En réponse à l'article paru sur le journal Le Soir d'Algérie le 18 août 2019 intitulé «Un laboratoire hors-la-loi», il y a lieu d'apporter les éclaircissements suivants : «La création de l'Agence nationale des produits pharmaceutiques répond à un besoin de régulation, d'homologation et de contrôle de qualité des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, ceci à l'instar de tous les pays du monde. - Les missions de contrôle de qualité de ces produits pharmaceutiques qui incombent actuellement au Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques, seront transférées à l'Agence nationale des produits pharmaceutiques dans un délai d'une année à compter de la date de publication du décret n° 19-190 du 3 juillet 2019, publié au Journal officiel le 7 juillet 2019 (voir l'article 31 dudit décret). - En attendant l'accomplissement des procédures du transfert des biens, moyens, personnels et droits du Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques à l'Agence nationale des produits pharmaceutiques ; conformément à l'article 31 qui prévoit une période transitoire d'une année. Le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques (LNCPP) continue à exercer ses missions normalement.»