Le brent a achevé la semaine en baisse, au dessus de 70 dollars, affectés par les craintes d'excédent de la production et le renforcement du dollar. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier, perdait 10 cents à 71,76 dollars sur l'InterContinental Exchange (UCE) alors que le baril de "brut léger texan" (WTI) échangé au New York Mercantile Exchange (Nymex) pour la même échéance gagnait 46 cents à 70,08 dollars. Selon un analyste chez PVM, "le renforcement du dollar a été le facteur majeur (de la chute des cours cette semaine), mais les prises de bénéfices de fin d'année, la prudence et les doutes liés à la reprise ont aussi joué". La monnaie américaine a grimpé jusqu'à 1,4586 dollar pour un euro vendredi vers 16h20 GMT, son niveau le plus haut face à l'euro en deux mois. Les cours ont été également impactés par un excédent de production, qui s'est traduit par des stocks quasi record aux Etats-Unis. Le relèvement des perspectives de demande de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) n'a pas réussi à enrayer la baisse des prix. L'AIE a revu légèrement à la hausse sa prévision de demande mondiale de pétrole en 2009 et 2010, soutenue notamment par les pays d'Asie et du Moyen-Orient, selon son rapport mensuel publié vendredi. L'agence table désormais sur un recul de 1,6% sur un an, à 84,9 millions de barils par jour (mbj), alors qu'elle anticipait jusque-là sur une contraction. Le brent a achevé la semaine en baisse, au dessus de 70 dollars, affectés par les craintes d'excédent de la production et le renforcement du dollar. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier, perdait 10 cents à 71,76 dollars sur l'InterContinental Exchange (UCE) alors que le baril de "brut léger texan" (WTI) échangé au New York Mercantile Exchange (Nymex) pour la même échéance gagnait 46 cents à 70,08 dollars. Selon un analyste chez PVM, "le renforcement du dollar a été le facteur majeur (de la chute des cours cette semaine), mais les prises de bénéfices de fin d'année, la prudence et les doutes liés à la reprise ont aussi joué". La monnaie américaine a grimpé jusqu'à 1,4586 dollar pour un euro vendredi vers 16h20 GMT, son niveau le plus haut face à l'euro en deux mois. Les cours ont été également impactés par un excédent de production, qui s'est traduit par des stocks quasi record aux Etats-Unis. Le relèvement des perspectives de demande de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) n'a pas réussi à enrayer la baisse des prix. L'AIE a revu légèrement à la hausse sa prévision de demande mondiale de pétrole en 2009 et 2010, soutenue notamment par les pays d'Asie et du Moyen-Orient, selon son rapport mensuel publié vendredi. L'agence table désormais sur un recul de 1,6% sur un an, à 84,9 millions de barils par jour (mbj), alors qu'elle anticipait jusque-là sur une contraction.