-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o- Pendant les discours et les pétitions la misère continue…. !!!!!! La publication d'un manifeste de revendications – lors de grands ou de dramatiques évènements qui déstabilisent et qui remettent en cause l'unité du peuple algérien et par la même l'unité nationale – fait partie de l'arsenal des instruments politiques du mouvement démocratique algérien depuis la nuit des temps….. (18em, 19em, 20em, et 21em siècle….), expression on ne peut plus politique et pacifique. Et aujourd'hui a l'orée de cette nouvelle année 2011, de cette nouvelle décennie du 21em siècle – que nous voulons que de seuls progrès, de paix et de liberté – nous ne prorogerons pas a la règle fondamentale de l'élaboration et de la publication d'un manifeste sur la situation actuelle du pays et de la manière que nous proposons pour s'en sortir… selon le mode ancestralement culturel du mouvement national algérien… de manière imminemment pacifique et politique….comme nous l'avons toujours fait dans la contemporaneitee, depuis le congre de la Soummam dont nous nous sentons les héritiers complets jusqu'a l'indépendance du pays le 5 juillet 1962, dont nous allons célébrer le cinquantenaire dans un an, et surtout tout au long des différentes révoltes populaires qui se sont suivis depuis l'indépendance à nos jours. -o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o- Mais balbutiements de l'histoire… encore une fois la Tunisie, le peuple tunisien dans sa révolte pour la dignité – « la révolte du jasmin » – nous donne la leçon et nous montre le chemin à suivre… dans sa seule ténacité, pour chasser le tyran. Merci au peuple tunisien patient, mais valeureux et courageux…. Bel exemple pour nous… !!! Et oui, de nouveau, comme une malédiction fatale et programmee, les nouvelles qui nous parviennent du pays – l'Algérie – de sa situation économique, sociale et politique, sont alarmantes… (Je ne veux surtout pas parler de la situation culturelle de l'Algérie, car elle a disparue du paysage des préoccupations du citoyen et de la citoyenne algérienne depuis 20ans révolues… tellement il est devenu hideux de vivre simplement). Ce ne sont plus des valeurs, ce ne sont que des valeurs consummerisables. Les « émeutes de la faim », qui la perturbent cycliquement en sont le témoin…. Il est certain que le ras bol de cette vie offerte et menée en Algérie est flagrant et qu'il s'exprime, d'une manière violente, car la violence est la seule alternative offerte par l'expression qu'impose le dominant militaro-policier répressif. 1* / Le diagnostique de la situation du pays : Oh, on pourrait jouer les intellectuels et les grands analystes, mais les mots manquent tellement le gâchis auquel on assiste fait mal et qui se déroule sous nos yeux au nom de « la révolution algérienne de novembre 54» nous laisse transi du constat des trahisons, qu'on sera oblige un jour de juger et de justifier. Juste envie de pleurer avant qu'une rage folle d'un sursaut de survie s'empare de nous et nous pousse à lutter, fatigue par une « résistance passive» stérile. Car, malgré le recouvrement de son indépendance et de sa souveraineté territoriale, ses milliards d'euros qui pleuvent, accumulés (150 milliards d'euros de réserve dit-on aujourd'hui) par la seule vente de son énergie, qui est un produit naturel de son désert – le Sahara – que constituent le pétrole et le gaz, l'Algérie paradoxalement est un pays exsangue et sous-développé. Son retard « technologique invisible » est patent, en retard de progrès économiques probant et en retard social flagrant, malgré une valeur humaine qui est là, grâce la mise en place d'un système de gouvernance et de gestion qui n'est « producteur factuel oblige » que de répression et de misère devant tant de pauvreté produite, tant d'instabilité politique induite et tant de révoltes populaires manifestes sporadiquement, et ceci depuis son indépendance, par le manque de liberté totale. L'expression des luttes de la société