Les cochenilles sont des parasites fréquents au jardin ou sur les plantes d'intérieur. Ces petits insectes suceurs de sève peuvent se présenter en amas cotonneux ou en bouclier cireux. Comment les identifier et quel traitement appliquer ? Les cochenilles sont des parasites fréquents au jardin ou sur les plantes d'intérieur. Ces petits insectes suceurs de sève peuvent se présenter en amas cotonneux ou en bouclier cireux. Comment les identifier et quel traitement appliquer ? Bien les identifier : Les plantes pouvant être atteintes par les cochenilles sont nombreuses. Les arbres fruitiers sont souvent touchés, ainsi que les plantes d'intérieur ou de serre, les arbres et les arbustes d'ornement, ou encore les cactus et plantes grasses. Les cochenilles peuvent s'observer sur les tiges ou sur les feuilles (le long des nervures ou sur la face inférieure). On peut identifier les insectes eux-mêmes, ou repérer l'infestation grâce à l'observation d'amas cotonneux. Les feuilles peuvent aussi se couvrir d'un miellat collant, sur lequel se développe un dépôt noir semblable à de la suie. Si les cochenilles tuent rarement leur hôte, elles peuvent néanmoins causer des dégâts importants. Le traitement classique : Il consiste en l'application d'un insecticide anti-cochenilles. Les arbres fruitiers, et d'une manière générale, les arbres à feuilles caduques, se traitent de préférence en fin d'hiver. Tous les insecticides ne conviennent pas à la lutte contre les cochenilles, car le bouclier cireux réduit l'efficacité du pesticide, qui ruisselle sur la cochenille sans l'atteindre. On peut contourner cet écueil en utilisant un insecticide systémique, ou en ajoutant un agent mouillant (savon) ou une huile végétale. Pensez à renouveler le traitement 10 jours après afin de supprimer les œufs nouvellement éclos. Traitement écologique : Une solution plus écologique utilisable en culture biologique est de vaporiser sur toutes les parties atteintes une solution de savon noir additionnée d'1% d'alcool à brûler et éventuellement d'une petite proportion d'huile végétale. Pour les plantes de serre et d'intérieur, ou si l'infestation est limitée, il est également possible de nettoyer les feuilles à l'aide d'une éponge imprégnée d'eau savonneuse, ou de retirer les carapaces avec un coton imbibé d'alcool à 90°. Bien les identifier : Les plantes pouvant être atteintes par les cochenilles sont nombreuses. Les arbres fruitiers sont souvent touchés, ainsi que les plantes d'intérieur ou de serre, les arbres et les arbustes d'ornement, ou encore les cactus et plantes grasses. Les cochenilles peuvent s'observer sur les tiges ou sur les feuilles (le long des nervures ou sur la face inférieure). On peut identifier les insectes eux-mêmes, ou repérer l'infestation grâce à l'observation d'amas cotonneux. Les feuilles peuvent aussi se couvrir d'un miellat collant, sur lequel se développe un dépôt noir semblable à de la suie. Si les cochenilles tuent rarement leur hôte, elles peuvent néanmoins causer des dégâts importants. Le traitement classique : Il consiste en l'application d'un insecticide anti-cochenilles. Les arbres fruitiers, et d'une manière générale, les arbres à feuilles caduques, se traitent de préférence en fin d'hiver. Tous les insecticides ne conviennent pas à la lutte contre les cochenilles, car le bouclier cireux réduit l'efficacité du pesticide, qui ruisselle sur la cochenille sans l'atteindre. On peut contourner cet écueil en utilisant un insecticide systémique, ou en ajoutant un agent mouillant (savon) ou une huile végétale. Pensez à renouveler le traitement 10 jours après afin de supprimer les œufs nouvellement éclos. Traitement écologique : Une solution plus écologique utilisable en culture biologique est de vaporiser sur toutes les parties atteintes une solution de savon noir additionnée d'1% d'alcool à brûler et éventuellement d'une petite proportion d'huile végétale. Pour les plantes de serre et d'intérieur, ou si l'infestation est limitée, il est également possible de nettoyer les feuilles à l'aide d'une éponge imprégnée d'eau savonneuse, ou de retirer les carapaces avec un coton imbibé d'alcool à 90°.