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D�NON�ANT L�ANARCHIE DANS LES MARCH�S ET LA FLAMB�E DES PRIX L�Association de la protection de l�activit� commerciale exige le d�part des ministres du Commerce et de l�Agriculture
L�Association de la protection de l�activit� commerciale d�nonce l��absence� de dialogue avec les autorit�s locales notamment la wilaya, les da�ras et les 53 communes de la capitale. Selon son pr�sident, Hafaifa Ayache, toutes les portes leur sont ferm�es malgr� leur agr�ment. �Nous �uvrons sur le terrain depuis 9 ans. Nous avons un programme pour lutter et �radiquer le march� informel et r�organiser le march� l�gal mais on ne nous laisse pas travailler. La preuve : nous avons eu une autorisation pour tenir la conf�rence d�aujourd�hui (mercredi) � la biblioth�que communale de Bab El Oued Rachid-Kouache, sign�e par le pr�sident d�APC et personne n�est venu l�ouvrir. C�est du sabotage�, at- il affirm� hier � Alger. D�ailleurs, poursuit-il : �Les rares r�unions tenues avec les autorit�s locales n�ont pas �t� sanctionn�es par un P-V de r�union.� Pour lui, cela est synonyme d��absence de confiance�. Toutefois, il estime que les autorit�s locales exercent une sorte de �s�gr�gation� entre les diff�rentes associations activant dans le secteur commercial. Il cite ainsi l�Union g�n�rale des commer�ants et artisans alg�riens (UGCAA), qui, dit-il, �b�n�ficie d�un traitement de faveur et est trait�e diff�remment par les responsables�. �Les autorit�s locales refusent de tenir des r�unions avec notre association car nous exigeons toujours des comptes aux diff�rents responsables�. Imputant l�anarchie qui r�gne dans les march�s, au minist�re du Commerce et la flamb�e des prix des fruits, l�gumes et viandes au minist�re de l�Agriculture, le pr�sident de l�Association de la protection de l�activit� commerciale exige le d�part des deux ministres concern�s. Evoquant le programme des 100 locaux par commune, il pr�cisera que nombre d�entre eux sont construits dans des r�gions isol�es o� aucune activit� commerciale n�est exerc�e. Quant � ceux mieux situ�s, �ils ont �t� d�tourn�s par des responsables locaux�, dit-il.