algérienne, n'est que spontanée sûrement – (l'opposition politique démocratique n'existe pas – largement et durement combattus – les valeureux sont muselés ou torturés, et systématiquement enfermés dans le cycle infernal du seul droit « au silence, à la mort ou à l'exil ») – malgré que l'on note, lors de ces révoltes aussi les accointances rapides et flagrantes entre les grandes villes, Constantine, Annaba, Alger, Tizi-ouzou et Oran, comme « une traînée de poudre » expression de la révolte réelle sans qu'on puisse parler ou suspecter à une « coordination de la révolte » . L'expression est plus simple, (cette coordination qui aurait nécessité l'existence d'une opposition structurée, organisée et qui aurait une marge de manœuvre et un espace accepté de la contestation) on est très loin de ce schéma… car la violence et la répression sournoise « du système SM/DRS » sont immédiates. Et aujourd'hui on assiste au rejet complet du système de gouvernance et de vie qui est offert en Algérie depuis l'indépendance, et surtout, depuis le coup d'état de juin 1965 a ce jour, sans pour cela qu'une solution « proposée » soit immédiatement visible et construite. La technique du vide, de la violence pour ne jamais présente d'alternative quelque soit le temps ou l'espace d'action. Car, l'Etat Algérien du coup d'état de juin 1965 – qui nous gouverne depuis, et qui s'inscrit dans le droit fil de la division international du travail «du capitaliste et financier prédateur, prébendier, spéculateur et rentier » – n'est qu'un relais exécutif du système de domination et d'exploitation capitaliste libéral et neo-colonial. Les peuples indigenes – qui ne sont plus gérés en direct mais par le système de sous-traitance local militaro-policier – n'y sont vu que comme « bassins locaux ou exportables de main-d'œuvre à bon ou à très bon marché ». Il en va de même pour l'Algérie. Il est en seule sous-traitance du maintient de l'ordre social local par l'armée et la police (ce système militaro-affairiste, et organise en simple mafia, a mis ces deux forces pérenne de la souveraineté et de l'indépendance nationale au seul service des intérêts étrangers, extérieurs, exploiteurs), bafouant ainsi les acquis de l'indépendance nationale et de la souveraineté populaire et territoriale chèrement acquises contre le colonialisme francais – Acquis qui sont édictes par la déclaration du 1er novembre 54, et des attendus du congre de la Soummam 1956, fondateur de l'Etat Algérien Moderne. Ces acquis sont les fondements juridiques referents de l'Algerie que nos parents « en lutte contre le colonialisme francais et pour la liberté » voulaient construire. Ces acquis sont nos valeur referentes morale que nous devons respecter et pérenniser, car l'adversaire idéologique est peut être blesse mais pas mort…. Puisqu'il nous a laissé un système de domination et d'exploitation qui est le responsable de la situation actuelle du pays… Le colonialisme francais, qui sous d'autre forme plus moderne plus rampantes et plus perverses d'existence, n'a pas quitte le pays, depuis l'indépendance le 5 juillet 1962. Il s'est préserve une existence sous d'autres formes de sous-traitance, dont aujourd'hui nous payons le prix cash pour les relations dans le système de corruption de la Francalgerie et de l'intégration dans la mondialisation capitaliste libérale. Dans le cas tunisien, le système de substitution veut faire porter le chapeau de la dérive dictatoriale à un seul homme, Benali en fuite….. C'est oublie que c'est ce système qui l'a maintenu de différentes manières au pouvoir et que ce système est toujours la…. Alors danger que les tunisiens restent mobilises et vigilants. Et il faut que les algériens et les algériennes soient vigilants a bien comprendre ces phénomènes car on va y être confronte… sur le rôle historique du FLN depuis l'indépendance a nos jours… «Le Ras le bol et la révolte naturelle » du peuple algérien, ne sont pas que lie à la seule cherté de la vie et a la seule hausse des prix (même