Après une légère baisse constatée ces derniers jours, les prix des produits alimentaires ont repris, dès lundi dernier, le chemin de la hausse. Après une légère baisse constatée ces derniers jours, les prix des produits alimentaires ont repris, dès lundi dernier, le chemin de la hausse. Dès le premier jour de la fête de l'Aïd, les prix des viandes blanches et rouges restent élevés et inaccessibles aux petites bourses. Le poulet est cédé à près de 430 dinars le kilogramme, les escalopes à 820 DA alors que le prix des viandes rouges dépasse les 1.100 dinars. La proposition du ministre de la Solidarité nationale d'ouvrir des points de vente de viandes subventionnées par l'Etat n'a pas eu d'impact sur les prix qui ont fortement augmenté. Même la viande congelée, vers laquelle les petites bourses se ruaient, a, elle aussi, grimpé de manière vertigineuse et des bouchers mettent la clé sous le paillasson, beaucoup d'entre eux préfèrant fermer plutôt que de perdre de l'argent «bêtement, vu que leur marge bénéficiaire ne dépasse pas les 20 DA, ces derniers jours», nous a affirmé le propriétaire d'une boucherie dans la banlieue d'Alger. Le phénomène s'amplifie d'une semaine à l'autre. En l'espace d'un mois, le prix de la viande de bœuf avec os qui se vendait à 500 dinars est passé à 950 dinars, alors que le foie est passé à 1.400 dinars le kilogramme. La hausse, qui varie entre 25% et 30 %, ne se limite pas exclusivement aux revendeurs de détail. Au niveau des abattoirs, la hausse des prix est soutenue par la spéculation des mandataires. Le phénomène est perceptible depuis la fin du mois d'août, à l'approche du mois de Ramadhan, même si les premiers signes de la hausse ont été enregistrés depuis le début de la saison estivale. Les raisons de cette situation sont différemment expliquées, et ce, même si on laisse croire que «le phénomène de la spéculation est l'une des principales causes de cette situation». Il est à noter que même les fruits et légumes connaissent, eux aussi, une injustifiable augmentation depuis quelque jours. A Alger, la pomme de terre est cédée à plus de 60 dinars le kilogramme contre 45 dinars la semaine passée. Le prix du kilogramme de carotte dépasse les 80 dinars alors que le concombre a augmenté de 20 dinars pour atteindre 80 dinars le kg. «Tous les prix ont augmenté depuis samedi dernier», affirme un commerçant de fruits et légumes d'un marché d'Alger. Le gouvernement face à ce phénomène semble en manque de solutions. Le ministère du Commerce s'est réfugié derrière la sacro-sainte liberté des prix pour justifier ces hausses répétitives alors que le Président Abdelaziz Bouteflika s'était lui-même insurgé contre la défaillance du système de contrôle mis en place. Dès le premier jour de la fête de l'Aïd, les prix des viandes blanches et rouges restent élevés et inaccessibles aux petites bourses. Le poulet est cédé à près de 430 dinars le kilogramme, les escalopes à 820 DA alors que le prix des viandes rouges dépasse les 1.100 dinars. La proposition du ministre de la Solidarité nationale d'ouvrir des points de vente de viandes subventionnées par l'Etat n'a pas eu d'impact sur les prix qui ont fortement augmenté. Même la viande congelée, vers laquelle les petites bourses se ruaient, a, elle aussi, grimpé de manière vertigineuse et des bouchers mettent la clé sous le paillasson, beaucoup d'entre eux préfèrant fermer plutôt que de perdre de l'argent «bêtement, vu que leur marge bénéficiaire ne dépasse pas les 20 DA, ces derniers jours», nous a affirmé le propriétaire d'une boucherie dans la banlieue d'Alger. Le phénomène s'amplifie d'une semaine à l'autre. En l'espace d'un mois, le prix de la viande de bœuf avec os qui se vendait à 500 dinars est passé à 950 dinars, alors que le foie est passé à 1.400 dinars le kilogramme. La hausse, qui varie entre 25% et 30 %, ne se limite pas exclusivement aux revendeurs de détail. Au niveau des abattoirs, la hausse des prix est soutenue par la spéculation des mandataires. Le phénomène est perceptible depuis la fin du mois d'août, à l'approche du mois de Ramadhan, même si les premiers signes de la hausse ont été enregistrés depuis le début de la saison estivale. Les raisons de cette situation sont différemment expliquées, et ce, même si on laisse croire que «le phénomène de la spéculation est l'une des principales causes de cette situation». Il est à noter que même les fruits et légumes connaissent, eux aussi, une injustifiable augmentation depuis quelque jours. A Alger, la pomme de terre est cédée à plus de 60 dinars le kilogramme contre 45 dinars la semaine passée. Le prix du kilogramme de carotte dépasse les 80 dinars alors que le concombre a augmenté de 20 dinars pour atteindre 80 dinars le kg. «Tous les prix ont augmenté depuis samedi dernier», affirme un commerçant de fruits et légumes d'un marché d'Alger. Le gouvernement face à ce phénomène semble en manque de solutions. Le ministère du Commerce s'est réfugié derrière la sacro-sainte liberté des prix pour justifier ces hausses répétitives alors que le Président Abdelaziz Bouteflika s'était lui-même insurgé contre la défaillance du système de contrôle mis en place.