En 1949 est née la Société interprofessionnelle mutualiste d'Algérie (SIMA), le 29 janvier 1951 naît la Caisse chirurgicale mutualiste de l'Algérie (CCMA), et en 1969, le 16 octobre la «SIMA» et la «CCMA» fusionnent pour donner naissance à la Caisse mutualiste d'Algérie «CMA» qui, depuis le jour de sa création ne cesse d'œuvrer pour assurer les meilleures prestations et services possibles. Quel est le chemin parcouru depuis cette date à ce jour par cette caisse. C'est dans cette perspective que la CMA organise aujourd'hui et demain, avec la participation du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, et le secrétariat général de l'Union générale des travailleurs algériens, un symposium sous le thème «Le mouvement mutualiste en Algérie, états des lieux et perspectives». Comment introduire l'esprit mutualiste dans le monde du travail ? La réponse à cette question sera sûrement l'un des thèmes sur lequel les séminaristes auront à se pencher. «Sur les 35 millions d'habitants et parmi lesquels, 37% de la population active, il y a 8,8 % d'affiliés à la mutuelle», déplore le président du conseil d'administration de la CMA et membre du CREAD, Abdelhakim Berrouk lequel souligne que l'objet de ce symposium est de «sensibiliser et faire connaître aux travailleurs le volet mutualiste». L'orateur expliquera que la Fédération nationale de la mutualité française compte 38 millions d'adhérents. La CMA qui propose beaucoup de produits, à savoir le remboursement sur les consultations, soins, hospitalisation, produits pharmaceutiques, prothèse, appareillage, lunetterie, cure thermale, maternité, le complément des 20% des remboursements servis par la CNAS compte introduire, à travers la révision de la loi 90/33, «la retraite complémentaire et le capital décès», assure le responsable de la CMA. Il précise que la cotisation due par les affiliés est de «1,5% du poste de travail » et l'adhésion des travailleurs «est volontaire et individuelle» et touche tous les secteurs d'activité avec une forte prédominance actuellement du secteur de l'Education nationale et de la recherche scientifique. L'idéal serait pour Abdelhakim Berrouk est que «tous les travailleurs adhèrent à la Caisse Mutualiste d'Algérie», qui est une organisation à but non lucrative. Pour le président du conseil d'administration, l'idéal serait aussi que«les syndicats fassent acte de maturité» en sensibilisant les travailleurs à adhérer à la CMA, pour les extraire des mains des établissements financiers qui proposent des produits alléchants, qu'il qualifie de «tromperie, loin de répondre aux attentes des Algériens». En 1949 est née la Société interprofessionnelle mutualiste d'Algérie (SIMA), le 29 janvier 1951 naît la Caisse chirurgicale mutualiste de l'Algérie (CCMA), et en 1969, le 16 octobre la «SIMA» et la «CCMA» fusionnent pour donner naissance à la Caisse mutualiste d'Algérie «CMA» qui, depuis le jour de sa création ne cesse d'œuvrer pour assurer les meilleures prestations et services possibles. Quel est le chemin parcouru depuis cette date à ce jour par cette caisse. C'est dans cette perspective que la CMA organise aujourd'hui et demain, avec la participation du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, et le secrétariat général de l'Union générale des travailleurs algériens, un symposium sous le thème «Le mouvement mutualiste en Algérie, états des lieux et perspectives». Comment introduire l'esprit mutualiste dans le monde du travail ? La réponse à cette question sera sûrement l'un des thèmes sur lequel les séminaristes auront à se pencher. «Sur les 35 millions d'habitants et parmi lesquels, 37% de la population active, il y a 8,8 % d'affiliés à la mutuelle», déplore le président du conseil d'administration de la CMA et membre du CREAD, Abdelhakim Berrouk lequel souligne que l'objet de ce symposium est de «sensibiliser et faire connaître aux travailleurs le volet mutualiste». L'orateur expliquera que la Fédération nationale de la mutualité française compte 38 millions d'adhérents. La CMA qui propose beaucoup de produits, à savoir le remboursement sur les consultations, soins, hospitalisation, produits pharmaceutiques, prothèse, appareillage, lunetterie, cure thermale, maternité, le complément des 20% des remboursements servis par la CNAS compte introduire, à travers la révision de la loi 90/33, «la retraite complémentaire et le capital décès», assure le responsable de la CMA. Il précise que la cotisation due par les affiliés est de «1,5% du poste de travail » et l'adhésion des travailleurs «est volontaire et individuelle» et touche tous les secteurs d'activité avec une forte prédominance actuellement du secteur de l'Education nationale et de la recherche scientifique. L'idéal serait pour Abdelhakim Berrouk est que «tous les travailleurs adhèrent à la Caisse Mutualiste d'Algérie», qui est une organisation à but non lucrative. Pour le président du conseil d'administration, l'idéal serait aussi que«les syndicats fassent acte de maturité» en sensibilisant les travailleurs à adhérer à la CMA, pour les extraire des mains des établissements financiers qui proposent des produits alléchants, qu'il qualifie de «tromperie, loin de répondre aux attentes des Algériens».