si on veut le cantonner dans la seule préservation alimentaire du seul tube digestif en étant de simples consommateurs des produits de subsistance et de la vie….), mais surtout ce « ras le bol sociale populaire » est du au seul « système de gouvernance militaro-affairiste organise en mafia» en place, et qui n'assume même pas sa responsabilité dans une « juste répartition ou une équitable redistribution » des richesses nationales produites en Algérie, par et pour les Algériens et les Algériennes. Nous espérons que « ce ras le bol et cette révolte » soient le fruit d'une indignation populaire massive a bientôt venir, qui seule pourra faire tomber la tyrannie de ce système de gouvernance. Gouvernance qui se fait dans la plus grande nébuleuse, dans la plus grande opacité…. Et nous nous posons la question du qui est qui, sans réponse pour diluer les responsabilités…. Le flou organise et perpétue. Adosses a l'histoire et surtout face a l'avenir… il n'y a qu'une seule alternative, qu'une seule issue….. la révolte…. !!! Ce système rentier, de prébendes et d'exploitation outrancière, de vols et de corruptions, n'est lui que producteur de misère, de pauvreté et d'injustice malgré les richesses que procurent les ressources « NATURELLES » du pays… (Les autres « activités industrielles de productions » ne sont que des activités commerciales d'importations qui offrent un champ vaste et libre au favoritisme au vol et à la corruption…), mais qui supporte a cote de lui, aussi, comme une soupape de sécurité, une économie parallèle « le trabendo – force de survivance populaire». Car, la catastrophe réelle de l'Algérie, c'est que ce système militaro-affairiste nihiliste mis en place des le coup d'état de juin 1965, (après les flottements de la révolution « romantique » de juillet 1962 a juin 1965) – qui tire son fond idéologique et son essence du colonialisme francais (se libérer du colonialisme juste pour remplacer les français sans changer en quoique ce soit le système d'exploitation) – qui a mis à bat le système « révolutionnaire » qui a libère le pays des les premiers jours de son indépendance, en dehors de la prébende, du vol et de la corruption rentiere, (grâce aux richesses naturelles que sont le pétrole, le gaz et les minéraux rares… ), n'a pas et surtout jamais de sa vie produit un seul grain de blé, actions de progrès, ni de solutions sociales épanouissantes….aux algériens et aux algériennes)… Le seul pétrole, le seul gaz, le seul or, et le seul uranium très convoites, sur lesquels il ne faut que se baisser pour les recueillir, sont la seule source « naturelle » de revenus du pays… – (sans aucunes productions de revenus de la force de travail que constituent les algériens et les algériennes…), – la main mise sur ce pécule a permit de mettre en place un système généralise d'importations sources de pouvoirs et sources de corruption. Ce système est gere par la sphère supérieur de l'armée et par une camarilla « d'hommes d'affaires gravitant autour d'eux et qui sont les pretes-noms de tous ces militaires supérieurs », par le jeu des alliances familiales, claniques, régionales et maintenant religieuses, et qui forment « la mafia algérienne », dont le nombre et l'espace de pouvoir de nuisance augmentent au moment des grandes révoltes populaires….. Dans le droit fil du système sectaire et de solidarité régionale, (d'ou l'intérêt aussi pour eux d'avoir des révoltes sporadiques, si ils ne les fomentent pas eux-mêmes tout simplement….par la gestion de la pénurie des produits de première nécessites…). Ne poussant les algériens et les algériennes qu'a être que des « consommateurs et des tubes digestifs très dévots » sans conscience, en dehors de toutes activités politiques – sources de revendications – se contentant d'acheter la violence pour la paix sociale par la seule corruption des ventres et des esprits. C'est de cette situation, dont les algériens et les algériennes souffrent en silence et en complète déréliction partisane, (sauf par des révoltes sporadiques et incontrôlées « de la faim », pour soulager cette souffrance), et ou qu'ils soient dans le monde, ils ne veulent plus…. 