Après les chirurgiens anglais, c'est au tour des Belges d'intervenir pour sauver la vie de dizaines d'enfants cardiaques à la clinique de chirurgie infantile de Bou-Ismaïl dans la wilaya de Tipasa. Une équipe médicale belge a réalisé une vingtaine d'interventions chirurgicales sur des enfants atteints de cardiopathies congénitales complexes, dans le cadre de la convention entre la Caisse nationale des assurances sociales et l'Hôpital Reine Fabiola, a-t-on appris auprès de la CNAS. L'équipe médicale a séjourné au niveau de la clinique médico-chirurgicale de Bou-Ismaïl du 13 au 20 du mois en cours, a indiqué la même source, qui rappelle que d'autres délégations belges ont déjà réalisé, lors de précédentes missions, plusieurs interventions chirurgicales de même nature et «avec succès». Une autre délégation médicale britannique est également attendue pour la même mission, à partir de vendredi prochain en Algérie, dans le cadre de la convention entre la CNAS et Bupa Cromwell Hospital de Londres. Il est à rappeler qu'une délégation médicale de ce même hôpital avait entamé auparavant, à la clinique médico-chirurgicale infantile (CMCI) de Bou-Ismaïl, la supervision d'interventions chirurgicales sur quatre enfants atteints de cardiopathies congénitales complexes. Cette délégation britannique, composée de huit médecins et d'un personnel paramédical, avait également supervisé des interventions chirurgicales sur quatre enfants dits de petit poids, c'est-à-dire pesant moins de 5 kg, nous a précisé le directeur de la clinique, Dr Djouadi Abdelkrim. D'autres délégations médicales spécialisées, rappelle-t-on, avaient séjourné en Algérie en mai, juin, juillet et septembre derniers et effectué «avec succès» des interventions chirurgicales similaires au niveau de cette clinique. Cette coopération médicale entre l'Algérie et des partenaires étrangers, à travers des conventions signées entre la CNAS et d'autres organismes étrangers, vise, outre à former des médecins algériens dans cette spécialité pointue, à réduire le transfert des malades à l'étranger, qui est très onéreux (13.000 à 28.000 euros par enfant), selon la CNAS. Après les chirurgiens anglais, c'est au tour des Belges d'intervenir pour sauver la vie de dizaines d'enfants cardiaques à la clinique de chirurgie infantile de Bou-Ismaïl dans la wilaya de Tipasa. Une équipe médicale belge a réalisé une vingtaine d'interventions chirurgicales sur des enfants atteints de cardiopathies congénitales complexes, dans le cadre de la convention entre la Caisse nationale des assurances sociales et l'Hôpital Reine Fabiola, a-t-on appris auprès de la CNAS. L'équipe médicale a séjourné au niveau de la clinique médico-chirurgicale de Bou-Ismaïl du 13 au 20 du mois en cours, a indiqué la même source, qui rappelle que d'autres délégations belges ont déjà réalisé, lors de précédentes missions, plusieurs interventions chirurgicales de même nature et «avec succès». Une autre délégation médicale britannique est également attendue pour la même mission, à partir de vendredi prochain en Algérie, dans le cadre de la convention entre la CNAS et Bupa Cromwell Hospital de Londres. Il est à rappeler qu'une délégation médicale de ce même hôpital avait entamé auparavant, à la clinique médico-chirurgicale infantile (CMCI) de Bou-Ismaïl, la supervision d'interventions chirurgicales sur quatre enfants atteints de cardiopathies congénitales complexes. Cette délégation britannique, composée de huit médecins et d'un personnel paramédical, avait également supervisé des interventions chirurgicales sur quatre enfants dits de petit poids, c'est-à-dire pesant moins de 5 kg, nous a précisé le directeur de la clinique, Dr Djouadi Abdelkrim. D'autres délégations médicales spécialisées, rappelle-t-on, avaient séjourné en Algérie en mai, juin, juillet et septembre derniers et effectué «avec succès» des interventions chirurgicales similaires au niveau de cette clinique. Cette coopération médicale entre l'Algérie et des partenaires étrangers, à travers des conventions signées entre la CNAS et d'autres organismes étrangers, vise, outre à former des médecins algériens dans cette spécialité pointue, à réduire le transfert des malades à l'étranger, qui est très onéreux (13.000 à 28.000 euros par enfant), selon la CNAS.