Les efforts semblent s'accélérer en vue d'un échange de prisonniers entre le mouvement Hamas, qui contrôle la bande de Ghaza, et Israël. Les efforts semblent s'accélérer en vue d'un échange de prisonniers entre le mouvement Hamas, qui contrôle la bande de Ghaza, et Israël. Les tractations entre les deux parties qui ont lieu par l'entremise de l'Egypte et du ministre allemand des Affaires étrangères, M.Guido Westerwelle, portent sur la libération de centaines de détenus palestiniens, «près de 500», selon le chef de la diplomatie française, contre celle du soldat israélien, Gilad Shalit, capturé le 25 juin 2006 à la lisière de la bande de Ghaza. M. Marouane Barghouti, figure de proue du mouvement national palestinien, personnalité très respectée qui jouit d'une très grande popularité, arreté par Israël et candamnné à la prison à vie pour son rôle dans la 2e Intifadha, figure sur la liste établie par le Hamas. Des responsables israeliens ont jugé «très proche» l'accord qu'ils ont néanmoins qualifié de «prix très élevé à payer». Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, comme les dirigeants du Hamas, se sont refusés à toute confirmation. Netanyahu a tout de même indiqué que tout accord aves le Hamas devrait etre débattu au Parlement et approuvé par le gouvernement. Pour sa part, le Hamas qui a accusé Israël de provoquer des fuites délibérées dans la presse «dans le but d'influencer le cours des négociations», a assuré la poursuite des efforts «destinés à surmonter les obstacles posés par l'ennemi israélien pour parvenir à un échange». Lundi, une délégation du mouvement était en Egypte pour des entretiens avec des responsables égyptiens sur le projet d'échange avant de se rendre à Damas pour y rencontrer les leaders en exil. Le président israélien, Shimon Péres, avait, de son coté, effectué une visite éclair ce dimanche au Caire où il avait rencontré son homologue, Hosni Moubarak. Il semblerait que la principale pierre d'achoppement concerne la libération controversée de Marouane Barghouti en Israël pour son poids et son influence au sein du mouvement national palestinien. Le ministre israélien du Commerce et de l'Industrie, Binyamin Ben Eliezer, de Turquie où il effectuait une visite officielle et qui appartient au Parti travailliste (centre-gauche), a indiqué qu'il était favorable, dans le cadre d'un échange, à la libération de M. Barghouthi. Interrogé lors de sa visite mardi en Israël et dans les territoires palestiniens, le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, s'est refusé à tout commentaire. "Nous espérons tous qu'il y aura une conclusion positive", a-t-il toutefois déclaré après un entretien avec son homologue israélien. Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, a quant à lui, estimé que l'évolution des négociations "est positive", tout en soulignant avoir été "échaudé plusieurs fois" dans ce dossier. Le tankiste, Gilad Shalit, possède aussi la nationalité française. Ces tractations interviennent après l'arrêt des négocitions de paix entre l'Autorité palestinienne et Israël du fait du refus de ce dernier de geler la colonisation dans les territoires palestiniens occupés comme l'exige la communauté internationale. Les tractations entre les deux parties qui ont lieu par l'entremise de l'Egypte et du ministre allemand des Affaires étrangères, M.Guido Westerwelle, portent sur la libération de centaines de détenus palestiniens, «près de 500», selon le chef de la diplomatie française, contre celle du soldat israélien, Gilad Shalit, capturé le 25 juin 2006 à la lisière de la bande de Ghaza. M. Marouane Barghouti, figure de proue du mouvement national palestinien, personnalité très respectée qui jouit d'une très grande popularité, arreté par Israël et candamnné à la prison à vie pour son rôle dans la 2e Intifadha, figure sur la liste établie par le Hamas. Des responsables israeliens ont jugé «très proche» l'accord qu'ils ont néanmoins qualifié de «prix très élevé à payer». Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, comme les dirigeants du Hamas, se sont refusés à toute confirmation. Netanyahu a tout de même indiqué que tout accord aves le Hamas devrait etre débattu au Parlement et approuvé par le gouvernement. Pour sa part, le Hamas qui a accusé Israël de provoquer des fuites délibérées dans la presse «dans le but d'influencer le cours des négociations», a assuré la poursuite des efforts «destinés à surmonter les obstacles posés par l'ennemi israélien pour parvenir à un échange». Lundi, une délégation du mouvement était en Egypte pour des entretiens avec des responsables égyptiens sur le projet d'échange avant de se rendre à Damas pour y rencontrer les leaders en exil. Le président israélien, Shimon Péres, avait, de son coté, effectué une visite éclair ce dimanche au Caire où il avait rencontré son homologue, Hosni Moubarak. Il semblerait que la principale pierre d'achoppement concerne la libération controversée de Marouane Barghouti en Israël pour son poids et son influence au sein du mouvement national palestinien. Le ministre israélien du Commerce et de l'Industrie, Binyamin Ben Eliezer, de Turquie où il effectuait une visite officielle et qui appartient au Parti travailliste (centre-gauche), a indiqué qu'il était favorable, dans le cadre d'un échange, à la libération de M. Barghouthi. Interrogé lors de sa visite mardi en Israël et dans les territoires palestiniens, le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, s'est refusé à tout commentaire. "Nous espérons tous qu'il y aura une conclusion positive", a-t-il toutefois déclaré après un entretien avec son homologue israélien. Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, a quant à lui, estimé que l'évolution des négociations "est positive", tout en soulignant avoir été "échaudé plusieurs fois" dans ce dossier. Le tankiste, Gilad Shalit, possède aussi la nationalité française. Ces tractations interviennent après l'arrêt des négocitions de paix entre l'Autorité palestinienne et Israël du fait du refus de ce dernier de geler la colonisation dans les territoires palestiniens occupés comme l'exige la communauté internationale.