Les opérations de solidarité envers les familles démunies à l'occasion du mois de Ramadhan ont été entamées à travers l'ensemble des communes de la wilaya de Skikda. Ainsi et dès les premiers jours du mois sacré, 27 restaurants offrant des repas chauds ont été ouverts au niveau de la plupart des communes de la wilaya. 17.950 «f'tour» ont, par ailleurs, pu être servis au premier jour de Ramadhan durant lequel 13.652 couffins remplis de différentes denrées alimentaires ont été également distribués au profit des familles démunies. Les autorités locales tablent sur la distribution de pas moins de 35.540 couffins et ce, dans les tous prochains jours. Une opération qui s'apparente, en dépit des efforts consentis par les pouvoirs publics, à une goutte d'eau dans un océan. En effet, si les familles les plus démunies ont réellement besoin que l'on se solidarise avec elles, aujourd'hui, ce sont surtout les classes moyennes qui sont touchées par la cherté de la vie et qui, par conséquent, ont besoin de soutien. Une simple virée au niveau des différents souks et marchés de la ville de Skikda renseigne, on ne peut mieux, sur le degré d'inflation qui s'est traduit par une hausse vertigineuse des prix de pratiquement l'ensemble des produits, surtout ceux dits de large consommation. Le prix de la viande rouge a franchi, ces derniers jours, la barre des 1.000 DA le kg. La viande de volaille est affichée entre 300 et 350 DA. Le poisson est, quant à lui, inaccessible pour la grande majorité des bourses. La hausse des prix n'a pas épargné les fruits et légumes. La pomme de terre est cédée à 50 DA le kg, la carotte, les concombres, les haricots verts et la salade verte se vendent à 100 DA le kg, la tomate coûte 80 DA alors que l'oignon est cédé à 30 DA le kg. A cela s'ajouteront les dépenses induites par l'approche de la rentrée des classes et de l'«Aid el Fitr». Deux rendez-vous qui vont inexorablement aggraver la saignée des bourses et mettre à rude épreuve les budgets des ménages qui doivent pourtant faire face, dans un futur proche, à d'autres dépenses. Les opérations de solidarité envers les familles démunies à l'occasion du mois de Ramadhan ont été entamées à travers l'ensemble des communes de la wilaya de Skikda. Ainsi et dès les premiers jours du mois sacré, 27 restaurants offrant des repas chauds ont été ouverts au niveau de la plupart des communes de la wilaya. 17.950 «f'tour» ont, par ailleurs, pu être servis au premier jour de Ramadhan durant lequel 13.652 couffins remplis de différentes denrées alimentaires ont été également distribués au profit des familles démunies. Les autorités locales tablent sur la distribution de pas moins de 35.540 couffins et ce, dans les tous prochains jours. Une opération qui s'apparente, en dépit des efforts consentis par les pouvoirs publics, à une goutte d'eau dans un océan. En effet, si les familles les plus démunies ont réellement besoin que l'on se solidarise avec elles, aujourd'hui, ce sont surtout les classes moyennes qui sont touchées par la cherté de la vie et qui, par conséquent, ont besoin de soutien. Une simple virée au niveau des différents souks et marchés de la ville de Skikda renseigne, on ne peut mieux, sur le degré d'inflation qui s'est traduit par une hausse vertigineuse des prix de pratiquement l'ensemble des produits, surtout ceux dits de large consommation. Le prix de la viande rouge a franchi, ces derniers jours, la barre des 1.000 DA le kg. La viande de volaille est affichée entre 300 et 350 DA. Le poisson est, quant à lui, inaccessible pour la grande majorité des bourses. La hausse des prix n'a pas épargné les fruits et légumes. La pomme de terre est cédée à 50 DA le kg, la carotte, les concombres, les haricots verts et la salade verte se vendent à 100 DA le kg, la tomate coûte 80 DA alors que l'oignon est cédé à 30 DA le kg. A cela s'ajouteront les dépenses induites par l'approche de la rentrée des classes et de l'«Aid el Fitr». Deux rendez-vous qui vont inexorablement aggraver la saignée des bourses et mettre à rude épreuve les budgets des ménages qui doivent pourtant faire face, dans un futur proche, à d'autres dépenses.