Le coup de starter de la traditionnelle campagne de circoncision collective, organis�e chaque ann�e � l�approche de l�A�d au niveau des EPH par le comit� de wilaya du Croissant-Rouge alg�rien en collaboration avec la DSP et en partenariat avec les APC au profit des enfants d�munis, a �t� donn� mardi � Azazga. L�op�ration, qui prendra fin aujourd�hui, six secteurs sanitaires : Azazga, Tizi Ouzou, Larba� Nath Irathen, A�n El Hammam, Boghni et Tigzirt, cela alors que selon M. A�t-Hamadouche, des cliniques priv�es se sont manifest�es pour proposer gracieusement leurs services. Des bienfaiteurs et des anonymes ont int�gr� l�op�ration en faisant des dons multiformes, en plus de la participation du CRA qui a dot� les plus d�munis de tenues traditionnelles. Le C-RA ne tarit pas d��loges � l��gard des chirurgiens et des personnels des h�pitaux qui, � l�image de l�EPH d�Azazga qui a r�quisitionn� 6 salles au profit de 60 circoncis ce mardi, se sont mobilis�s pour la r�ussite de l�op�ration men�e conform�ment aux instructions de la tutelle qui refuse que le moindre incident vienne entacher un rite s�culaire qui permet � l�enfant d�acc�der � la vie d�adulte par cette petite chirurgie. C�est dans ce contexte que des associations ont �t� orient�es vers le CRA pour r�ussir ces op�rations attendues avec ferveur par les familles invit�es � f�ter l��v�nement dans un cadre convivial et festif qui fera date dans les annales familiales. S. Hammoum Marche des anciens rappel�s du service national Plusieurs centaines de rappel�s du service national durant la p�riode allant de 1995 � 1999, issus des 21 da�ras de la wilaya de Tizi Ouzou, ont march�, hier, de l�ancienne gare des fourgons, situ�e � l�entr�e Est de la ville, au si�ge de la wilaya. Les protestataires se disent mal r�compens�s pour leur engagement pour la d�fense de la patrie contre le terrorisme. Ils affirment qu�aucune des promesses qui leur ont �t� faites lors de leur d�mobilisation en 1999 par les autorit�s militaires n�a �t� tenue. Nombre d�entre eux n�ont pas retrouv� les emplois qu�ils avaient avant d��tre rappel�s sous les drapeaux. Aucune indemnit� ne leur a �t� octroy�e, alors que beaucoup parmi eux tra�nent encore des traumatismes psychiques et m�me des blessures, selon ces rappel�s qui disent avoir �t� affect�s dans les zones les plus dangereuses et envoy�s aux avant-postes dans les maquis de Chlef, Jijel, A�n Defla, Bouira et Blida. Les protestataires, qui d�plorent le refus du wali de les recevoir, se sont dispers�s dans le calme, toute en promettant de revenir une autre fois � la charge.