Un haut cadre du ministère des Affaires étrangères, conseiller diplomatique, a été mis en prison par le procureur d'Etat auprès de la cour de Koléa après avoir été arrêté par les éléments de la Gendarmerie nationale pour homicide involontaire sur la personne de Bounacer Abdelalah, de Bou Ismail, et délit de fuite. Les faits remontent à la soirée du 10 juin dernier quand la gendarmerie a été avisée de la présence d'un corps sans vie d'un sexagénaire près de sa moto accidentée sur la route de déviation Douaouda-Bou-Ismaïl. Les éléments de la gendarmerie se sont déplacés aussitôt sur les lieux pour transférer la dépouille à l'hôpital de Koléa et procéder à une enquête qui a permis de faire la lumière sur les détails de cet accident mortel près trois mois d'investigation, grâce à leur vigilance et à l'attention accordée aux détails retrouvés sur les lieux, dont le rétroviseur qui s'est détaché de la voiture qui a percuté la moto. La pièce a été examinée par des experts qui ont déterminé qu'elle appartenait à une Toyota Corolla. Après des contacts avec la maison Toyota, grâce au numéro de série de la pièce, il a été possible de remonter jusqu'au propriétaire de la voiture qui a nié au début toute relation avec l'accident. Mais l'expertise effectuée sur son véhicule a fait ressortir que le rétroviseur en question était bel et bien celui de sa voiture. Ce qui a constitué la preuve formelle de son implication dans cet accident mortel. Acculé par cette preuve, l'accusé a cessé de nier sa culpabilité, affirmant qu'il ne s'était pas rendu compte d'avoir percuté la victime, du fait qu'il faisait noir. Un haut cadre du ministère des Affaires étrangères, conseiller diplomatique, a été mis en prison par le procureur d'Etat auprès de la cour de Koléa après avoir été arrêté par les éléments de la Gendarmerie nationale pour homicide involontaire sur la personne de Bounacer Abdelalah, de Bou Ismail, et délit de fuite. Les faits remontent à la soirée du 10 juin dernier quand la gendarmerie a été avisée de la présence d'un corps sans vie d'un sexagénaire près de sa moto accidentée sur la route de déviation Douaouda-Bou-Ismaïl. Les éléments de la gendarmerie se sont déplacés aussitôt sur les lieux pour transférer la dépouille à l'hôpital de Koléa et procéder à une enquête qui a permis de faire la lumière sur les détails de cet accident mortel près trois mois d'investigation, grâce à leur vigilance et à l'attention accordée aux détails retrouvés sur les lieux, dont le rétroviseur qui s'est détaché de la voiture qui a percuté la moto. La pièce a été examinée par des experts qui ont déterminé qu'elle appartenait à une Toyota Corolla. Après des contacts avec la maison Toyota, grâce au numéro de série de la pièce, il a été possible de remonter jusqu'au propriétaire de la voiture qui a nié au début toute relation avec l'accident. Mais l'expertise effectuée sur son véhicule a fait ressortir que le rétroviseur en question était bel et bien celui de sa voiture. Ce qui a constitué la preuve formelle de son implication dans cet accident mortel. Acculé par cette preuve, l'accusé a cessé de nier sa culpabilité, affirmant qu'il ne s'était pas rendu compte d'avoir percuté la victime, du fait qu'il faisait noir.