«Ce débat se propose de situer les différentes variables de l'équation de la croissance économique en les projetant dans le temps. Les défis sont nombreux et seul un solide partenariat public-privé nous permettra de les relever » a déclaré hier Abdelkrim Boudra, président du Cercle pour l'action et la réflexion autour de l'entreprise (CARE) lors de la conférence-débat organisée en collaboration avec la fondation Friedrich Naumann portant sur le thème ‘'Les acteurs et les moteurs de la croissance''. «Ce débat se propose de situer les différentes variables de l'équation de la croissance économique en les projetant dans le temps. Les défis sont nombreux et seul un solide partenariat public-privé nous permettra de les relever » a déclaré hier Abdelkrim Boudra, président du Cercle pour l'action et la réflexion autour de l'entreprise (CARE) lors de la conférence-débat organisée en collaboration avec la fondation Friedrich Naumann portant sur le thème ‘'Les acteurs et les moteurs de la croissance''. De nombreuses personnalités du monde de l'économie, tels Madjid Bouzidi, Abdelhak Lamiri, Salah Mouhoubi, et de chefs d'entreprise, ont pris part à cette conférence-débat. Un panel d'économistes et d'experts financiers sont intervenus pour souligner les enjeux principaux de la croissance économique en mettant l'accent sur les règles du jeu économique. C'est ainsi que la réponse a été abordée par certains experts sous l'angle de l'analyse dynamique de la balance des paiements liée essentiellement à la balance commerciale, balance des services, balance des capitaux et des réserves. Les participants ont tenté, chacun selon sa vision, d'analyser l'impact de ces données macroéconomiques sur les politiques publiques en matière, notamment d'investissement et de stimulation de la consommation. Au regard de la conjoncture nationale et internationale approchée de manière dynamique lors de la première partie du débat, les économistes, tel que Abdelkrim Boudra, président du CARE, ont insisté sur les rôles respectifs des différents acteurs selon une stratégie de croissance ambitieuse : pouvoirs publics, entreprises publiques et privées… «La communauté économique fait face à de nombreuses interrogations quant à la stratégie industrielle, la politique de privatisation, la place des IDE, la politique de promotion de la PME et les programmes de mise à niveau des entreprises» a souligné Boudra. Face aux conséquences brutales de la crise, les pouvoirs publics ont pris les devants au travers de décisions volontaristes afin de juguler les effets de la crise sans consultation préalable. Un constat de carence semble être fait concernant le privé national dont le rôle dans la création de l'emploi est paradoxalement souligné, selon Boudra. Alors qu'un changement de cap est pris concernant les privatisations, les énièmes plans de réhabilitation des entreprises publiques se font toujours attendre. Les récentes mesures relatives aux IDE risquent, selon lui, de créer des barrières à l'entrée et de priver l'Algérie des apports étrangers nécessaires à la croissance à long terme. Quelles sont les nouvelles donnes qui accompagneront la reprise du cycle de la croissance mondiale ? Quelles sont les opportunités et les menaces pour l'économie algérienne ? Voilà les principales interrogations auxquelles ont tenté de répondre les experts dans le cadre d'une meilleure collaboration entre les pouvoirs publics et les entreprises à travers notamment le développement de vrais projets de partenariat public-privé.Le développement durable préconise, certes, un partenariat avec des sociétés internationales, mais les économistes prônent également l'encouragement de la production nationale et la promotion de la consommation. Tout comme le minsitre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar qui a récemment reconnu la nécessité de la symbiose pouvoirs publics-entreprises, les conférenciers ont mis en exergue l'impérieuse coopération entre les différentes institutions de l'Etat et les entreprises, notamment les PME crétarices de richesses et d'emplois. Dans une de nos prochaines éditions, nous publierons une interview du président du CARE, Abdelkrim Boudra. De nombreuses personnalités du monde de l'économie, tels Madjid Bouzidi, Abdelhak Lamiri, Salah Mouhoubi, et de chefs d'entreprise, ont pris part à cette conférence-débat. Un panel d'économistes et d'experts financiers sont intervenus pour souligner les enjeux principaux de la croissance économique en mettant l'accent sur les règles du jeu économique. C'est ainsi que la réponse a été abordée par certains experts sous l'angle de l'analyse dynamique de la balance des paiements liée essentiellement à la balance commerciale, balance des services, balance des capitaux et des réserves. Les participants ont tenté, chacun selon sa vision, d'analyser l'impact de ces données macroéconomiques sur les politiques publiques en matière, notamment d'investissement et de stimulation de la consommation. Au regard de la conjoncture nationale et internationale approchée de manière dynamique lors de la première partie du débat, les économistes, tel que Abdelkrim Boudra, président du CARE, ont insisté sur les rôles respectifs des différents acteurs selon une stratégie de croissance ambitieuse : pouvoirs publics, entreprises publiques et privées… «La communauté économique fait face à de nombreuses interrogations quant à la stratégie industrielle, la politique de privatisation, la place des IDE, la politique de promotion de la PME et les programmes de mise à niveau des entreprises» a souligné Boudra. Face aux conséquences brutales de la crise, les pouvoirs publics ont pris les devants au travers de décisions volontaristes afin de juguler les effets de la crise sans consultation préalable. Un constat de carence semble être fait concernant le privé national dont le rôle dans la création de l'emploi est paradoxalement souligné, selon Boudra. Alors qu'un changement de cap est pris concernant les privatisations, les énièmes plans de réhabilitation des entreprises publiques se font toujours attendre. Les récentes mesures relatives aux IDE risquent, selon lui, de créer des barrières à l'entrée et de priver l'Algérie des apports étrangers nécessaires à la croissance à long terme. Quelles sont les nouvelles donnes qui accompagneront la reprise du cycle de la croissance mondiale ? Quelles sont les opportunités et les menaces pour l'économie algérienne ? Voilà les principales interrogations auxquelles ont tenté de répondre les experts dans le cadre d'une meilleure collaboration entre les pouvoirs publics et les entreprises à travers notamment le développement de vrais projets de partenariat public-privé.Le développement durable préconise, certes, un partenariat avec des sociétés internationales, mais les économistes prônent également l'encouragement de la production nationale et la promotion de la consommation. Tout comme le minsitre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar qui a récemment reconnu la nécessité de la symbiose pouvoirs publics-entreprises, les conférenciers ont mis en exergue l'impérieuse coopération entre les différentes institutions de l'Etat et les entreprises, notamment les PME crétarices de richesses et d'emplois. Dans une de nos prochaines éditions, nous publierons une interview du président du CARE, Abdelkrim Boudra.