La troisième Conférence mondiale sur le climat, qui s'ouvre aujourd'hui à Genève (Suisse), regroupera des chefs de gouvernement et les ministres de plus de 150 pays. La troisième Conférence mondiale sur le climat, qui s'ouvre aujourd'hui à Genève (Suisse), regroupera des chefs de gouvernement et les ministres de plus de 150 pays. Organisée par l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et étalée sur cinq jours, cette importante Conférence cernera l'ensemble des questions préoccupant actuellement les dirigeants de tous les pays et concernant, notamment, les changements climatiques et les risques inhérents aux catastrophes naturelles. Son objectif essentiel consiste à affiner les services climatologiques et à mieux les adapter aux impératifs de la planification socio-économique, selon les organisateurs de cet évènement dont le volet des prévisions climatiques sera mis en relief par les participants, lesquels, se pencheront sur des questions récurrentes et d'importance capitale pour l'avenir de l'humanité, à l'instar de l'eau, la santé et la prévention des catastrophes naturelles. Les organisateurs anticipent, d'ores et déjà, sur les résultats à atteindre lors de ce sommet en mettant l'accent sur la définition «d'un cadre mondial pour les services climatologiques devant permettre aux décideurs de disposer d'informations fiables sur le climat pour des échéances allant de plusieurs saisons à plusieurs décennies». En outre, les pays participants chercheront à élaborer une plateforme visant une diffusion rapide et en temps réel des informations de même que leur analyse par des experts, en vue d'évaluer les risques de changements climatiques préjudiciables pour la planète, notamment dans les zones arides touchées par la sécheresse. L'OMM et les différents intervenants, lors de cette conférence, tenteront également «d'étudier les mesures à prendre sur le plan mondial et à l'adoption d'une déclaration. La conférence a aussi pour but de faire progresser l'investissement dans l'observation et la surveillance du climat et dans les techniques correspondantes, afin de faciliter la conception de services climatologiques qui soient adaptés aux besoins des usagers», selon le site internet de la Conférence. Un millier de participants prendra part à cette conférence, parmi lesquels il y aura des décideurs de haut niveau, des scientifiques, des prestataires de services climatologiques et des dirigeants d'entreprise d'envergure mondiale. Ils se chargeront, selon l'OMM, de développer le dialogue entre ceux qui mettent au point et fournissent l'information climatologique et ceux qui l'exploitent. Divers secteurs socio-économiques seront décortiqués, tels que l'alimentation et l'agriculture, l'eau, la santé, la prévention des catastrophes et la gestion des risques, l'environnement, le tourisme, les transports, l'énergie… Lors de la Journée mondiale de l'environnement organisée récemment au forum d'El Moudjahid, des experts algériens ont discuté des effets des changements climatiques sur l'agriculture et la santé des populations. Ainsi, le directeur général de l'Agence nationale des changements climatiques, Mostefa Kara, a déclaré : «Le monde est à une étape clé en matière d'environnement. Le contexte actuel est assez difficile quand on sait que le monde affronte une crise aux dimensions multiples, climatique, énergétique, en dehors de celles connues sur les plans économique et financier». Il a précisé que la question du réchauffement climatique devient un enjeu fondamental. Les politiques mondiales vont devoir générer des solutions à des problèmes complexes, tels l'emploi, l'énergie, la crise alimentaire, l'eau et la santé. Pour ce qui est de l'Algérie, le conférencier a souligné «qu'elle est déjà confrontée aux nécessités du changement, à des solutions alternatives, à inventer un autre bouquet énergétique». Le soleil, a-t-il dit, «c'est l'avenir, il faut se préparer à la substitution, une alternative énergétique» tout en véhiculant un message, il met en relief «la responsabilité de l'homme qui, a-t-il affirmé, est très grande dans les bouleversements climatiques que l'on constate. Au niveau continental, on ne peut oublier que l'Afrique reste un continent particulièrement vulnérable». Organisée par l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et étalée sur cinq jours, cette importante Conférence cernera l'ensemble des questions préoccupant actuellement les dirigeants de tous les pays et concernant, notamment, les changements climatiques et les risques inhérents aux catastrophes naturelles. Son objectif essentiel consiste à affiner les services climatologiques et à mieux les adapter aux impératifs de la planification socio-économique, selon les organisateurs de cet évènement dont le volet des prévisions climatiques sera mis en relief par les participants, lesquels, se pencheront sur des questions récurrentes et d'importance capitale pour l'avenir de l'humanité, à l'instar de l'eau, la santé et la prévention des catastrophes naturelles. Les organisateurs anticipent, d'ores et déjà, sur les résultats à atteindre lors de ce sommet en mettant l'accent sur la définition «d'un cadre mondial pour les services climatologiques devant permettre aux décideurs de disposer d'informations fiables sur le climat pour des échéances allant de plusieurs saisons à plusieurs décennies». En outre, les pays participants chercheront à élaborer une plateforme visant une diffusion rapide et en temps réel des informations de même que leur analyse par des experts, en vue d'évaluer les risques de changements climatiques préjudiciables pour la planète, notamment dans les zones arides touchées par la sécheresse. L'OMM et les différents intervenants, lors de cette conférence, tenteront également «d'étudier les mesures à prendre sur le plan mondial et à l'adoption d'une déclaration. La conférence a aussi pour but de faire progresser l'investissement dans l'observation et la surveillance du climat et dans les techniques correspondantes, afin de faciliter la conception de services climatologiques qui soient adaptés aux besoins des usagers», selon le site internet de la Conférence. Un millier de participants prendra part à cette conférence, parmi lesquels il y aura des décideurs de haut niveau, des scientifiques, des prestataires de services climatologiques et des dirigeants d'entreprise d'envergure mondiale. Ils se chargeront, selon l'OMM, de développer le dialogue entre ceux qui mettent au point et fournissent l'information climatologique et ceux qui l'exploitent. Divers secteurs socio-économiques seront décortiqués, tels que l'alimentation et l'agriculture, l'eau, la santé, la prévention des catastrophes et la gestion des risques, l'environnement, le tourisme, les transports, l'énergie… Lors de la Journée mondiale de l'environnement organisée récemment au forum d'El Moudjahid, des experts algériens ont discuté des effets des changements climatiques sur l'agriculture et la santé des populations. Ainsi, le directeur général de l'Agence nationale des changements climatiques, Mostefa Kara, a déclaré : «Le monde est à une étape clé en matière d'environnement. Le contexte actuel est assez difficile quand on sait que le monde affronte une crise aux dimensions multiples, climatique, énergétique, en dehors de celles connues sur les plans économique et financier». Il a précisé que la question du réchauffement climatique devient un enjeu fondamental. Les politiques mondiales vont devoir générer des solutions à des problèmes complexes, tels l'emploi, l'énergie, la crise alimentaire, l'eau et la santé. Pour ce qui est de l'Algérie, le conférencier a souligné «qu'elle est déjà confrontée aux nécessités du changement, à des solutions alternatives, à inventer un autre bouquet énergétique». Le soleil, a-t-il dit, «c'est l'avenir, il faut se préparer à la substitution, une alternative énergétique» tout en véhiculant un message, il met en relief «la responsabilité de l'homme qui, a-t-il affirmé, est très grande dans les bouleversements climatiques que l'on constate. Au niveau continental, on ne peut oublier que l'Afrique reste un continent particulièrement vulnérable».