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«La participation de notre élite a été mitigée, avec des satisfactions et des déceptions» Tennis, Lamine Bakhti, directeur technique national de la Fédération algérienne de tennis (FAT) :
Le tennis algérien vit, ces derniers temps, beaucoup de difficultés. Le manque d'infrastructures reste une sérieuse entrave. Les compétences techniques et la pâte, comme on dit communément, existent en Algérie, «il nous manque uniquement les moyens que, d'ailleurs, beaucoup de clubs en Algérie n'ont pas. Un défi très difficile à relever. La participation de notre élite a été très mitigée, avec des satisfactions et des déceptions. Je dirais que pour atteindre le haut niveau, il nous faut beaucoup de moyens afin de représenter dignement l'Algérie» fera savoir Lamine Bakhti, directeur technique de la Fédération algérienne de tennis au Midi Libre. Le tennis algérien vit, ces derniers temps, beaucoup de difficultés. Le manque d'infrastructures reste une sérieuse entrave. Les compétences techniques et la pâte, comme on dit communément, existent en Algérie, «il nous manque uniquement les moyens que, d'ailleurs, beaucoup de clubs en Algérie n'ont pas. Un défi très difficile à relever. La participation de notre élite a été très mitigée, avec des satisfactions et des déceptions. Je dirais que pour atteindre le haut niveau, il nous faut beaucoup de moyens afin de représenter dignement l'Algérie» fera savoir Lamine Bakhti, directeur technique de la Fédération algérienne de tennis au Midi Libre. Midi Libre : Nos lecteurs aimeraient savoir qui est Lamine Bakhti ? Lamine Bakhti : Tout d'abord je vous remercie pour cette louable initiative. En me présentant je dirai que j'ai tenu ma première raquettetrès jeune, j'ai développer mes capacités dans pas mal de clubs, donc j'ai eu beaucoup de temps de jeu, je pratique ce sport depuis plus de trente ans en tant que joueur et technicien. J'en ai fait mon métier en obtenant mon DES en sciences et technologies du sport à l'ISTS. Actuellement j'occupe le poste du directeur technique au sein de la FAT. Comment évaluez-vous le programme de la saison précédente ? La saison 2009 n'est pas encore terminée elle s'étalera encore jusqu'au 31 décembre. Un long travail reste donc à faire. C'est vrai que certaines défaillances ont été enregistrées durant cette saison, mais cela représente une expérience pour chacun de nous. Néanmoins, le programme du dernier trimestre sera axé sur la formation et le développement de la discipline, c'est ainsi que des journées portes ouvertes sur le tennis seront organisées dans 20 villes au niveau national, ces journées consisteront à faire connaître notre discipline en faisant des exhibitions de mini-tennis sur les places publiques et dans les clubs. Trois stages de formation d'initiateurs sont programmés durant le dernier trimestre 2009. Ne trouvez-vous pas que peu de compétitions ont été organisées on Algérie ? Pour organiser des compétitions, il faut beaucoup de moyens que les clubs en Algérie n'ont pas. Il est évident que pour se développer nous avons besoin de plus de terrains. Le bon travail se fait dans les meilleures conditions. pour pallier cette déficience, la Fédération algérienne de tennis s'est substitué aux clubs en organisant un circuit de 14 étapes, des tournois ITF sous l'appellation des Internationaux d'Algérie juniors pour les jeunes ainsi que les Championnats d'Algérie des jeunes. Parlez-nous de la participation algérienne aux compétitions internationales ? La participation de notre élite aux compétitions internationales a été très mitigée avec des satisfactions et des déceptions. Les tennismen, qui ont pris part au dernier tournoi international abrité par l'Algérie au mois de juillet passé, ont dignement représenté l'Algérie. On a un manque de prise en charge de notre élite, cependant, un travail de réflexion est en train de se faire pour donner les moyens à nos jeunes d'atteindre le haut niveau leur permettant ainsi de représenter dignement le tennis algérien. les résultats de 2009 sont la juste conséquence des efforts fournis par les uns et les autres. Comment voyez-vous la pratique sportive féminine en Algérie ? Il n'est pas question pour nous de faire une quelconque différence. la politique de développement de la Fédération algérienne de tennis se base essentiellement sur l'encouragement de la pratique du tennis chez les filles, qui sont d'ailleurs de plus en plus nombreuses dans les écoles de tennis, et même dans l'encadrement technique. Une belle représentation a été enregistrée par les filles et les meilleures compétences ont été prouvées par eux. Je dirai qu'actuellement il y a un engouement pour cette discipline, les filles commencent de plus en plus a s'y intéresser. Vous ne croyez-pas que la Fédération est en situation de blocage ? Je ne pense pas qu'il y ai des blocages, c'est vrai qu'il y a un manque de médiatisation mais beaucoup de choses