2* / L'Etat du « Mouvement Démocratique » : Tout en sachant que le prix du sang à payer qui est impose, pour progresser « un peu », est dramatiquement cher et surtout sanglant….. Cette méthode et cette psychologie de la guerre est héritée de la lutte de libération nationale…. On fait une répression féroce dans le cadre de « l'état de guerre permanent » pour que la prochaine revendication les gens réfléchisse aussi sur le prix sanglant à payer…. Les exemples historiques : « si on manifeste ils vont tires et on va beaucoup mourir La manifestation pacifique, joyeuse et festive pour fêter la libération de la France, qui devait prendre en compte la libération de l'Algérie du joug colonial et qui termina pour les algériens et les algériennes dans le sang le 8 mai 1945Dans le droit fil La grève générale de février 57 qui amena la bataille d'Alger, l'extermination du FLN/ALN a Alger le CNRA pousse a l'exil et les rafles des citoyens algériens et algériennes Le Mouvement Démocratique est héritier de cette histoire…..violente et sanglante. Car tout changement ou toute amélioration ne se fait que dans la violence, comme une fatalité obligatoire. Cette sensation a toujours été impose aux algériens et aux algériennes par tous les exploiteurs qui se sont succèdes depuis la nuit des temps. Tu veux la liberté, révolte-toi… !!!! Oui la violence est une imposition institutionnelle, en continuité du colonialisme francais, dans la vie de tous les jours… pour tous les actes citoyens de la vie quotidienne. « L'Algérie Démocratique » d'aujourd'hui est le seul pays au monde ou un élu peut être démit de ses fonctions immédiatement par un zélé administratif nomme…. par décret. Le décret « royalement républicain » du Prince du moment est supérieur au vote de l'expression universelle du citoyen et de la citoyenne pour déterminer le pouvoir… (Exemple : un Wali désigne destitue un Maire élu de commune, selon son bon vouloir….). Comme le militaire est supérieur au civil en Algérie Démocratique, depuis le coup d'état au GPRA de Boumedienne en 1958, a nos jours…. La lutte de libération nationale, menant à l'indépendance du pays, mais pas du peuple, n'aura été qu'ephemere…. Alors devant cette « vie imposée aux algériens et aux algériennes », aujourd'hui on assiste sur tous les écrans de télévisions de la planète, par le fait de la mondialisation, à la manifestation algérienne du désespoir, au marquage et l'exposition d'une société popularisée dans son strict dénuement. Face a cette « société paupérisée », l'armée est omnipotente… elle est le seul corps et la seule structure « uni-forme » en Algérie. « L'opposition démocratique » est laminée, par la volonté systématique, les actes répressifs et les coups de butoirs répètes de ce régime politique impose et pérennise, depuis juin 1965 …. Le corps politique « des démocrates » est disséminé, explosé, individualisé, en déréliction patente, sans espoirs et pour certains grands pans « vieillissant, et en voie de disparition… ». Des partis « croupions » ont bien été créé, ils ne sont que croupions…. Alors, c'est qui cette opposition démocratique en Algérie…. ??? Pour aller vite et nous économiser sans se lancer dans les polémiques perenisees stériles…. Le leadership politique crédible réel, c'est Hocine Ait Ahmed et le FFS et Mouloud Hamrouche et les Réformateurs… Hocine Ait Ahmed dont le parti FFS est use et mine de l'intérieur par les services de la DRS omniprésente, avec en plus un Hocine Ait Ahmed en vieux combattant fatigue de tant de résistance et d'opposition, mais qui garde sa combativité pour la démocratie dans sa revendication pour sortir l'Algérie de l'ornière par la réunion d'une Assemblée Générale Constituante…., Hocine Ait Ahmed tarde à passer le flambeau de la direction du Parti a une équipe qui serait « propre et compétente » qui lui survivrai…. Ce qui le met en trouble