Un rapport de l'office national des statistiques (ONS) révèle que l'activité commerciale a enregistré une certaine augmentation durant les trois premiers mois de l'année en cours. Un rapport de l'office national des statistiques (ONS) révèle que l'activité commerciale a enregistré une certaine augmentation durant les trois premiers mois de l'année en cours. Selon le contenu de l'enquête réalisée auprès des chefs d'entreprises du secteur, il est indiqué que «l'activité commerciale en Algérie a connu une croissance positive au premier trimestre 2009». Cette enquête d'opinion, menée sur 533 entreprises commerciales dont 255 publiques et 278 privées, l'activité commerciale devrait également connaître une hausse, selon les commerçants détaillants et grossistes, et une stabilité des prix de vente. Concernant les résultats de l'enquête, ils font ressortir une hausse de l'activité commerciale, notamment, des lubrifiants et combustibles, du matériel pour équipement ainsi que du commerce divers. La plupart des commerçants se plaignent de l'éloignement et de la dispersion des sources d'approvisionnement en plus de formalités d'acquisition de marchandises qui sont trop lentes, selon les commerçants détaillants. Les commerçants ont, toutefois, connu une période creuse sachant que plus de 29% des grossistes et plus de14% des détaillants ont déclaré avoir enregistré des ruptures de stocks de produits durant les trois premiers mois de 2009, une rupture qui a touché principalement les combustibles, les lubrifiants, les textiles et cuirs, les produits de droguerie, quincailleries, appareils électroménagers et parfumerie (DQAEMP) et les machines et matériel pour équipement ainsi que les produits divers. Aussi, pas moins de 80% des commerçants grossistes se sont approvisionnés exclusivement auprès du secteur privé. Il s'agit particulièrement du commerce de l'agroalimentaire, des textiles et du commerce multiple. S'agissant des détaillants, ils se sont approvisionnés exclusivement auprès des deux secteurs, précisent les résultats de l'enquête. Le taux de satisfaction des commandes de produits est supérieur à 50% par rapport aux besoins exprimés des détaillants, dont les plus concernés sont ceux des combustibles et lubrifiants ainsi que des textiles et cuirs. L'APS ajoute que généralement, la qualité des produits est qualifiée de "bonne" par la majorité des commerçants détaillants et grossistes qui ont répondu à l'enquête, à l'exception de ceux des textiles et de l'habillement, des combustibles et lubrifiants et ceux du commerce multiple jugent la "moyenne". Concernant la demande, qui a fait l'objet d'une enquête identique de l'office des statistiques, elle a connu une hausse par rapport au trimestre précédent, selon les deux catégories des commerçants. Cette hausse de la demande a touché particulièrement les matières premières et demi-produits, les combustibles et lubrifiants, machines et matériels d'équipements et les produits de la DQAEMP. Les prix de vente ont connu une baisse selon les grossistes et une hausse selon les détaillants, la hausse ayant touché les prix des combustibles et lubrifiants et les produits de la DQAEMP et la baisse ceux des matières premières et demi-produits ainsi que ceux des machines et matériel pour équipement. Les résultats de l'enquête révèlent, par ailleurs, que l'ensemble des grossistes disposent de leurs moyens propres de transport, contrairement aux détaillants ou près de 63% ont rencontré des problèmes de transport, notamment ceux des machines et matériels d'équipements, combustibles et lubrifiants ainsi que de la DQAEMP. L'état de la trésorerie est jugé "moyen" par les grossistes et "mauvais" par les détaillants, notamment pour les commerçants des machines et matériel pour équipements. La majorité des commerçants grossistes et détaillants ayant répondu à l'enquête ont déclaré avoir recouru à des crédits bancaires et la plupart des grossistes ont eu des difficultés à les contracter. Ayant eu des difficultés concernant l'accès aux lignes de crédit bancaire, certains commerçants ont peur de déclarer faillite, bon nombre d'entre changent carrément d'activités commerciales, notamment en raison des fortes charges sociales et de déséquilibre de budget. Selon le contenu de l'enquête réalisée auprès des chefs d'entreprises du secteur, il est indiqué que «l'activité commerciale en Algérie a connu une croissance positive au premier trimestre 2009». Cette enquête d'opinion, menée sur 533 entreprises commerciales dont 255 publiques et 278 privées, l'activité commerciale devrait également connaître une hausse, selon les commerçants détaillants et grossistes, et une stabilité des prix de vente. Concernant les résultats de l'enquête, ils font ressortir une hausse de l'activité commerciale, notamment, des lubrifiants et combustibles, du matériel pour équipement ainsi que du commerce divers. La plupart des commerçants se plaignent de l'éloignement et de la dispersion des sources d'approvisionnement en plus de formalités d'acquisition de marchandises qui sont trop lentes, selon les commerçants détaillants. Les commerçants ont, toutefois, connu une période creuse sachant que plus de 29% des grossistes et plus de14% des détaillants ont déclaré avoir enregistré des ruptures de stocks de produits durant les trois premiers mois de 2009, une rupture qui a touché principalement les combustibles, les lubrifiants, les textiles et cuirs, les produits de droguerie, quincailleries, appareils électroménagers et parfumerie (DQAEMP) et les machines et matériel pour équipement ainsi que les produits divers. Aussi, pas moins de 80% des commerçants grossistes se sont approvisionnés exclusivement auprès du secteur privé. Il s'agit particulièrement du commerce de l'agroalimentaire, des textiles et du commerce multiple. S'agissant des détaillants, ils se sont approvisionnés exclusivement auprès des deux secteurs, précisent les résultats de l'enquête. Le taux de satisfaction des commandes de produits est supérieur à 50% par rapport aux besoins exprimés des détaillants, dont les plus concernés sont ceux des combustibles et lubrifiants ainsi que des textiles et cuirs. L'APS ajoute que généralement, la qualité des produits est qualifiée de "bonne" par la majorité des commerçants détaillants et grossistes qui ont répondu à l'enquête, à l'exception de ceux des textiles et de l'habillement, des combustibles et lubrifiants et ceux du commerce multiple jugent la "moyenne". Concernant la demande, qui a fait l'objet d'une enquête identique de l'office des statistiques, elle a connu une hausse par rapport au trimestre précédent, selon les deux catégories des commerçants. Cette hausse de la demande a touché particulièrement les matières premières et demi-produits, les combustibles et lubrifiants, machines et matériels d'équipements et les produits de la DQAEMP. Les prix de vente ont connu une baisse selon les grossistes et une hausse selon les détaillants, la hausse ayant touché les prix des combustibles et lubrifiants et les produits de la DQAEMP et la baisse ceux des matières premières et demi-produits ainsi que ceux des machines et matériel pour équipement. Les résultats de l'enquête révèlent, par ailleurs, que l'ensemble des grossistes disposent de leurs moyens propres de transport, contrairement aux détaillants ou près de 63% ont rencontré des problèmes de transport, notamment ceux des machines et matériels d'équipements, combustibles et lubrifiants ainsi que de la DQAEMP. L'état de la trésorerie est jugé "moyen" par les grossistes et "mauvais" par les détaillants, notamment pour les commerçants des machines et matériel pour équipements. La majorité des commerçants grossistes et détaillants ayant répondu à l'enquête ont déclaré avoir recouru à des crédits bancaires et la plupart des grossistes ont eu des difficultés à les contracter. Ayant eu des difficultés concernant l'accès aux lignes de crédit bancaire, certains commerçants ont peur de déclarer faillite, bon nombre d'entre changent carrément d'activités commerciales, notamment en raison des fortes charges sociales et de déséquilibre de budget.