A une vingtaine de jours de la CAN 2010 de football, prévue le 10 janvier prochain en Angola, les modalités du déplacement des supporters de l'Equipe Nationale commencent à se dessiner, du moins, au niveau sanitaire. Les quelques 3 mille fans des Fennecs, attendus prochainement en Angola, seront vaccinés contre les maladies infectieuses, dont la pandémie de la grippe A. C'est ce qui a été affirmé, hier, lors du briefing du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière sur la situation pandémique du virus H1N1 en Algérie. En effet, les nombreux fan de l'EN qui suivront de près les matchs des poulains de Saâdane, disposeront de tout l'encadrement sanitaire nécessaire, à condition que «le déplacement se fera dans un cadre organisationnel et non à titre personnel, précise-t-on au département de Saïd Barkat. Autrement dit, la vaccination contre les maladies infectieuses, notamment, le paludisme, la fièvre jaune et probablement la grippe porcine, initiée par le ministère de la Santé, touchera uniquement les supporters pris en charge par le Comité Intersectoriel d'organisation installé à cet effet au niveau du ministère de la Jeunesse et des Sports. Il est à rappeler que la vaccination contre les maladies infectieuses est obligatoire lors des voyages à destination des pays africains. Une obligation qui ne contenait pas, jusqu'à aujourd'hui, celle conçernant la pandémie de la grippe A puisque c'est une maladie récente. D'un autre côté, le ministère de la Santé évoque la «probabilité» de la vaccination des supporters contre le virus H1N1, du fait que l'utilisation dudit vaccin n'est pas encore conforme. L'opération de vaccination nationale contre la pandémie est, précise-t-on, suspendue à la délivrance par les laboratoires de références spécialisés du certificat de conformité du vaccin. Les spécialistes affirment que ce produit protégera particulièrement les personnes vulnérables contre le risque de contamination, de complications et de décès ainsi que de couper la chaîne de propagation du virus et d'éviter une éventuelle mutation. Ce qui est vivement recommandé pour nos nombreux supporters en route vers les terres centres-africaines. Deux nouveaux décès La grippe A tue toujours. Deux nouveaux décès liés au virus H1N1 ont été enregistrés, hier, au niveau national. Ce qui porte le nombre à 38 décès et quelque 607 cas confirmés à l'heure actuelle. C'est ce qui ressort du dernier bilan sur la situation épidémiologique de maladie, rendu publique, hier, lors d'un point de presse au ministère de la Santé. Les deux décès concernent, en effet, une femme de 34 ans souffrant d'une maladie chronique d'ordre cardiaque. La seconde victime est un homme de 60 ans souffrant d'une broncho-pneumopathie. En outre, au moins 8 mille personnes seraient atteintes de la grippe A, dont l'état sanitaire n'a pas nécessité leur hospitalisation. Ces personnes sont traitées avec l'antiviral «Oseltamivir», disponible gratuitement, à partir de la semaine prochaine, dans les officines pharmaceutiques, alors qu'il l'est déjà au niveau des structures de santé publiques et privées. A une vingtaine de jours de la CAN 2010 de football, prévue le 10 janvier prochain en Angola, les modalités du déplacement des supporters de l'Equipe Nationale commencent à se dessiner, du moins, au niveau sanitaire. Les quelques 3 mille fans des Fennecs, attendus prochainement en Angola, seront vaccinés contre les maladies infectieuses, dont la pandémie de la grippe A. C'est ce qui a été affirmé, hier, lors du briefing du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière sur la situation pandémique du virus H1N1 en Algérie. En effet, les nombreux fan de l'EN qui suivront de près les matchs des poulains de Saâdane, disposeront de tout l'encadrement sanitaire nécessaire, à condition que «le déplacement se fera dans un cadre organisationnel et non à titre personnel, précise-t-on au département de Saïd Barkat. Autrement dit, la vaccination contre les maladies infectieuses, notamment, le paludisme, la fièvre jaune et probablement la grippe porcine, initiée par le ministère de la Santé, touchera uniquement les supporters pris en charge par le Comité Intersectoriel d'organisation installé à cet effet au niveau du ministère de la Jeunesse et des Sports. Il est à rappeler que la vaccination contre les maladies infectieuses est obligatoire lors des voyages à destination des pays africains. Une obligation qui ne contenait pas, jusqu'à aujourd'hui, celle conçernant la pandémie de la grippe A puisque c'est une maladie récente. D'un autre côté, le ministère de la Santé évoque la «probabilité» de la vaccination des supporters contre le virus H1N1, du fait que l'utilisation dudit vaccin n'est pas encore conforme. L'opération de vaccination nationale contre la pandémie est, précise-t-on, suspendue à la délivrance par les laboratoires de références spécialisés du certificat de conformité du vaccin. Les spécialistes affirment que ce produit protégera particulièrement les personnes vulnérables contre le risque de contamination, de complications et de décès ainsi que de couper la chaîne de propagation du virus et d'éviter une éventuelle mutation. Ce qui est vivement recommandé pour nos nombreux supporters en route vers les terres centres-africaines. Deux nouveaux décès La grippe A tue toujours. Deux nouveaux décès liés au virus H1N1 ont été enregistrés, hier, au niveau national. Ce qui porte le nombre à 38 décès et quelque 607 cas confirmés à l'heure actuelle. C'est ce qui ressort du dernier bilan sur la situation épidémiologique de maladie, rendu publique, hier, lors d'un point de presse au ministère de la Santé. Les deux décès concernent, en effet, une femme de 34 ans souffrant d'une maladie chronique d'ordre cardiaque. La seconde victime est un homme de 60 ans souffrant d'une broncho-pneumopathie. En outre, au moins 8 mille personnes seraient atteintes de la grippe A, dont l'état sanitaire n'a pas nécessité leur hospitalisation. Ces personnes sont traitées avec l'antiviral «Oseltamivir», disponible gratuitement, à partir de la semaine prochaine, dans les officines pharmaceutiques, alors qu'il l'est déjà au niveau des structures de santé publiques et privées.