Le comité des dix de l'Union africaine (UA) sur la réforme des Nations unies s'est réuni vendredi dernier à Tripoli (Libye), au niveau du sommet, pour examiner les recommandations que lui ont soumis les ministres, à la suite de la réunion que ces derniers ont tenue à Kampala, le 20 octobre dernier, en marge du Sommet spécial de l'Union africaine sur les réfugiés et les personnes déplacées. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, a représenté le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à cette rencontre. Messahel, chef de la délégation algérienne, a souligné, au cours des travaux "la nécessité d'un attachement au Consensus africain", et mis l'accent sur "l'importance pour l'Afrique de maintenir sa cohésion et son unité face aux tentatives de division dont elle fait l'objet". Il a, dans ce même contexte, rejeté toute approche qui affaiblirait ou porterait préjudice aux intérêts légitimes du continent africain. Par ailleurs, les chefs d'Etat ont, à cette occasion, entériné le rapport présenté par les ministres et réaffirmé la pertinence de la position africaine commune fondée sur la revendication de deux sièges permanents pour l'Afrique avec droit de veto, conformément au Consensus d'Ezulwini, renforcé par la déclaration de Syrte. De ce fait, ils ont rejeté toute approche intermédiaire qui ne prendrait pas en compte cette demande. Le Comité des dix chefs d'Etat et de gouvernement de l'UA en charge de la réforme des Nations unies, présidé par la Sierra Leone, est composé de l'Algérie, le Congo, la Zambie, l'Ouganda, le Kenya, la Libye, le Sénégal, la Namibie et la Guinée équatoriale, rappelle-t-on. Le comité des dix de l'Union africaine (UA) sur la réforme des Nations unies s'est réuni vendredi dernier à Tripoli (Libye), au niveau du sommet, pour examiner les recommandations que lui ont soumis les ministres, à la suite de la réunion que ces derniers ont tenue à Kampala, le 20 octobre dernier, en marge du Sommet spécial de l'Union africaine sur les réfugiés et les personnes déplacées. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, a représenté le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à cette rencontre. Messahel, chef de la délégation algérienne, a souligné, au cours des travaux "la nécessité d'un attachement au Consensus africain", et mis l'accent sur "l'importance pour l'Afrique de maintenir sa cohésion et son unité face aux tentatives de division dont elle fait l'objet". Il a, dans ce même contexte, rejeté toute approche qui affaiblirait ou porterait préjudice aux intérêts légitimes du continent africain. Par ailleurs, les chefs d'Etat ont, à cette occasion, entériné le rapport présenté par les ministres et réaffirmé la pertinence de la position africaine commune fondée sur la revendication de deux sièges permanents pour l'Afrique avec droit de veto, conformément au Consensus d'Ezulwini, renforcé par la déclaration de Syrte. De ce fait, ils ont rejeté toute approche intermédiaire qui ne prendrait pas en compte cette demande. Le Comité des dix chefs d'Etat et de gouvernement de l'UA en charge de la réforme des Nations unies, présidé par la Sierra Leone, est composé de l'Algérie, le Congo, la Zambie, l'Ouganda, le Kenya, la Libye, le Sénégal, la Namibie et la Guinée équatoriale, rappelle-t-on.