ont été faites. A chaque fois on essaye de trouver les meilleures conditions de travail, les autorités de leur part sont à l'écoute et nous aident à mener à bien notre mission. Certes beaucoup reste à faire mais avec la volonté de certaines personnes on fera au mieux pour cette discipline. Votre dernier mot ? Pour finir, je voudrai que la famille du tennis soit réunie autour d'un même objectif de développement de notre sport. faut que toutes les compétences s'assemblent pour relever les nombreux défis qui se posent pour le tennis. La main dans la main, en laissant de côté tous les clivages et les incompréhensions pour ne songer qu'au seul intérêt de notre discipline et à l'avenir de nos jeunes joueurs qui rêvent d'une bonne prise en charge pour mieux s'épanouir. Midi Libre : Nos lecteurs aimeraient savoir qui est Lamine Bakhti ? Lamine Bakhti : Tout d'abord je vous remercie pour cette louable initiative. En me présentant je dirai que j'ai tenu ma première raquettetrès jeune, j'ai développer mes capacités dans pas mal de clubs, donc j'ai eu beaucoup de temps de jeu, je pratique ce sport depuis plus de trente ans en tant que joueur et technicien. J'en ai fait mon métier en obtenant mon DES en sciences et technologies du sport à l'ISTS. Actuellement j'occupe le poste du directeur technique au sein de la FAT. Comment évaluez-vous le programme de la saison précédente ? La saison 2009 n'est pas encore terminée elle s'étalera encore jusqu'au 31 décembre. Un long travail reste donc à faire. C'est vrai que certaines défaillances ont été enregistrées durant cette saison, mais cela représente une expérience pour chacun de nous. Néanmoins, le programme du dernier trimestre sera axé sur la formation et le développement de la discipline, c'est ainsi que des journées portes ouvertes sur le tennis seront organisées dans 20 villes au niveau national, ces journées consisteront à faire connaître notre discipline en faisant des exhibitions de mini-tennis sur les places publiques et dans les clubs. Trois stages de formation d'initiateurs sont programmés durant le dernier trimestre 2009. Ne trouvez-vous pas que peu de compétitions ont été organisées on Algérie ? Pour organiser des compétitions, il faut beaucoup de moyens que les clubs en Algérie n'ont pas. Il est évident que pour se développer nous avons besoin de plus de terrains. Le bon travail se fait dans les meilleures conditions. pour pallier cette déficience, la Fédération algérienne de tennis s'est substitué aux clubs en organisant un circuit de 14 étapes, des tournois ITF sous l'appellation des Internationaux d'Algérie juniors pour les jeunes ainsi que les Championnats d'Algérie des jeunes. Parlez-nous de la participation algérienne aux compétitions internationales ? La participation de notre élite aux compétitions internationales a été très mitigée avec des satisfactions et des déceptions. Les tennismen, qui ont pris part au dernier tournoi international abrité par l'Algérie au mois de juillet passé, ont dignement représenté l'Algérie. On a un manque de prise en charge de notre élite, cependant, un travail de réflexion est en train de se faire pour donner les moyens à nos jeunes d'atteindre le haut niveau leur permettant ainsi de représenter dignement le tennis algérien. les résultats de 2009 sont la juste conséquence des efforts fournis par les uns et les autres. Comment voyez-vous la pratique sportive féminine en Algérie ? Il n'est pas question pour nous de faire une quelconque différence. la politique de développement de la Fédération algérienne de tennis se base essentiellement sur l'encouragement de la pratique du tennis chez les filles, qui sont d'ailleurs de plus en plus nombreuses dans les écoles de tennis, et même dans l'encadrement technique. Une belle représentation a été enregistrée par les filles et les meilleures compétences ont été prouvées par eux. Je dirai qu'actuellement il y a un engouement pour cette discipline, les filles commencent de plus en plus a s'y intéresser. Vous ne croyez-pas que la Fédération est en situation de blocage ? Je ne pense pas qu'il y ai des blocages, c'est vrai qu'il y a un manque de médiatisation mais beaucoup de choses ont été faites. A chaque fois on essaye de trouver les meilleures conditions de travail, les autorités de leur part sont à l'écoute et nous aident à mener à bien notre mission. Certes beaucoup reste à faire mais avec la volonté de certaines personnes on fera au mieux pour cette discipline. Votre dernier mot ? Pour finir, je voudrai que la famille du tennis soit réunie autour d'un même objectif de développement de notre sport. faut que toutes les compétences s'assemblent pour relever les nombreux défis qui se posent pour le tennis. La main dans la main, en laissant de côté tous les clivages et les incompréhensions pour ne songer qu'au seul intérêt de notre discipline et à l'avenir de nos jeunes joueurs qui rêvent d'une bonne prise en charge pour mieux s'épanouir.