Le Front national algérien (FNA) participera à l'élection du renouvellement partiel du Sénat qui aura lieu le 29 décembre du mois courant. C'est ce qu'a déclaré, hier, son président, Moussa Touati dans une conférence de presse, tenue en son siège à Alger. Selon le patron du FNA, «son parti présentera des candidats dans toutes les wilayas», à l'exception de Béchar, Tizi- Ouzou, El Oued, Khenchela, Tissemssilt, Aïn Temouchent et Saïda. Optimiste, le leader du FNA compte rééditer la performance obtenue lors des législatives de 2007 où ce parti a obtenu plus de 10 sièges au sein de l'Assemblée populaire nationale surclassant ainsi le MSP au niveau des Assemblées de wilaya. Tout compte fait le FNA, qui occupe la troisième force politique au niveau des assemblées locales, ambitionne, de sa seule capacité, à refaire le coup lors de cette élection partielle du Sénat. Il a affirmé, dans ce cadre, qu'il «n'y aura pas de coalition avec d'autres partis». Pour Moussa Touati, il est hors de question «de nouer des alliances» avec d'autres formations politiques du fait «de différences fondamentales et de la différence d'objectifs». C'est le secret de Polichinelle d'affirmer que le parti de Moussa Touati diverge avec les partis de l'Alliance présidentielle, présents en force à l'occasion de cette échéance et même avec le RCD, sur les approches et le traitement des questions politiques, économiques et sociales qui se posent au pays. Reprochant son inertie au Conseil de la nation, créé il y a douze ans, il appelle de tous ses vœux à ce que le Sénat joue «un rôle constitutionnel clair» afin, souligne-t-il qu'«il soit activement présent dans les différents domaines de la vie nationale», estimant que la mission des membres du Conseil de la nation consiste à «être à l'écoute des préoccupations des élus et leur protection conformément à la constitution». Le Front national algérien (FNA) participera à l'élection du renouvellement partiel du Sénat qui aura lieu le 29 décembre du mois courant. C'est ce qu'a déclaré, hier, son président, Moussa Touati dans une conférence de presse, tenue en son siège à Alger. Selon le patron du FNA, «son parti présentera des candidats dans toutes les wilayas», à l'exception de Béchar, Tizi- Ouzou, El Oued, Khenchela, Tissemssilt, Aïn Temouchent et Saïda. Optimiste, le leader du FNA compte rééditer la performance obtenue lors des législatives de 2007 où ce parti a obtenu plus de 10 sièges au sein de l'Assemblée populaire nationale surclassant ainsi le MSP au niveau des Assemblées de wilaya. Tout compte fait le FNA, qui occupe la troisième force politique au niveau des assemblées locales, ambitionne, de sa seule capacité, à refaire le coup lors de cette élection partielle du Sénat. Il a affirmé, dans ce cadre, qu'il «n'y aura pas de coalition avec d'autres partis». Pour Moussa Touati, il est hors de question «de nouer des alliances» avec d'autres formations politiques du fait «de différences fondamentales et de la différence d'objectifs». C'est le secret de Polichinelle d'affirmer que le parti de Moussa Touati diverge avec les partis de l'Alliance présidentielle, présents en force à l'occasion de cette échéance et même avec le RCD, sur les approches et le traitement des questions politiques, économiques et sociales qui se posent au pays. Reprochant son inertie au Conseil de la nation, créé il y a douze ans, il appelle de tous ses vœux à ce que le Sénat joue «un rôle constitutionnel clair» afin, souligne-t-il qu'«il soit activement présent dans les différents domaines de la vie nationale», estimant que la mission des membres du Conseil de la nation consiste à «être à l'écoute des préoccupations des élus et leur protection conformément à la constitution».