Une journée d'étude a été consacrée au développement de la filière oléicole en présence d'experts et de professionnels issus des différents métiers de la chaîne. Inscrite au rang des priorités dans le programme national du développement agricole et rural, l'ambition est de multiplier les surfaces cultivées, d'augmenter les rendements de production autant en olives de table que d'huile et améliorer la qualité du produit. Selon le directeur général de l'institut technique de l'arboriculture fruitière, avec 100.000 exploitations, réparties sur 300.000 hectares, l'objectif est d'agrandir la surface cultivée pour atteindre 800.000 hectares à l'horizon 2014, dans la perspective d'améliorer la consommation nationale, en huile et olive de table, jugée assez modeste, mais aussi de renforcer les opportunités d'exportation du pays. Pour y arriver, une batterie de mesures a été adoptée, selon des cadres du ministère de l'Agriculture qui mettent en avant l'impératif de la professionnalisation de la filière, dans tous ses chaînons, du pépiniériste au consommateur, la modernisation des modes et méthodes de travail, et la labellisation des produits oléicoles. Il s'agit de sortir cette branche de son cadre artisanal et familial et lui donner une dimension selon les exigences du marché. Des conférences ont marqué cette journée dont la clôture devrait être sanctionnée par des recommandations "applicables dès la prochaine campagne oléicole". Une journée d'étude a été consacrée au développement de la filière oléicole en présence d'experts et de professionnels issus des différents métiers de la chaîne. Inscrite au rang des priorités dans le programme national du développement agricole et rural, l'ambition est de multiplier les surfaces cultivées, d'augmenter les rendements de production autant en olives de table que d'huile et améliorer la qualité du produit. Selon le directeur général de l'institut technique de l'arboriculture fruitière, avec 100.000 exploitations, réparties sur 300.000 hectares, l'objectif est d'agrandir la surface cultivée pour atteindre 800.000 hectares à l'horizon 2014, dans la perspective d'améliorer la consommation nationale, en huile et olive de table, jugée assez modeste, mais aussi de renforcer les opportunités d'exportation du pays. Pour y arriver, une batterie de mesures a été adoptée, selon des cadres du ministère de l'Agriculture qui mettent en avant l'impératif de la professionnalisation de la filière, dans tous ses chaînons, du pépiniériste au consommateur, la modernisation des modes et méthodes de travail, et la labellisation des produits oléicoles. Il s'agit de sortir cette branche de son cadre artisanal et familial et lui donner une dimension selon les exigences du marché. Des conférences ont marqué cette journée dont la clôture devrait être sanctionnée par des recommandations "applicables dès la prochaine campagne oléicole".