L'entraîneur français du CS Constantine, Denis Lavagne, ne démissionnera pas de son poste. Recruté en décembre de l'année dernière pour remplacer le départ d'Abdelkader Amrani, l'ancien directeur sportif du Havre AC ne compte pas partir de son plein gré. Si la direction du CSC veut le dégommer, elle doit honorer le contrat qui lie les deux parties jusqu'en juin 2020. A savoir payer un minimum de 200 000 euros représentant dix mensualités de l'entraîneur français recruté par l'ENTP sous les recommandations de l'ex-manager du CSC, Tarek Arama, limogé l'été dernier suite au scandale de l'affaire du match CSC-USMA que le président de la JSK, Chérif Mellal, suspectait d'être «arrangé». L'actuel manager Adlène Boukhedana qui avait annoncé son intention de quitter ses fonctions à l'issue du match de championnat face au CABBA (2-2) non sans exiger le départ de l'entraîneur français devrait présenter son rapport à la société qui parraine le club de Cirta dont les résultats laissent à désirer tant sur le plan local qu'international. Le retour au pays de la délégation devrait éclairer davantage l'opinion sportive constantinoise sur les suites que donnera l'ENTP à ce «dossier». M. B
