Entre autres catégories de futurs jeûneurs ou dé-jeûneurs, ou moitié-moitié, il y en a deux que je préfère. Il y a ceux qui adorent le Ramadhan mais qui perdent leur sang-froid dès les premières minutes de carême, devenant agressifs, vulgaires, et j'en passe. Et il y a ceux qui abhorrent le Ramadhan justement parce qu'il condense toute la nervaza d'une année en trente malheureux jours, mais qui le vivent cool et sereins comme des soufis. A part ça, tous reconnaissent que c'est le mois de la piété et de la solidarité. On s'en rendra compte dès le premier jour. A. T. [email protected]