C'est ce qui ressort de notre petite curiosité suite à une information donnée et qui fait cas d'un protocole d'accord, ou «mémorandum d'entente entre la FAT et son homologue croate»... signé tout récemment (période de novembre-décembre 2021). Ce dernier a été précédé, selon la source, par une discussion tenue au mois de juillet lors d'un voyage du président de cette fédération accompagné de son secrétaire général à Zagreb. Si certaines initiatives sont à encourager pour le plus grand bien du sport national et pour une réelle émancipation de certaines disciplines, la logique voudrait que l'on commence tout d'abord par initier leurs bases. Nous avons tout récemment applaudi l'initiative de la DJS d'Alger qui a consisté en l'affectation du complexe de Ben-Aknoun au profit de la ligue de wilaya, à même d'assurer une pratique de proximité et de masse ; sachant la corrélation entre cette dernière et la pratique de performance. Aujourd'hui, il est à se poser des questions quant à l'opportunité de ces initiatives au plan international, la discipline n'existant pas pour le moment sur le territoire national. Car sans la disponibilité de ces licences en question, ces «cartes d'identité tennistiques nationales», il n'y a point de «citoyennes tenniswomen» ou de «citoyens tennismen». CAMI B.