permanent en interne et le FFS en externe, regarde comme tous le monde les révoltes…..sporadiques qui passent sans en être l'initiateur (ce n'est pas une critique c'est un constat….). Mouloud Hamrouche, est en « résidence surveillée a son domicile », empêche politiquement depuis le coup d ‘état de juin 1991, il est intellectuellement combatif pour dénoncer la supercherie permanente des élections perpétues pour combler les vides institutionnelles…. Mais en réalité, il est dans le « wait & see » face au système qui gouverne…. Observateur critique quand il est sollicite « sur commande » par les médias, il est une force de propositions permanentes et avance des solutions qui s'appuis sur l'état démocratique de droit et de la loi fondamentale… « L'opposition dite islamique »en Algérie, apparue en force « commandée » a la faveur de la révolte populaire d'octobre 1988 – révolte ou des algériens ont tue des algériens en nombre – est une opposition qui est un montage/manipulation des services de la police politique SM du système de juin65 diront certains), opposition qui est partie sur des chemins aventureux en 1990/1991 pour imposer un état islamique en Algérie , et qui est aujourd'hui réduite militairement et politiquement, a cause de la guerre civile de 1992 a 2002 qu'ils ont imposes au peuple algérien, guerre violemment coûteuse et/ou par la jeu de la corruption (achat de la paix sociale) gage de la repentance, a la faveur de l'offre de la réconciliation nationale aux seuls égares islamistes, ils ont depuis une « autre existence et une autre nature » pour l'instant politiquement indescriptible… (Dernièrement Ali Belhadj, qui était librement en résidence surveillée depuis quelques années, s'est présente dans une manifestation revendicative, il a été arrête et inculpe d'atteinte a la suretee de l'Etat, il est de nouveau en prison…..) La « Caste Militaro-affairiste » de l'Armée Algérienne, seule dominante sans partage du pouvoir en Algérie, n'a jamais accepte a cote d'elle, une opposition politique réelle a son système rentier et a toujours gere son espace par la prébende et la corruption. Elle a sous son aile protectrice « des civils compatissants a sa solde » pour gère les affaires courantes administratives du pays…sous couvert de son passe « révolutionnaire » garant du « nationalisme patriotique » de la lutte de libération nationale. Cette caste est formée de deux ensembles « les décideurs » et « les exécuteurs » Les Décideurs se sont l'ensemble de la caste des généraux des 4 corps d'armée Terre, Air Mer DRS….montage hérité du colonialisme français dans sa structure comme dans l'origine de ses hommes…. Les exécuteurs la DRS….. Petit moment oblige de rappel historique : La légitimité du pouvoir en Algérie n'est pas venue, en continuité historique du FLN/ALN – GPRA représentant de la lutte nationale, comme en était en droit de s'y attendre le peuple algérien qui sortait de la souffrance d'une guerre violente et dramatique de libération de 7ans impose par le colonialisme francais…, Mais elle est venue du MALG-militaire en dissidence du FLN/ALN-GPRA, ancêtre de la SM qui détenait le pouvoir réel pendant la lutte de libération, qui elle-même est l'ancêtre de la DRS…. Cette dissidence a ne pas respecter « les règles constitutionnelles de la lutte de libération nationale» édictées par le congre de la Soummam en 1956, ou le fondamental était que « le civil était supérieur au militaire » a entraîne la discorde des le premier jour de l'indépendance jusqu'au mois de juin 1965 – ou le coup d'état militaire s'imposa définitivement au pouvoir civil et a la société… La légitimité du pouvoir algérien n'est pas venue et ne s'est pas impose à tous, des urnes du vote populaires universel de juillet 1962 mais de l'imposition de la force « militaire » par la violence dans la société algérienne de juin 1965. Toutes contestations de cet état de fait subissait la répression immédiate et sans appel, jusqu'à la disparition même totale, après être aussi