Après avoir obtenu la résiliation de son contrat avec Al-Shabab Saoudien, le défenseur algérien Djamel Benlamri reste à l'écoute des offres qui lui parviennent des clubs européens, d'Egypte et des pays du Golfe. Son manager Madjid Bouamer, qui révèle que son client doit rejoindre l'Arabie Saoudite dans quelques jours, assure que les contacts les plus concrets lui sont parvenus d'Arabie Saoudite et des Emirats arabes unis. Démentant tout approche avec Ahli Djeddah, l'agent de Benlamri confie que la seconde équipe phare de la ville sainte, Al-Ittihad, ne fait pas partie des clubs qui veulent s'attacher les services de son poulain. Belaïli peut rester à Djeddah Alors que tout portait à croire que l'avenir de Youcef Belaïli n'était plus au sein du Ahli de Djeddah, plutôt en Egypte (Ahly du Caire) ou en Europe, le père de l'international algérien et non moins manager Hafid Belaïli a déclaré à une chaîne TV saoudienne que son enfant peut rester à Djeddah «où il doit honorer son contrat avec le club du Ahli». Un changement de cap qui a étonné les observateurs habitués aux manœuvres du joueur et de son agent particulier lesquels se sont annoncés tantôt chez les Egyptiens d'Al-Ahly du Caire tantôt chez l'ES Tunis si ce n'est dans un club européen, principalement en Turquie. En fait, les Belaïli espéraient des offres financières intéressantes qui ne viennent pas en ces temps de crise économique planétaire induite par le Covid-19 qui a impacté l'industrie du football. Pour expliquer cette volte-face, notamment le ratage du vol spécial qui devait ramener le champion d'Afrique vers l'Arabie Saoudite, les Belaïli ont invoqué un «cas de force majeure» justifié par un certificat médical. M. B.