Les repreneurs de la formation blid�enne, d�sign�s par le nom de comit� des sages, ne semblaient pas chauds, lundi soir, quant � une prise en main s�rieuse de l�USMB, et ce, au vu des contraintes financi�res qui accablent le club de la Mitidja. Ces derniers, r�unis par Mohamed Ouch�ne, wali de Blida, autour d�un d�ner au club hippique, ont �tal�, de but en blanc, les probl�mes qui les ont emp�ch�s � poursuivre le chemin de la relance des Vert et Blanc, quand bien m�me le premier responsable de l�ex�cutif leur a fait savoir qu�il est le facilitateur du dialogue et que sa mission est de rapprocher l�industriel Tlem�ani Nabil � la gestion du club. Toutefois, celui-ci avouera � l�assistance que sa volont� � reprendre l��quipe blid�enne s�est effiloch�e avec la d�couverte, chez le notaire d�sign� � �tablir les actes de transferts de passation des pouvoirs, d�une ardoise de plus de 17 milliards de centimes relative au non-paiement des imp�ts durant les dix derni�res ann�es. Ce � quoi, Za�m Mohamed niera cette dette et expliquera que cette derni�re ne concerne pas la SPA USMB mais plut�t le CSA (club sportif amateur), lequel, dira-t-il, appartient � l�Etat. C�est ainsi que Za�m exhibera l�extrait de r�le avec la mention n�ant, tout en affirmant qu�il s�est toujours engag� � remettre l�USMB avec une situation financi�re saine. Devant le constat n�gatif quant � la relance de l��quipe phare de la Mitidja, le wali dira qu�il n�est pas de son devoir d�imposer quoi que ce soit mais que les portes restent ouvertes � toute personne qui s�engage � sauver le club. �Nous avons fait ce qu�on a pu faire et continuerons � �uvrer pour que l�USMB ne tombe pas�, soutiendra Mohamed Ouch�ne. Pour Mahfoud Ouzri, ancien joueur de la formation blid�enne, les 350 adh�rents du club des industriels et entrepreneurs de la Mitidja, Ciemi, doivent s�unir et mettre la main dans la poche pour sauver l��quipe de la ville des Roses. Les invit�s se sont s�par�s sans qu�une solution soit trouv�e � la situation du onze blid�en.