Les 300 travailleurs de la société algéro-turque du fer, dont le P-dg, activement recherché par les services de sécurité pour escroquerie et fraude fiscale, s'est réfugié à l'étranger, ne décolèrent pas et sont de nouveau montés au créneau. Ils dénoncent ce qu'ils estiment être une arnaque, dont ils sont les premières victimes. ils se sont rassemblés, dimanche, devant le siège du tribunal d'El Hadjar pour protester contre la modification a leur insu, de leur bulletin de paye original, qui aurait été revu à la baisse, pour passer de 30.000 DA, en moyenne, à moins de 16.000 DA affirment les protestataires. L'avocat, chargé de la défense de leur droits et intérêts, dans le cadre de la liquidation des actifs de l'entreprise, devait pourtant, remettre au liquidateur, leurs fiches de paye reprenant leurs anciennes rémunérations. Y a-t-il une manœuvre occulte, quelque part, qui a lésé l'ensemble des salariés de l'ex-ATF ? s'interrogent ces derniers. Le procureur pès la cour d'El Hadjar qui, a, reçu en audience, certains des représentants de ces travailleurs, a promis, que la justice se penchera sur cette affaire et effectuera les vérifications nécessaires. Mais, hier les travailleurs, sont revenus à la charge et ont pris d'assaut, le bureau du bâtonnat à Annaba : "Nous avons remis une requête au bâtonnier, et nous avons souligné le rôle de l'avocat désigné pour assurer notre défense, dans cette affaire qui a porté préjudice à 300 travailleurs…", ont-ils déclaré à la presse. "Nous exigeons que toute la lumière soit faite à ce sujet", insistent-ils. Les 300 travailleurs de la société algéro-turque du fer, dont le P-dg, activement recherché par les services de sécurité pour escroquerie et fraude fiscale, s'est réfugié à l'étranger, ne décolèrent pas et sont de nouveau montés au créneau. Ils dénoncent ce qu'ils estiment être une arnaque, dont ils sont les premières victimes. ils se sont rassemblés, dimanche, devant le siège du tribunal d'El Hadjar pour protester contre la modification a leur insu, de leur bulletin de paye original, qui aurait été revu à la baisse, pour passer de 30.000 DA, en moyenne, à moins de 16.000 DA affirment les protestataires. L'avocat, chargé de la défense de leur droits et intérêts, dans le cadre de la liquidation des actifs de l'entreprise, devait pourtant, remettre au liquidateur, leurs fiches de paye reprenant leurs anciennes rémunérations. Y a-t-il une manœuvre occulte, quelque part, qui a lésé l'ensemble des salariés de l'ex-ATF ? s'interrogent ces derniers. Le procureur pès la cour d'El Hadjar qui, a, reçu en audience, certains des représentants de ces travailleurs, a promis, que la justice se penchera sur cette affaire et effectuera les vérifications nécessaires. Mais, hier les travailleurs, sont revenus à la charge et ont pris d'assaut, le bureau du bâtonnat à Annaba : "Nous avons remis une requête au bâtonnier, et nous avons souligné le rôle de l'avocat désigné pour assurer notre défense, dans cette affaire qui a porté préjudice à 300 travailleurs…", ont-ils déclaré à la presse. "Nous exigeons que toute la lumière soit faite à ce sujet", insistent-ils.