Contrairement à ce qui nous a été annoncé initialement par le juge-arbitre égyptien, Waël Abbas, la mention «CAN 2009», portée sur le tableau des moins de 14 ans (garçons et filles), ne concernait pas du tout, en fait, cette catégorie d'âge. La précision nous a été communiquée par le Tunisien Hichem Riani, directeur général de la Confédération africaine de tennis (CAT). Dans le message transmis mercredi soir, il nous informe que : «Le Masters africain des 14 ans et moins est un événement qui concerne les meilleurs jeunes africains de cette catégorie d'âge et n'a rien à voir avec la CAN qui, elle, est réservée aux seniors. Toutefois, cette compétition du Masters se déroule annuellement en même temps que la CAN des seniors, dans le pays qui abrite cette compétition. Le juge-arbitre de la CAN est aussi celui du Masters des jeunes». La présence de l'Algérienne Nihal Adjali au Caire, où était organisée la CAN 2009, il y a quelques jours, s'explique ainsi plus clairement. En effet, l'excellente joueuse du Mitidja Tennis Club de Boufarik (MTCB), est, indiscutablement, la meilleure du moment en Algérie dans sa catégorie des U 14. Elle a gagné sa place dans le Masters continental grâce à ses résultats obtenus sur le circuit africain de l'année en cours «et non pas à la suite d'une sélection de la Fédération algérienne», et ce, selon les déclarations du DTN de la FAT, Mohamed Lamine Bakhti. Le Masters Afrique a réuni les huit premiers classés des U 14. Nihal a terminé à la 6e place du classement final. Elle a remporté deux victoires face à la Kenyane Damaris Musera et la Mauricienne Shannon Wong Hon Chan et perdu trois matches contre la Tunisienne Mona Jebri, l'Egyptienne Marina Albert et la Marocaine Intissar Rassif. Par contre, la CAN 2009 des seniors n'a vu l'engagement d'aucun joueur algérien pour cause, selon le DTN de la FAT, «du niveau de préparation de notre élite jugé insuffisant pour obtenir des résultats positifs au Caire où il n'était pas question, pour nous, de faire de la figuration». Le trophée a été remporté par le Tunisien Malek Jaziri et la Marocaine Fatima Zahra El Alami. Contrairement à ce qui nous a été annoncé initialement par le juge-arbitre égyptien, Waël Abbas, la mention «CAN 2009», portée sur le tableau des moins de 14 ans (garçons et filles), ne concernait pas du tout, en fait, cette catégorie d'âge. La précision nous a été communiquée par le Tunisien Hichem Riani, directeur général de la Confédération africaine de tennis (CAT). Dans le message transmis mercredi soir, il nous informe que : «Le Masters africain des 14 ans et moins est un événement qui concerne les meilleurs jeunes africains de cette catégorie d'âge et n'a rien à voir avec la CAN qui, elle, est réservée aux seniors. Toutefois, cette compétition du Masters se déroule annuellement en même temps que la CAN des seniors, dans le pays qui abrite cette compétition. Le juge-arbitre de la CAN est aussi celui du Masters des jeunes». La présence de l'Algérienne Nihal Adjali au Caire, où était organisée la CAN 2009, il y a quelques jours, s'explique ainsi plus clairement. En effet, l'excellente joueuse du Mitidja Tennis Club de Boufarik (MTCB), est, indiscutablement, la meilleure du moment en Algérie dans sa catégorie des U 14. Elle a gagné sa place dans le Masters continental grâce à ses résultats obtenus sur le circuit africain de l'année en cours «et non pas à la suite d'une sélection de la Fédération algérienne», et ce, selon les déclarations du DTN de la FAT, Mohamed Lamine Bakhti. Le Masters Afrique a réuni les huit premiers classés des U 14. Nihal a terminé à la 6e place du classement final. Elle a remporté deux victoires face à la Kenyane Damaris Musera et la Mauricienne Shannon Wong Hon Chan et perdu trois matches contre la Tunisienne Mona Jebri, l'Egyptienne Marina Albert et la Marocaine Intissar Rassif. Par contre, la CAN 2009 des seniors n'a vu l'engagement d'aucun joueur algérien pour cause, selon le DTN de la FAT, «du niveau de préparation de notre élite jugé insuffisant pour obtenir des résultats positifs au Caire où il n'était pas question, pour nous, de faire de la figuration». Le trophée a été remporté par le Tunisien Malek Jaziri et la Marocaine Fatima Zahra El Alami.