passe par les fourches codines de la torture… On n'énumérera pas les différents soulèvements qui ont jalonnes l'histoire du pays depuis juin1965, la résistance de 1973/75 jusqu'à octobre 88… Mais le soulèvement d'octobre 88 est particulièrement important car lass la répression fut pour la première fois sanglante de manière criminelle – ou des « algériens » ont donnes l'ordre de tires sur des algériens dans le but de tuer… et que des algériens ont tires et tues des algériens…. [Cette phase de notre histoire ne restera pas impunie dans le cadre de l'Etat de Droit ou les responsabilités seront décantées et légalement punis…]. Pour répondre a la révolte d'Octobre 1988, et après une tentative idiote de sursaut du système Etat/SM de se succéder a lui-même – par l'entremise du gouvernement Merbah, imminent chef de la SM – le Président Chadli dans un sursaut de « dignité » face a sa responsabilité dans les massacres (des algériens ont tires sur d'autres algériens) des révoltes populaires (140 morts), qui découlent de la haute trahison passible des tribunaux pénaux….., a nomme un nouveau premier ministre qui a présente un nouveau gouvernement dont le programme a été l'ouverture politique du champ total du pays a la démocratie et a l'état de droit… qui voulait simplement dire la remise du pouvoir de gestion de la vie du pays au civil et aux lois….. Ce fut surtout un moment d'espoir du gouvernement Hamrouche « des reformes 1989 – 1991 »…. Ce fut un moment fort d'ouverture democratique pour la société, ou l'état de droit et la loi populaire universelle semblaient revenir au pouvoir, qui semblait s'imposer de nouveau….l'engouement nous cachait sa fragilité….. Mais ces reformes et cette structuration d'une démocratie populaire a oblige l'Armée à faire encore un nouveau coup d'état pour re-imposer sa nouvelle méthode de gestion du pays par la guerre civile et tous ses attribut… en particulier l'état de siège permanent….. Et les « délégations virtuelles ». Obligée constitutionnellement, la SM/DRS monte a la faveur de la « guerre et paix civile de 1992 a 2002 » la mise en action d'un logiciel bien particulier qui se définie en deux grands pôles , la constitutions et la mise en place de : * une « opposition politique virtuelle » a sa main en octroyant des partis clé en main [tous moyens même financiers et même avec militants de départ ‘déjà forme idéologiquement'], juxtaposée a un modèle de pouvoir violent et délétère pour ceux qui ne respecteraient pas « LEURS règles du jeu démocratique qu'ils vendent a l'occident et aux gogos qui y croient », modèle et méthode politique que la DRS impose a la société pour la soumettre ; Elle se soumet et elle est soumise…. * une « méthode économique originale » – dans le cadre de la petite redistribution contrôlée et octroyée d'une partie de l'invention et de la richesse nationale: « le trabendisme – commerce virtuel » ou « le commerçant » a l'impression d'être dans un espace de liberté pour se développer, et s'enrichir tout en étant sous bonne garde [contrôle du marche des importations] et bonne escorte [actionnariat a 50/50 entre le trabendiste et son agent-traitant de la DRS] puisque cette méthode échelonnée, (cette masse de soi-disant affairistes n'a pas accès aux vrais marches de l'import/import ni aux matières premières qui sont une chasse « généralement » gardée), qui n'est que corruption est un systeme de dépendance total qui fonctionne comme une soupape de sécurité toujours contrôlée….. Et ce « trabendisme dont se vantent les algériens », d'une efficacité des plus critiquables, n'est pas donnée a tous le monde… cette fange de la jeune population acquise a ce systeme, dépend totalement de lui en vie et en mort…. Le marché du container….. dans le vaste monde…. Cette méthode policée est reconnue par le FMI et la Banque Mondiale et par l'OMC…. C'est vous dire….. Au vu de cette structuration, et au su de ce seul espace politique algérien impose par le système, il est clair que nous sommes dans une méthode