Son pacifisme n'aurait pas déplu à Gandhi ou à Martin Luther King. Au-delà des dénominations (Hirak, révolution du sourire…) ou du bilan des acquis, les manifestations du vendredi, depuis le 22 février dernier, ont révélé le sens de la créativité artistique des Algériens, surtout la jeunesse. Cela pourrait être la base sur laquelle va se bâtir l'Algérie de demain, à partir d'aujourd'hui-même. Dans les mentalités, la rupture avec «l'ancien système» est totale. klitou lebled ya essaraqine est aujourd'hui la «chanson» préférée des enfants algériens. K. B. [email protected]