Maux de tête à répétition, attention ! Au-delà de deux prises d'antalgiques par semaine, il est préférable de consulter afin d'éviter un passage éventuel vers les céphalées quotidiennes. Pour prévenir et traiter ces troubles, de nouvelles recommandations ont été mises au point. En effet, la prise en charge des céphalées chroniques quotidiennes laisse parfois à désirer. Largement méconnues du grand public et de la plupart des médecins, les céphalées chroniques quotidiennes regroupent des maux de tête se manifestant plus de quinze jours par mois, pendant plus de 3 mois et qui durent plus de 4 heures en l'absence de traitement. Au départ, ces maux de tête sont généralement épisodiques, mais ils peuvent évoluer vers des formes chroniques, le plus souvent suite à un abus médicamenteux (un tiers des cas). Et ce même avec des antalgiques disponibles en vente libre… D'où l'importance de ne pas se soigner seul, et de consulter son médecin. Lors de la première consultation, pour juger de l'importance de cette situation, le patient sera invité à tenir un agenda de ses maux de tête, précisant la date, la durée et les médicaments utilisés. Rapporté lors de la seconde entrevue, cet outil permettra au médecin de mesurer réellement l'importance de l'affection et de poser le diagnostic, après s'être assuré qu'il ne s'agit pas là de symptômes d'une maladie neurologique plus grave. Pour ce faire, un examen général et neurologique (avec éventuellement des examens complémentaires) permettra d'écarter cette éventualité. Une prise en charge spécifique. Pour améliorer le traitement, mais également la prévention, il convient de déterminer les situations favorisant l'apparition des céphalées chroniques quotidiennes. Selon les experts, certains patients présenteraient, outre des abus médicamenteux, d'autres facteurs de risque : troubles anxieux et dépressifs, troubles de l'humeur, addiction à d'autres substances, troubles de la personnalité, événements traumatisants… Des éléments à ne pas négliger dans la prise en charge des céphalées chroniques quotidiennes. Il semblerait également que certains bouleversements hormonaux (ménopause) ou musculo-squelettiques (tensions musculaires) puissent en faciliter la survenue. Maux de tête à répétition, attention ! Au-delà de deux prises d'antalgiques par semaine, il est préférable de consulter afin d'éviter un passage éventuel vers les céphalées quotidiennes. Pour prévenir et traiter ces troubles, de nouvelles recommandations ont été mises au point. En effet, la prise en charge des céphalées chroniques quotidiennes laisse parfois à désirer. Largement méconnues du grand public et de la plupart des médecins, les céphalées chroniques quotidiennes regroupent des maux de tête se manifestant plus de quinze jours par mois, pendant plus de 3 mois et qui durent plus de 4 heures en l'absence de traitement. Au départ, ces maux de tête sont généralement épisodiques, mais ils peuvent évoluer vers des formes chroniques, le plus souvent suite à un abus médicamenteux (un tiers des cas). Et ce même avec des antalgiques disponibles en vente libre… D'où l'importance de ne pas se soigner seul, et de consulter son médecin. Lors de la première consultation, pour juger de l'importance de cette situation, le patient sera invité à tenir un agenda de ses maux de tête, précisant la date, la durée et les médicaments utilisés. Rapporté lors de la seconde entrevue, cet outil permettra au médecin de mesurer réellement l'importance de l'affection et de poser le diagnostic, après s'être assuré qu'il ne s'agit pas là de symptômes d'une maladie neurologique plus grave. Pour ce faire, un examen général et neurologique (avec éventuellement des examens complémentaires) permettra d'écarter cette éventualité. Une prise en charge spécifique. Pour améliorer le traitement, mais également la prévention, il convient de déterminer les situations favorisant l'apparition des céphalées chroniques quotidiennes. Selon les experts, certains patients présenteraient, outre des abus médicamenteux, d'autres facteurs de risque : troubles anxieux et dépressifs, troubles de l'humeur, addiction à d'autres substances, troubles de la personnalité, événements traumatisants… Des éléments à ne pas négliger dans la prise en charge des céphalées chroniques quotidiennes. Il semblerait également que certains bouleversements hormonaux (ménopause) ou musculo-squelettiques (tensions musculaires) puissent en faciliter la survenue.