Le Parlement européen, en votant une résolution sur l'Algérie, a fait, visiblement, le jeu des partisans de l'élection présidentielle. Oui, les réactions négatives à cette résolution conduisent nombre de personnes à aller vers l'élection. Qui l'eût cru ? La fameuse suspicion d'ingérence, habilement exploitée évidemment par qui de droit, fait le reste. Comme quoi ! A. T. [email protected]