependant, le responsable d'Optimexport estime que «les entraves bureaucratiques et les lourdeurs administratives ainsi que le manque de rigueur dans le fonctionnement des entreprises freinent l'épanouissement des PME». Le Programme de cet organisme consiste justement à renforcer les capacités exportatrices des entreprises algériennes en leur prodiguant, notamment, des conseils d'ordre organisationnel et en matière de marketing et de management. Etalés sur 24 mois, les programmes d'Optimexport sont basés sur une série de séminaires et de cycles de formation inhérents à l'étude technico-commerciale des marchés, les méthodes liées aux activités d'exportation et tout le savoir-faire relatif aux relations avec les partenaires et les clients, ainsi qu'en ce qui concerne les échanges commerciaux et l'intégration du marché international en respectant les normes de la qualité. Les exportations hors hydrocarbures ont beaucoup baissé durant les six mois de l'année en cours comparativement à l'année précédente, plus particulièrement, pour ce qui est des produits agro-alimentaires qui n'ont rapporté que 30 millions d'euros, principalement les dattes (Deglet Nour). Cela est la conséquence de l'impact de l'accord d'association avec l'Union européenne, selon les statistiques fournies par l'Algex.