Sans précédent, la rentrée universitaire 2009-2010 coïncide avec l'ouverture de trois écoles supérieures préparatπoires spécialisées tous dans les domaines technologique et scientifique dans chacune des wilayas d'Alger, d'Annaba et de Tlemcen. Ces trois établissements sont destinés exclusivement aux meilleurs lauréats d'entre les nouveaux bacheliers. Toutefois, l'accès à ces écoles est conditionné par les notes décrochées à l'examen du baccalauréat et par la réussite au concours d'entrée à ces établissements. Ces trois écoles «sont entièrement dédiées aux domaines technologiques, sciences exactes et autres travaux d'applications diverses», a indiqué la présidente de la conférence des universités du centre, Mme Kesri Rafika, également rectrice de l'université de Boumerdes. La conférence des universités du centre encadre 13 universités, 10 instituts nationaux et 4 écoles nationales. La capacité de réception de ces écoles est cependant «limitée», ne dépassant pas «les 200 étudiants, pour chaque établissement», c'est ce qu' a encore indiqué Mme Kesri. Le but recherché à travers l'installation de ces écoles venant consolider le nombre d'universités et d'instituts déjà existants, c'est d'aboutir à «la mise en place d'une élite estudiantine caractérisée par une formation d'excellence susceptible de répondre aux besoins nationaux en matière des nouvelles technologies et autres sciences dites de pointe» Aussi, dans le but de diversifier les opportunités et donner davantage de qualité à l'enseignement supérieur, la directrice de la conférence des universités du centre a annoncé «l'ouverture d'une inscription nationale au profit des nouveaux bacheliers au niveau de l'université de Bab Ezzouar (Alger) dans certaines spécialités de pointe réputées comme étant l'apanage de cet établissement à l'échelle nationale, à l'exemple de la chimie, la physique et l'informatique». Elle a estimé également que l'instauration de ces écoles supérieures préparatoires spécialisées «est le moyen le plus adéquat et équitable adopté à ce jour dans l'objectif du développement de l'enseignement supérieur». Concernant le déroulement des études, la même source a précisé que les étudiants suivront leurs cours dans un tronc commun intensif de 2 années, pour accéder après à une spécialité suite à un concours de passage en 3e année. La qualité de l'enseignement sera assurée par des enseignants spécialisés dans les domaines des sciences et technologies dépêchés dans ce cadre. Sans précédent, la rentrée universitaire 2009-2010 coïncide avec l'ouverture de trois écoles supérieures préparatπoires spécialisées tous dans les domaines technologique et scientifique dans chacune des wilayas d'Alger, d'Annaba et de Tlemcen. Ces trois établissements sont destinés exclusivement aux meilleurs lauréats d'entre les nouveaux bacheliers. Toutefois, l'accès à ces écoles est conditionné par les notes décrochées à l'examen du baccalauréat et par la réussite au concours d'entrée à ces établissements. Ces trois écoles «sont entièrement dédiées aux domaines technologiques, sciences exactes et autres travaux d'applications diverses», a indiqué la présidente de la conférence des universités du centre, Mme Kesri Rafika, également rectrice de l'université de Boumerdes. La conférence des universités du centre encadre 13 universités, 10 instituts nationaux et 4 écoles nationales. La capacité de réception de ces écoles est cependant «limitée», ne dépassant pas «les 200 étudiants, pour chaque établissement», c'est ce qu' a encore indiqué Mme Kesri. Le but recherché à travers l'installation de ces écoles venant consolider le nombre d'universités et d'instituts déjà existants, c'est d'aboutir à «la mise en place d'une élite estudiantine caractérisée par une formation d'excellence susceptible de répondre aux besoins nationaux en matière des nouvelles technologies et autres sciences dites de pointe» Aussi, dans le but de diversifier les opportunités et donner davantage de qualité à l'enseignement supérieur, la directrice de la conférence des universités du centre a annoncé «l'ouverture d'une inscription nationale au profit des nouveaux bacheliers au niveau de l'université de Bab Ezzouar (Alger) dans certaines spécialités de pointe réputées comme étant l'apanage de cet établissement à l'échelle nationale, à l'exemple de la chimie, la physique et l'informatique». Elle a estimé également que l'instauration de ces écoles supérieures préparatoires spécialisées «est le moyen le plus adéquat et équitable adopté à ce jour dans l'objectif du développement de l'enseignement supérieur». Concernant le déroulement des études, la même source a précisé que les étudiants suivront leurs cours dans un tronc commun intensif de 2 années, pour accéder après à une spécialité suite à un concours de passage en 3e année. La qualité de l'enseignement sera assurée par des enseignants spécialisés dans les domaines des sciences et technologies dépêchés dans ce cadre.