Monsieur Pellizari avait jeté un pavé dans la mare, en 2008, en relayant les révélations d'un diplomate de haut rang qui avaiit exercé à Alger, et qui lui avait confié, à la condition de rester dans l'anonymat, que les moines trappistes avaient été assassinés par des militaires algériens. Voir article: Moines