Par le biais du quotidien Le Soir d'Alg�rie auquel je r�serve respect et consid�ration, � toute son �quipe pour cet �tat d'esprit social vis-�- vis des assur�s sociaux actifs comme inactifs. Enfin qui sont tous class�s avec le statut d'exclus sociaux. Pour cette bonne raison et pour une politique sociale dans son sens noble. Monsieur le ministre, honorables autorit�s comp�tentes, il faut savoir que la politique sociale ne se limite pas uniquement � la carte Chifa ou aux listes de m�dicaments. Compte tenu de ce qui pr�c�de, je r�sume ce qui suit : je me soucie comme tous les citoyens retrait�s et travailleurs salari�s sur un sujet aussi important que les mutuelles qui gonflent leurs caisses par les cotisations et abandonnent et la Cnas et les assur�s ; comme des citrons, on les presse puis on les jette, sans la moindre contribution pour un avantage de retraite compl�mentaire et pour moins de charges financi�res pour la Caisse de retraite. Outre ce sujet et ce laisser-aller, et encore ces cadres du minist�re du Travail, de l'Emploi et de la S�curit� sociale, qui comme son nom l�indique, sa politique fondamentale est de s�curiser ses assur�s sociaux. H�las, on les voit distraits et sans le moindre souci pour am�liorer les prestations d'ordre social. A cela s'ajoute la plus importante question, celle de la fameuse caisse du Fonds national de p�r�quation des �uvres sociales (FNPOS). Cette caisse en toute connaissance de cause a �t� cr��e � l'�poque du pr�sident Chadli Bendjedid. Elle puise un fort pourcentage sur les cotisations des assur�s sociaux aupr�s des services de recouvrement de la Cnas. A lire le statut de ce FNPOS, le but de son budget colossal est de construire des logements pour la masse des salari�s et accorder des pr�ts de construction pour les assur�s sociaux, et en dernier, des aides financi�res se limitent � hauteur de 500 000 DA. Malheureusement, bon nombre de citoyens assur�s m�connaissent le FNPOS. �Tout se r�percute sur les mis�rables retrait�s� Ce qui favorise ce dernier � rester dans l'ombre et la discr�tion totale pour g�rer des milliards � leur guise et comme bon leur semble, du moment qu'� ce jour, il n�y a eu aucun b�n�ficiaire de pr�t ou d'aide. La question : comment sont d�pens�s ces milliards, comme le cas des caisses mutuelles ? Mais cela refl�te sans doute les difficult�s financi�res que rencontrent la Cnas et la CNR et le tout se r�percute sur les mis�rables retrait�s. Pour une meilleure lumi�re sur mon sujet que j'expose aux concitoyens, il est absolument n�cessaire de demander ses droits, pas plus que ces droits, mais tous ses droits. En esp�rant bien entendu que les d�cideurs en la mati�re usent de leur pouvoir et de leur volont� pour un avenir meilleur et pour de meilleures prestations afin d'y rem�dier le plus vite possible � cette crise sociale sans fondements r�els. Il est difficile d'admettre qu'un pays aussi vaste et aussi riche de ses ressources naturelles se trouve confront� � toutes les crises. Oui, o� va l'Alg�rie ? Encore une fois, pour une politique dans son sens le plus noble. Merci pour l'�coute et un nouveau dynamisme sans trop de distraction, situation politique nationale et internationale oblige. Le temps n'est plus � la critique acerbe ou � la pol�mique, mais � une politique s�rieuse, stricte et rigoureuse.