Sous l'égide la ministère de la Culture, la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj, organise, pour la deuxième année consécutive, le festival national de la musique actuelle, et ce, du 4 au 10 août. Comme son nom indique, il sera question dans cette manifestation d'exhiber des talents artistiques juvéniles des différentes régions du pays. Une nouvelle tendance qui attire de plus en plus les jeunes à travers le monde. Des concerts non stop, qu'animent des groupes dans des terrains vagues où se mêlent la musique stridente, l'alcool et les "joints". Loin de là, les organisations ont concocté pas moins d'une vingtaine de représentations, en troupe ou en solo, qui seront executées au stade municipal, sis au centre ville de Bordj, pour permettre à un maximum de jeunes de "s'éclater" en assistant aux différents galas. Du Gnaoui au hip hop, en passant par le raï et le rap, déclinés en kabyle, arabe ou les deux, le tout dans une ambiance effervescente. A noter que l'année dernière, le festival a été organisé dans l'esplanade du 1er-Novembre surplombant Bordj, sauf que tout le monde n'avait pas la chance d'assister confortablement aux spectacles pour raison d'exiguité des lieux. Du coup, les organisateurs ont dû installer des écrans géants. D'où le choix d'un endroit plus spacieux et plus aéré tel que le stade pour accueillier ces vagues de jeunes. Sous l'égide la ministère de la Culture, la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj, organise, pour la deuxième année consécutive, le festival national de la musique actuelle, et ce, du 4 au 10 août. Comme son nom indique, il sera question dans cette manifestation d'exhiber des talents artistiques juvéniles des différentes régions du pays. Une nouvelle tendance qui attire de plus en plus les jeunes à travers le monde. Des concerts non stop, qu'animent des groupes dans des terrains vagues où se mêlent la musique stridente, l'alcool et les "joints". Loin de là, les organisations ont concocté pas moins d'une vingtaine de représentations, en troupe ou en solo, qui seront executées au stade municipal, sis au centre ville de Bordj, pour permettre à un maximum de jeunes de "s'éclater" en assistant aux différents galas. Du Gnaoui au hip hop, en passant par le raï et le rap, déclinés en kabyle, arabe ou les deux, le tout dans une ambiance effervescente. A noter que l'année dernière, le festival a été organisé dans l'esplanade du 1er-Novembre surplombant Bordj, sauf que tout le monde n'avait pas la chance d'assister confortablement aux spectacles pour raison d'exiguité des lieux. Du coup, les organisateurs ont dû installer des écrans géants. D'où le choix d'un endroit plus spacieux et plus aéré tel que le stade pour accueillier ces vagues de jeunes.