�Actuellement le taux d�avancement des travaux de la centrale �lectrique de D�raouch sise dans la commune de Berrihane est de 70%. La r�alisation de cette usine de production d��nergie �lectrique a �t� confi�e au leader am�ricain et mondial dans ce domaine, General Electric�, selon le directeur de l��nergie et des mines de la wilaya. �Elle aura une capacit� de 1 200 m�gawatts. C�est une centrale thermo-�lectrique � cycle combin� (vapeur, gaz)�, a-t-il indiqu�, ajoutant que �la centrale �lectrique de D�raouch entrera en production durant le 1er semestre 2012. 300 emplois permanents seront cr�es. Actuellement, au cours de cette phase de r�alisation, le ma�tre d�ouvrage et chef de file du projet emploie 1 300 travailleurs, repr�sentant 14 entreprises nationales et internationales sous traitantes �. Le directeur ne manquera pas de faire noter que �cet acquis est de premi�re importance pour la politique et la s�curit� �nerg�tique du pays. En effet, la centrale permettra un meilleur approvisionnement du march� local dont les besoins sont sans cesse en hausse et l�exportation du surplus d��nergie dans le cadre des interconnexions internationaux. Aussi, ce projet aura-t-il ind�niablement une incidence directe sur l�am�lioration de la qualit� du service fourni par la Sonelgaz � ses clients. Le d�lestage sera r�volu�. Abordant le programme du gaz de ville, notre interlocuteur mart�lera qu��� travers les communes de la wilaya, 35 000 foyers sont raccord�s au r�seau de distribution, soit un taux de 46%. Nous tablons, pour l�actuel programme quinquennal, sur un taux de p�n�tration de 86%, soit l��quivalent de 53 000 foyers. La priorit� sera accord� � la da�ra de Bouhadjar et les �tudes ont d�j� commenc�. Concernant l��lectrification rurale, le directeur, euphorique, signalera que �98% des foyers sont reli�s au r�seau �lectrique. Nous proc�dons � des extension conjoncturelles, selon les demandes des citoyens�. Dans un autre registre, il notera que �dans le cadre de l�am�lioration constante du service public et pour parer � tout impr�vu, la Sonelgaz s�est engag� � construire 3 postes d��nergie au niveau des communes de Bouteldja (220/60 kV), Dr�an (60/30 kV) et El-Tarf (60/30 kV). Le choix des terrains pour l�implantation des postes a �t� effectu�, il y a quelques jours, reste le lancement des travaux. Par ailleurs, le poste de la commune de Ben M�Hidi vient d��tre achev� et entrera en fonctionnement au d�but de l�ann�e 2012�. Abordant le secteur des mines, le DEM admettra sans fioritures ni d�magogie que ce secteur est � la tra�ne au niveau de la wilaya, et qu�il m�rite un coup de fouet et une attention particulaire. �La wilaya dispose de deux mines. Ce qui est en soi d�risoire vis-�-vis du potentiel existant. Nous avons besoin d�autres carri�res et de sabli�res pour accompagner l�effort de construction de l�Etat et faciliter la t�che aux op�rateurs �conomiques vers�s dans le BTPH. Un nouveau zoning du parc national d�El- Kala est un imp�ratif de premier plan pour desserrer l��tau sur toutes les activit�s �conomiques de la wilaya�, a-t-il conclu. Daoud Allam Le chef-lieu de wilaya d�pourvu de vespasiennes Il est insens�, d�plorable et incompr�hensible que le chef-lieu de wilaya soit d�pourvu de vespasiennes. En effet, � l�exception de la gare routi�re, aucun quartier, boulevard ou rue, ne dispose d�urinoirs publics. Cette situation oblige beaucoup de personnes pris par un besoin urgent � se soulager en bordure des routes ou sur les murs des maisons. Les plus chanceux le le font dans les toilettes des caf�s et autres restaurants. Certes, le spectacle de voir des gens uriner n�importe o� est ahurissant et montre un manque flagrant de civisme et d��ducation, mais il appartient, avant de se h�ter dans des jugements gratuits, aux responsables locaux de mettre en place des vespasiennes au niveau des endroits n�vralgiques de la ville. Ces toilettes publiques cr�eront de l�emploi. C�est en somme une prestation qui se paye au prix fort. Un cr�neau juteux. Cette commodit� est plus que n�cessaire dans une ville qui se cherche, se structure doucement mais s�rement.