politique ou il est impossible de se mouvoir sans se compromettre, c'est inscrit….. On est entrain de « NOUS » reprocher le manque flagrant de méthode, et notre absence des luttes…. Ou vont les algériens, ou sont les algériens…. ?????? [A qui, bien sur, on n'arrête pas de dire nationalement et internationalement qu'il est un grand pays, un grand peuple, une grande nation]…. Il est une vérité vraie et réelle, c'est qu'il est sans méthode politique par la sape Armée/FLN qui l'a démobilisé pour longtemps pour ne produire que des seules luttes sporadiques spontanées… Ce régime ne tient pas par miracle…. Il est organisé en laboratoires qui sortent des logiciels d'exploitations et de gestions sociales et économiques qui font que la société algérienne dans son entièreté est soumise… Des élites « éduquées et formées » participent a ce travail, d'analyse de réflexion et de production d'un organe d'exploitation globale qui est dirige par Toufik MEDIENNE au profit d'une élite militaire organisée en mafia…. L'Armée-mafia…. Un état militaro-affairiste qui obstrue et empêche l'état de droit…. Le travail de sape et de laminage orchestre par la DRS /Toufik MEDIENNE sur tous les partis a fonctionne…. (Et nos Partis, bien ou mauvais, sont incapables de sortir une coordination de luttes cohérentes et homogènes …. Car ils sont malades de la bleuite « action apprise avec l'armée française coloniale » et de la paranoïa…… L'histoire doit servir de ressourcement…. Et l'histoire coloniale algérienne est riche d'enseignement… elle doit nous aider à surmonter notre déréliction devant les événements « passifs » algériens….. Quelle honte… !!!!! Le mot « solidarité » – qui a amené à l'indépendance de l'Algérie contre la grande France coloniale – n'a plus court dans notre pays….. Des dizaines de mort dans un endroit sans que les autres endroits du pays ne se révoltent par « solidarité » …. Des algériens tuent d'autres algériens et le pays est là passif, sans réactions, sans condamnations…… le hoummisme, le clanisme, le tribalisme, le régionalisme marchent et ils vont bien et il tue la société algérienne à petit feu… (Çà c'était avant Mellouzza, y'a el khaoua…)……. Mais dans quel pays sommes-nous…. ?????? Donc, pour l'instant, il ne faut plus focaliser sur les Partis d'ou ne viendra jamais le changement…. La « Transition en bon ordre » – vœux pieux d'OBAMA : Le Changement ne viendra que de l'organisation citoyenne…. Qui aura elle aussi ses laboratoires d'analyses, de réflexions et de production pour une organisation civile dans la démocratie et le droit…. En tous cas le droit de les revendiquer…… C'est le SMIG politique que nous devons à notre peuple et a notre pays…. Nous somme en 2011 et nous ne sommes plus en 1993…. Mort de Boudiaf – moment essai de normalisation des institutions qui n'a pas marche, et moment ou on a cherché a creer le parti populaire par le haut…. Par décret….on s'est casse la gueule….. et depuis, la situation a largement changé. Le champ politique est complètement remodelé… Nous avons besoin d'une phase d'analyse « autocritique de notre situation actuelle » et de voir la ou nous avons faillit pour que cette situation de « luttes sporadiques spontanées qui ne mènent a rien » perdurent. Avant une phase d'organisation démocratique citoyenne souhaitée à venir. Les divergences il faut les assumer, et pouvoir se parler dans une mesure très large… Nous sommes toujours dans la polémique FFS/RCD stérile, alors que pour nous ce sont les seuls partis de l'opposition organise face au FLN/Armée…. Mais ils sont improductifs sauf de participer a « la course a l'échalote, son discours politique est de seulement critiquer le systeme seul dans un comportement « café du commerce »…. Et cette polémique qui s'est avérée stérile, nous la trimbalons depuis 20ans sans en voir la fin ou peut être la mort de vieillesse de Hocine Ait Ahmed et Saïd SAADI… On en a marre et il ne devient plus important à nos esprits…. Nous devons dépasser ces clivages partisans claniques