C'est parti ! le théâtre amazigh campe à Batna avec un programme chargé, qui va du 11 au 18 décembre 2009. En ces journées printanières, la foule des grands jours venue des Aurès, notamment de Tébessa, Oum El -Bouaghi, Khenchela, Biskra et Batna et même des wilayas limitrophes, à l'instar de Constantine, Sétif, Mila, Annaba et Bordj Bou- Arréridj. Des comédies en amazighe sont au menu, quoique certains changements sont intervenus – l'on en ignore les raisons – on a fini par donner des spectacles en langue amazighe, parfois "mixée" au parler dialectal algérien. On attend au niveau de l'antique théâtre la représentation de quatre spectacles qui seront interprétés par les théâtres régionaux de Batna, Tizi-Ouzou, Béjaïa, et Oran. Ces derniers donneront respectivement dans la soirée à partir de 19 h Alghem Abehloul (Le chameau fou) de Salah Boubir, Ajemadh nTerjaien (La berge des rêves) (Texte et musique de l'érudit Batnéen Salim Souhali, adaptation de Chiba Lahcen), Business is Business (Fouzia Ait El Hadj), le Foehn (Adaptation de Djamel Abdelli) et enfin Anneggaru ad - yerr Tawwurt de l'association culturelle Numidia du TR Oran. La scène du TRB abritera, quant à elle, l'atelier des arts dramatiques de Tamanrasset qui présentera une pièce de Azouz Abdelkader intitulée Tamenhayet adaptée d'un texte de Fertouni Mouloud. Le TNA sera également présent à travers Fatma, un scénario mis au point par Mohamed Benguettaf et traduit en amazigh par Mohand Aït Ighil. L'adaptation théâtrale a été l'œuvre du directeur du théâtre de Béjaïa, le dynamique Omar Fatmouche. Par ailleurs, la maison de la culture Med-El-Khalifa, des célèbres Allées Benboulaid, abritera les spectacles donnés par les troupes d'amateurs réparties en deux séance à 14 h et 16 h. Il faut observer que Tizi-Ouzou, ce fief de la cause berbère, a dépêché quatre troupes issues du monde associatif .Celle d'Athouren avec Tacarit n Jeddi écrite par Meziane Kezzar et adaptée par Lies Mekrar, Les semeurs de sel de l'association culturelle et scientifique Aghbalou, l'association Yousef Oukaci ou tachemlit, avec Mazal El Er Zdath des Aït Slimane Hamid et Nordine et enfin Loundja de la troupe de Hamid Bentayeb d'Ifarhouhen. Boumerdès y a dépêché l'association Assirem, Ghardaïa devrait présenter Yesrouh ayen yellen et Tche bret ne letch de Karim Belhadj. Biskra se présente avec Mauvaise issue de Salah ou el Hadj Brahim, jouée par la troupe de recherche artistique tandis que la daïra de Aïn Touta marquera sa présence avec la troupe Iguelilen qui jouera Djidj. Enfin l'Institut supérieur des métiers audio vidéo (ISMAS) donnera Assioul. C'est parti ! le théâtre amazigh campe à Batna avec un programme chargé, qui va du 11 au 18 décembre 2009. En ces journées printanières, la foule des grands jours venue des Aurès, notamment de Tébessa, Oum El -Bouaghi, Khenchela, Biskra et Batna et même des wilayas limitrophes, à l'instar de Constantine, Sétif, Mila, Annaba et Bordj Bou- Arréridj. Des comédies en amazighe sont au menu, quoique certains changements sont intervenus – l'on en ignore les raisons – on a fini par donner des spectacles en langue amazighe, parfois "mixée" au parler dialectal algérien. On attend au niveau de l'antique théâtre la représentation de quatre spectacles qui seront interprétés par les théâtres régionaux de Batna, Tizi-Ouzou, Béjaïa, et Oran. Ces derniers donneront respectivement dans la soirée à partir de 19 h Alghem Abehloul (Le chameau fou) de Salah Boubir, Ajemadh nTerjaien (La berge des rêves) (Texte et musique de l'érudit Batnéen Salim Souhali, adaptation de Chiba Lahcen), Business is Business (Fouzia Ait El Hadj), le Foehn (Adaptation de Djamel Abdelli) et enfin Anneggaru ad - yerr Tawwurt de l'association culturelle Numidia du TR Oran. La scène du TRB abritera, quant à elle, l'atelier des arts dramatiques de Tamanrasset qui présentera une pièce de Azouz Abdelkader intitulée Tamenhayet adaptée d'un texte de Fertouni Mouloud. Le TNA sera également présent à travers Fatma, un scénario mis au point par Mohamed Benguettaf et traduit en amazigh par Mohand Aït Ighil. L'adaptation théâtrale a été l'œuvre du directeur du théâtre de Béjaïa, le dynamique Omar Fatmouche. Par ailleurs, la maison de la culture Med-El-Khalifa, des célèbres Allées Benboulaid, abritera les spectacles donnés par les troupes d'amateurs réparties en deux séance à 14 h et 16 h. Il faut observer que Tizi-Ouzou, ce fief de la cause berbère, a dépêché quatre troupes issues du monde associatif .Celle d'Athouren avec Tacarit n Jeddi écrite par Meziane Kezzar et adaptée par Lies Mekrar, Les semeurs de sel de l'association culturelle et scientifique Aghbalou, l'association Yousef Oukaci ou tachemlit, avec Mazal El Er Zdath des Aït Slimane Hamid et Nordine et enfin Loundja de la troupe de Hamid Bentayeb d'Ifarhouhen. Boumerdès y a dépêché l'association Assirem, Ghardaïa devrait présenter Yesrouh ayen yellen et Tche bret ne letch de Karim Belhadj. Biskra se présente avec Mauvaise issue de Salah ou el Hadj Brahim, jouée par la troupe de recherche artistique tandis que la daïra de Aïn Touta marquera sa présence avec la troupe Iguelilen qui jouera Djidj. Enfin l'Institut supérieur des métiers audio vidéo (ISMAS) donnera Assioul.