L'APC de Hennaya vient de bénéficier d'une enveloppe de trois milliards de centimes pour lancer la première phase d'un important programme de réhabilitation des axes routiers, des trottoirs et l'aménagement des aires de jeux, ainsi que l'éclairage public. Ces travaux cibleront dans un premier temps le boulevard de la Liberté, l'artère principale de la ville, Hay Khemisti et les environs de la gare. Selon le chef de l'exécutif communal, les travaux d'utilité publique, comme les trottoirs. Les passages seront revêtus de béton imprimé de bonne qualité. Ces travaux ont été confiés à une entreprise privée, qui dispose d'une grande expérience dans ce domaine. Le béton imprimé s'est avéré comme la solution idoine la moins coûteuse, que la traditionnelle pose de carrelage, qui se détache dès les premières averses, d'autant plus, qu'il est facile à entretenir et ne présente aucun danger pour les piétons, il est antidérapant. À Hay Khemisti, c'est la grande artère principale, qui longe la zone d'activités qui verra l'aménagement d'un nouvel espace de loisirs pour enfants avec l' installation de toboggans. D'autre part , une importante opération de remise en valeur de la conduite d'alimentation en eau potable, sur une longueur de 5 km, a été prise en charge et livrée par les services de la commune. Dans le même registre, des travaux sont en cours pour assurer l'éclairage public au niveau de la RN 22. Les choses ont l'air d'évoluer positivement pour redonner à Hennaya un visage un peu plus attrayant. Il faut aussi noter que la réalisation de certaines infrastructures importantes, accusent des retards, tel que les travaux du nouveau siège de l'APC, qui sont à l'arrêt depuis 2016. Bien sûr, il y a le problème de pollution qui reste un véritable cauchemar pour les Hennaouis. Il s'agit de l'oued «Gallien» qui empeste l'atmosphère à mille lieues. Une situation qui représente un danger pour l'environnement et pour la santé publique, qui du reste, a été signalé depuis des années. Dans les années 70, cette petite ville était un véritable lieu d'évasion dominicale. Elle peut le redevenir, pour peu que les élus et l'ensemble de la société civile y mettent un peu de bonne volonté. M. Zenasni