Comme à l'accoutumée, à l'approche de l'Aïd el-Fitr, les maîtresses de maison bien que toujours prises par le repas du «f'tour», ne manquent pas d'entament les préparatifs traditionnels de cette grande fête religieuse. Elles effectuent des emplettes nécessaires, notamment la semoule, les dattes en pâte appelées communément «ghars», du sucre, des amandes, de la farine, du beurre, du miel, des œufs frais, de la vanille et autres ingrédients nécessaires à la préparation du makroud, de la baklaoua, des ktaiefs et autres gâteaux traditionnels. Les boulangers spécialisés dans la cuisson, notamment ceux de la rue Debabi, travaillent sans relàche pour répondre à la nombreuse demande. Les parents ont commencé la tournée des magasins pour prospecter la qualité et le coût des vêtements que revêtiront leurs enfants pour l'Aïd. Chaque nuit, l'emblématique rue d'Announa, le centre commercial Benchéghib, les nombreuses boutiques de la ville et particulièrement celles du boulevard Souidani-Boudjema, sont assaillies par une foule dense qui s'empresse d'acheter des robes, des ensembles, des pantalons, des chemises, des petits costumes, des jupes, des chaussures, des sous-vêtements, des chaussettes, etc., destinés aux enfants. Approchés, les clients concèdent que les magasins sont parfaitement achalandés et les articles d'une qualité indéniable, mais ils sont unanimes pour reconnaitre que les prix affichés sont exorbitants. Les parents sont saignés à blanc durant en cette période. Toutefois, les produits chinois sont disponibles partout et sont écoulés comme des petits pains au vue de leurs prix très abordables. De nombreuses familles se rabattent sur les friperies qui ont fini par avoir pignon sur rue. Elles dénichent des effets vestimentaires potables, à bon marché, qui seront lavés et repassés ou bien déposés au pressing. Les mamans achètent l'incontournable henné, les flacons de parfum de qualité et autres cadeaux de choix qui seront offerts à la future belle-fille, comme l'exige la tradition. Comme à l'accoutumée, à l'approche de l'Aïd el-Fitr, les maîtresses de maison bien que toujours prises par le repas du «f'tour», ne manquent pas d'entament les préparatifs traditionnels de cette grande fête religieuse. Elles effectuent des emplettes nécessaires, notamment la semoule, les dattes en pâte appelées communément «ghars», du sucre, des amandes, de la farine, du beurre, du miel, des œufs frais, de la vanille et autres ingrédients nécessaires à la préparation du makroud, de la baklaoua, des ktaiefs et autres gâteaux traditionnels. Les boulangers spécialisés dans la cuisson, notamment ceux de la rue Debabi, travaillent sans relàche pour répondre à la nombreuse demande. Les parents ont commencé la tournée des magasins pour prospecter la qualité et le coût des vêtements que revêtiront leurs enfants pour l'Aïd. Chaque nuit, l'emblématique rue d'Announa, le centre commercial Benchéghib, les nombreuses boutiques de la ville et particulièrement celles du boulevard Souidani-Boudjema, sont assaillies par une foule dense qui s'empresse d'acheter des robes, des ensembles, des pantalons, des chemises, des petits costumes, des jupes, des chaussures, des sous-vêtements, des chaussettes, etc., destinés aux enfants. Approchés, les clients concèdent que les magasins sont parfaitement achalandés et les articles d'une qualité indéniable, mais ils sont unanimes pour reconnaitre que les prix affichés sont exorbitants. Les parents sont saignés à blanc durant en cette période. Toutefois, les produits chinois sont disponibles partout et sont écoulés comme des petits pains au vue de leurs prix très abordables. De nombreuses familles se rabattent sur les friperies qui ont fini par avoir pignon sur rue. Elles dénichent des effets vestimentaires potables, à bon marché, qui seront lavés et repassés ou bien déposés au pressing. Les mamans achètent l'incontournable henné, les flacons de parfum de qualité et autres cadeaux de choix qui seront offerts à la future belle-fille, comme l'exige la tradition.