Sur initiative de l'association "Ferdja oua ferha", une journée d'études avec pour thème l'insertion des personnes handicapées dans le monde du travail a été organisée au courant de cette semaine à Alger. Cette rencontre a été l'occasion de mettre en exergue le quotidien social «difficile» des personnes en situation de handicap qui aspirent à une vie décente et à se sentir citoyen à part entière, ont souligné les participants à l'ouverture de cette journée d'étude. Sur initiative de l'association "Ferdja oua ferha", une journée d'études avec pour thème l'insertion des personnes handicapées dans le monde du travail a été organisée au courant de cette semaine à Alger. Cette rencontre a été l'occasion de mettre en exergue le quotidien social «difficile» des personnes en situation de handicap qui aspirent à une vie décente et à se sentir citoyen à part entière, ont souligné les participants à l'ouverture de cette journée d'étude. «L'insertion des personnes handicapées dans la vie professionnelle ordinaire demeure difficile. Les jeunes handicapés diplômés des centres spécialisés ou même des universités souffrent réellement du chômage, en dépit de leur formation et compétences», a relevé la présidente de l'association, Nacera Beneddine. Un appel a été lancé pour la prise en charge de la catégorie des handicapés qui sont au chômage. «Les jeunes handicapés au chômage méritent que l'on s'occupe d'eux. Malgré leur prise en charge par des établissements spécialisés où ils ont reçu une éducation et une formation adaptées, dans des domaines tels que la couture, la coiffure, l'informatique et autres, ces personnes restent en attente d'une insertion socioprofessionnelle», a indiqué la présidente de l'association "Ferdja oua ferha". Notons que des communications ont été présentées lors des travaux par des médecins, psychologues et formateurs sur la place du handicapé dans la société et de son insertion professionnelle, les caractéristiques psychologiques du handicap et l'aspect psychosocial de la surdité. Des ateliers thématiques ont été organisés au profit de personnes non handicapées afin de les sensibiliser et les motiver en vue de mener des actions en faveur des personnes en situation de handicap dans le but de contribuer à leur insertion socioprofessionnelle. Il est important de rappeler, par ailleurs, que ce sont quelque 2.000.000 de handicapés algériens qui disposent aujourd'hui d'une convention internationale qui vise à promouvoir, protéger et assurer la pleine et égale jouissance de tous leurs droits et de toutes les libertés fondamentales et à promouvoir leur dignité depuis le 30 mars 2009, en fait depuis que l'Algérie a signé la convention onusienne relative à leurs droits du 13 décembre 2006. «L'insertion des personnes handicapées dans la vie professionnelle ordinaire demeure difficile. Les jeunes handicapés diplômés des centres spécialisés ou même des universités souffrent réellement du chômage, en dépit de leur formation et compétences», a relevé la présidente de l'association, Nacera Beneddine. Un appel a été lancé pour la prise en charge de la catégorie des handicapés qui sont au chômage. «Les jeunes handicapés au chômage méritent que l'on s'occupe d'eux. Malgré leur prise en charge par des établissements spécialisés où ils ont reçu une éducation et une formation adaptées, dans des domaines tels que la couture, la coiffure, l'informatique et autres, ces personnes restent en attente d'une insertion socioprofessionnelle», a indiqué la présidente de l'association "Ferdja oua ferha". Notons que des communications ont été présentées lors des travaux par des médecins, psychologues et formateurs sur la place du handicapé dans la société et de son insertion professionnelle, les caractéristiques psychologiques du handicap et l'aspect psychosocial de la surdité. Des ateliers thématiques ont été organisés au profit de personnes non handicapées afin de les sensibiliser et les motiver en vue de mener des actions en faveur des personnes en situation de handicap dans le but de contribuer à leur insertion socioprofessionnelle. Il est important de rappeler, par ailleurs, que ce sont quelque 2.000.000 de handicapés algériens qui disposent aujourd'hui d'une convention internationale qui vise à promouvoir, protéger et assurer la pleine et égale jouissance de tous leurs droits et de toutes les libertés fondamentales et à promouvoir leur dignité depuis le 30 mars 2009, en fait depuis que l'Algérie a signé la convention onusienne relative à leurs droits du 13 décembre 2006.