d'un autre temps….. « barakate…!!! »…. Alors doit encore perdre du temps à essayer de les rabibocher ou doit-on partir a une nouvelle perspective…. ???? L'Organisation citoyenne….. !!!! Pour une « organisation citoyenne libre et démocratique », Pour se faire, Avons-nous au moins un « petit groupe » préservé et qui est à même de mener ce travail de regroupement des énergies pour produire, et agir politiquement pour la construction de la « perspectives sociales et politiques » en Algérie….. Car, nous devons analyser la société algérienne dans son ensemble (jeunes, femmes, chômeurs, travailleurs, ouvriers, paysans, classes sociales, élites, institutions, l'école, l'université, la sante…) pour la comprendre d'abord, et tirer et lister toutes ses forces et ses faiblesses, ses travers et ses manquements et en parler sans tabou pour en tirer une véritable essence sociale. Ce sont des problèmes aigus et gravissimes dans la situation actuelle, autant sociale, qu'économique, de régression culturelle totale du peuple algérien. N'est-il qu'un tube digestif… ???? Les maitres mots qui nous sont imposes sont analyses, réflexions, et propositions. Seule la clarté et la transparence (contre l'opacité ambiante), sans rejet ni des uns ni des autres, aux regards de nos seules valeurs, sont fécondes de réussite et pour trouver la convergence voulues….. Le manifeste des libertés et de la démocratie en Algérie, qui est le passage premier,…. Et non pas se retrouver toujours a des élections truquées et sans perspectives…. Il faut refuser les élections quel quelles soient « sous état d'urgence ou de siège » et ce refus est un gage de la maturité politique prochaine de l'algérien et de l'algérienne, avant la grève générale pacifique « rideaux fermes et population cloitrée dans leurs maisons pour éviter les morts »…. Car cette Armée/DRS est prête à tirer et à tuer…. Elle l'a déjà fait… !!!! La construction de la maturité politique est la… et non pas dans la perpétuation des seules « polémiques politiques »….qui sont contreproductives et qui participent de la « dépolitisation complète » des algériens et des algériennes. Il « NOUS » faut imposer au pouvoir militaro-affairiste une autre méthode de lutte politique. Il est nécessaire de laisser un renouvellement se mettre en place, par le simple fait que 70% de la population a moins de 30ans et qu'elle est complètement dépolitisée, et que ceux qui sont « politises » dans le pouvoir et dans « l'opposition » sont sexagénaires et plus…..donc plus proche de la mort que de la vie…. Le « NOUS » serait donc l'opposition algérienne citoyenne si nous la faisons exister…. ????? Alors dans ce cas, nous serions : « Pour une transition violente ou pour une transition pacifique »… ??? C'est vraie qu'il est entrain de s'agréger lentement en Algérie, une Coordination Nationale des Luttes pour l'Instauration de la Démocratie en Algérie ( CNLIDA )… ou encore la Coordination nationale pour le changement et la démocratie….. ( CNCD)…. en sommes-nous un prolongement en France….. ?????, * mais par contre on doit tout faire pour pousser les gens les organisations a rejoindre cette coordination, en levant toutes les suspicions traditionnelles (SM ou pas SM)…. ensuite est-ce qu'on lui donne la tache d'être le représentant et le négociateur avec le pouvoir actuel a Alger….. ou comme moi je le pense, comme il faut un repère, une visibilité, un chef charismatique et puisqu'au dernière nouvelle nous n'en avons pas…. alors construisons-le en le demandant et en en donnant la tache aux frères AIT AHMED ET HAMROUCHE, qui seront fortement soutenus par « la Coordination Nationale des luttes », d'imposer comme seule transition politique « la transition pacifique » et de négocier cette transition pacifique et politique avec Toufik MEDIENE DRS et LE CHEF D'ETAT MAJOR DE TOUTES LES ARMEES DIRECTEMENT…. Je l'écris et je le dis…. Bouteflika et son gouvernement houdra foug aa'cha…..donc a zapper Sami BOUMENDJEL Paris le, 10 janvier 2011 Lectures: