L'Algérie a, à l'instar d'autres pays, déposé son dossier et s'est portée candidate dans la perspective de la création de centres climatologiques régionaux, ont affirmé des experts algériens membres de la délégation qui représente l'Algérie à la 3e Conférence mondiale sur le climat (CMC-3) dont les travaux se sont ouverts, hier à Genève, en présence de plus de 2.500 experts de la météorologie venus de nombreux pays. «Il y a une politique qui se fait confidentiellement pour les pays devant être agréés comme centres climatologique s régionaux (…) et l'Algérie a déposé son dossier et s'est portée candidate», a précisé la même source, qui note toutefois , que la finalité de la conférence (la création de centres climatologiques régionaux, ndlr), «n'a pas été clairement exprimée». Par ailleurs, l'Algérie adhère au principe de mise en œuvre du projet de Cadre global pour les services climatiques (CGSC), mais n'a toujours pas encore approuvé le projet de déclaration «en cours de discussion» et devant être présenté au segment de haut niveau, a déclaré un de ses représentants à cette 3e conférence. La même source a expliqué à l'APS que le «oui…mais» de l'Algérie est dû à l'existence de «points de discorde» qui sont d'ailleurs encore en négociations, mais aussi au fait que le projet de déclaration recèle «certaines incohérences» par rapport à la convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Dans ce cadre, les experts algériens estiment en premier lieu que ce projet se réfère à la convention-cadre de l'ONU dans certaines de ses composantes, mais «ne reflète pas ses vraies dispositions». «Le texte intervient en introduisant une différenciation entre les groupes des pays. Chose qui n'est pas acceptable», ont-ils observé, soulignant que l'absence d'entente entre les pays en développement «arrange les pays développés». Le cadre de travail global sur l'information climatique que la conférence voudrait créer et adopter, est l'autre «incohérence» relevée par les représentants de l'Algérie qui se demandent quel sera le contenu de cadre de travail, ses objectifs, mais surtout comment celui-ci doit-il être établi. Les experts n'expliquent pas que lorsque le président du groupe de travail chargé de l'élaboration de la déclaration a eu à spécifier directement que la CMC-3 a décidé de créer un groupe chargé d'élaborer le plan de ce cadre de travail, que celui-ci serait composé d'experts de haut niveau. L'Algérie a, à l'instar d'autres pays, déposé son dossier et s'est portée candidate dans la perspective de la création de centres climatologiques régionaux, ont affirmé des experts algériens membres de la délégation qui représente l'Algérie à la 3e Conférence mondiale sur le climat (CMC-3) dont les travaux se sont ouverts, hier à Genève, en présence de plus de 2.500 experts de la météorologie venus de nombreux pays. «Il y a une politique qui se fait confidentiellement pour les pays devant être agréés comme centres climatologique s régionaux (…) et l'Algérie a déposé son dossier et s'est portée candidate», a précisé la même source, qui note toutefois , que la finalité de la conférence (la création de centres climatologiques régionaux, ndlr), «n'a pas été clairement exprimée». Par ailleurs, l'Algérie adhère au principe de mise en œuvre du projet de Cadre global pour les services climatiques (CGSC), mais n'a toujours pas encore approuvé le projet de déclaration «en cours de discussion» et devant être présenté au segment de haut niveau, a déclaré un de ses représentants à cette 3e conférence. La même source a expliqué à l'APS que le «oui…mais» de l'Algérie est dû à l'existence de «points de discorde» qui sont d'ailleurs encore en négociations, mais aussi au fait que le projet de déclaration recèle «certaines incohérences» par rapport à la convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Dans ce cadre, les experts algériens estiment en premier lieu que ce projet se réfère à la convention-cadre de l'ONU dans certaines de ses composantes, mais «ne reflète pas ses vraies dispositions». «Le texte intervient en introduisant une différenciation entre les groupes des pays. Chose qui n'est pas acceptable», ont-ils observé, soulignant que l'absence d'entente entre les pays en développement «arrange les pays développés». Le cadre de travail global sur l'information climatique que la conférence voudrait créer et adopter, est l'autre «incohérence» relevée par les représentants de l'Algérie qui se demandent quel sera le contenu de cadre de travail, ses objectifs, mais surtout comment celui-ci doit-il être établi. Les experts n'expliquent pas que lorsque le président du groupe de travail chargé de l'élaboration de la déclaration a eu à spécifier directement que la CMC-3 a décidé de créer un groupe chargé d'élaborer le plan de ce cadre de travail, que celui-ci serait composé d'experts de haut niveau.