Pour arriver à Ifigha, il faut d'abord traverser la ville d'Azzazga, longer l'autre versant de l'Oued Sebaou sur quelques kilomètres, avant de bifurquer vers le nord, pour découvrir un paysage sublime au fond duquel s'accroche comme une perle ce village aux mille facettes. Pour arriver à Ifigha, il faut d'abord traverser la ville d'Azzazga, longer l'autre versant de l'Oued Sebaou sur quelques kilomètres, avant de bifurquer vers le nord, pour découvrir un paysage sublime au fond duquel s'accroche comme une perle ce village aux mille facettes. Une moyenne de 4.000 habitants résident à Ifigha, village constitué essentiellement de jeunes pleins d'énergie et de vigueur, puisque, nous dit-on, ils se portent volontaires à toutes les activités d'intérêt commun qu'organise le comité du village qui, faut-il le souligner, demeure l'un des plus structurés de la région. Ifigha est encore plus connu pour ses vestiges historiques et archéologiques, que tout le monde qualifie de musée à ciel ouvert, vu la richesse de ses nombreux sites. Iffigha c'est aussi ces fameuses effigies gravées sur du granit. De renommée mondiale, ce trésor devrait être classé par l'Unesco comme faisant partie du patrimoine universel. Récemment, l'association locale sous l'égide d'un architecte, est décidé à redonner espoir à ce petit village perché sur la montagne qui se fixe d'ores et déjà comme premier objectif de préserver les identités locales qui ne sont pas consignées dans l'histoire. "Ce projet se veut d'abord comme un devoir de mémoire fédérateur vis-à-vis des générations passées et à venir. C'est un projet culturel, sans visée politique, qui se donne comme tâche première de contribuer au développement économique local en impulsant deux notions indissociables pour la région : le tourisme culturel et l'écotourisme", explique l'un des initiateur. Il sera porté sur deux grands axes, le premier vise à redessiner la mémoire et ressouder le temps entre les générations d'hier et celles d'aujourd'hui, en essayant de ressusciter les rites, les croyances, les chants et les symboles de la région. Le second axe est la promotion d'une nouvelle économie basée sur la renaissance et la perpétuation du savoir-faire, liés à l'identité du terroir. Ce projet enfin va certainement accélérer la prise de conscience quant à la nécessité de préserver l'environnement, les ressources naturelles et la maîtrise harmonieuse du développement urbain, tout en étant en parfaite harmonie avec la nature. Une moyenne de 4.000 habitants résident à Ifigha, village constitué essentiellement de jeunes pleins d'énergie et de vigueur, puisque, nous dit-on, ils se portent volontaires à toutes les activités d'intérêt commun qu'organise le comité du village qui, faut-il le souligner, demeure l'un des plus structurés de la région. Ifigha est encore plus connu pour ses vestiges historiques et archéologiques, que tout le monde qualifie de musée à ciel ouvert, vu la richesse de ses nombreux sites. Iffigha c'est aussi ces fameuses effigies gravées sur du granit. De renommée mondiale, ce trésor devrait être classé par l'Unesco comme faisant partie du patrimoine universel. Récemment, l'association locale sous l'égide d'un architecte, est décidé à redonner espoir à ce petit village perché sur la montagne qui se fixe d'ores et déjà comme premier objectif de préserver les identités locales qui ne sont pas consignées dans l'histoire. "Ce projet se veut d'abord comme un devoir de mémoire fédérateur vis-à-vis des générations passées et à venir. C'est un projet culturel, sans visée politique, qui se donne comme tâche première de contribuer au développement économique local en impulsant deux notions indissociables pour la région : le tourisme culturel et l'écotourisme", explique l'un des initiateur. Il sera porté sur deux grands axes, le premier vise à redessiner la mémoire et ressouder le temps entre les générations d'hier et celles d'aujourd'hui, en essayant de ressusciter les rites, les croyances, les chants et les symboles de la région. Le second axe est la promotion d'une nouvelle économie basée sur la renaissance et la perpétuation du savoir-faire, liés à l'identité du terroir. Ce projet enfin va certainement accélérer la prise de conscience quant à la nécessité de préserver l'environnement, les ressources naturelles et la maîtrise harmonieuse du développement urbain, tout en étant en parfaite harmonie avec la nature.