Parmi les sanctions prononcées jeudi dernier par la CD/LFP, celle liée à l'affaire du match ASAM-PAC à l'issue duquel les dirigeants de l'équipe de la capitale avaient dénoncé le comportement des dirigeants du club m'lili, en particulier MM. Sid et Herkat accusés d'avoir non seulement d'intimidations et d'agressions mais aussi d'avoir demandé que le PAC facilite la tâche à leur équipe. En fin de compte, l'ASAM a été «blanchie» de toutes ses accusations. Et c'est les «meneurs» du Paradou qui en prennent pour leur grade. Aussi, l'entraîneur en chef Si Tahar Chérif El-Ouazzani a écopé de 2 matchs de suspension ferme (interdiction du terrain et des vestiaires) à compter du 11 juillet, pour «mauvais comportement». De son côté, l'entraîneur des gardiens Mohamed Zemmouli, a été suspendu pour un mois ferme (interdiction du terrain et des vestiaires) à compter du 11 juillet, plus une amende de 30 000 dinars pour «propos injurieux». Dans l'autre affaire reprise de la 30e journée concernant le match ESS-CRB, le directeur général de l'ES Sétif Fahd Halfaya a écopé de 2 matchs de suspension ferme (interdiction du terrain et des vestiaires) à partir du 11 juillet, pour «mauvais comportement envers joueur». L'ESS s'est vu infliger une amende de 300.000 dinars pour «non-respect du protocole sanitaire» et «présence du personnel du club dans le tunnel menant aux vestiaires». Pour sa part, le défenseur central du CR Belouizdad Sofiane Bouchar a écopé de 2 matchs de suspension ferme, plus 20 000 d'amende, pour «propos injurieux». D'autres sanctions ont été prononcées par la commission de discipline de la LFP. D'abord, à l'encontre du portier de l'US Biskra Nafaâ Aloui a pris 4 matchs, dont 1 avec sursis, plus 40 000 dinars d'amende pour «faute grossière et comportement antisportif». Deux clubs, le CA Bordj-Bou-Arreridj et l'USM Bel-Abbès ont écopé respectivement de 200 000 et 50 000 dinars d'amende pour «absence d'entraîneur en chef sur la main courante» et «tableau d'affichage défectueux».