SIDI BEL-ABB�S Premi�re Journ�e nationale de pharmacie hospitali�re Dimanche dernier, quelque 250 pharmaciens hospitalo-universitaires et pharmaciens hospitaliers venus de tout le territoire national ont particip� au niveau de l�auditorium de l�universit� Djillali Liab�s de Sidi Bel-Abb�s, � la premi�re Journ�e nationale de la pharmacie hospitali�re. Plusieurs th�mes �taient inscrits � l�ordre du jour. Le premier a port� sur l�exercice de la pharmacie hospitali�re en Alg�rie, avec deux sous-th�mes, �le r�le et la mission des pharmaciens hospitaliers � et �l�activit� pharmaceutique hospitali�re � la lumi�re du syst�me de sant�. Le deuxi�me th�me a concern� la bioth�rapie et th�rapeutique innovante. Le troisi�me, sur la place du pharmacien dans la prise en charge de l�insuffisance r�nale chronique et le quatri�me sur l�antibioth�rapie en milieu hospitalier. Le docteur Achouri, dans son intervention, a indiqu� que cette journ�e �tait consid�r�e comme celle d�une formation continue pour permettre aux pharmaciens d��tre impr�gn�s des exercices des �tablissements pharmaceutiques. Elle permettra aussi l�enrichissement de leurs connaissances dans divers domaines scientifiques. Cette journ�e a �t� organis�e, dira-il, dans le but d'initier les pharmaciens et �tudiants en pharmacie � la prise en charge du patient. Elle avait aussi pour objectif, la rationalisation des d�penses en mati�re de sant�. Le professeur Toumi Houari d�Oran quant � lui, a planch� sur la r�vision de la l�gislation r�gissant le m�dicament g�n�rique mise en application depuis 1998 ajoutant qu�il avait d�j� fait une �tude sur le terrain avec les d�ductions sur le degr� d�acceptation de ce genre de m�dicaments g�n�riques par le patient et son m�decin. Le professeur Toumi a ainsi recommand� l�ing�rence des autorit�s et des dirigeants pour une meilleure protection de l�utilisateur et du consommateur. A la fin de la journ�e, des d�bats ont �t� men�s pour mettre plus de lumi�re sur les th�mes abord�s. Il y a lieu de rappeler que cette journ�e a �t� organis�e par le d�partement de la pharmacie, en collaboration avec la Pharmacie centrale du CHU Hassani Abdelkader de Sidi Bel- Abb�s. A. M. ORAN Symposium sur les sciences sociales et les processus de changement Les travaux du symposium national �Alg�rie : penser le changement. Quels apports des sciences sociales et humaines ?� ont d�but�, hier dimanche, � Oran avec la participation de nombreux universitaires experts, venus de diff�rentes r�gions du pays pour d�battre, trois jours durant, de cette probl�matique. La s�ance d'ouverture s'est d�roul�e en pr�sence du directeur g�n�ral de la recherche scientifique au minist�re de l'Enseignement sup�rieur et de la Recherche scientifique, Abdelhamid Aouaragh. Cette rencontre, organis�e par le Crasc, en collaboration avec le Centre de recherche en �conomie appliqu�e pour le d�veloppement (Cread), l'Agence th�matique de Recherche en sciences et technologies (ATRST) et l'Universit� Mentouri de Constantine�, vise � contribuer � la r�flexion sur le changement, avec une d�marche se situant dans la sph�re de la connaissance et de l'�clairage strictement scientifique�, ont indiqu� les organisateurs. �Les sciences sociales permettent d'�tudier les processus de changement, leurs effets, les freins aux changements, le r�le des structures et acteurs dans l'identification des situations variables dans le temps et selon les contextes�, ont-ils expliqu�, ajoutant que plusieurs th�matiques seront d�battues lors de ce symposium national. APS Saisie de 23,36 quintaux de kif La police a mis la main, samedi dernier, sur une importante quantit� de kif. En tout, 23,36 quintaux de kif, repr�sentant la valeur de 60 milliards de centimes, ont �t� saisis. C�est ce qu�a r�v�l�, hier, le chef de S�ret� de la wilaya d�Oran, lors d�un point de presse, en compagnie du chef de la police judiciaire. C�est suite � une enqu�te men�e depuis plus de deux mois, que cette op�ration a pu aboutir, a-t-il pr�cis�. Samedi dernier, � 18h30, un camion a �t� intercept� � A�n El Be�da, ainsi qu�une Renault 21. Les deux v�hicules contenaient la quantit� de kif en question, d�une qualit� sup�rieure assure-ton, et qui �tait destin�e � �tre export�e. Sept portables ont, par ailleurs, �t� saisis, et la police a proc�d� � l�arrestation de trois individus qui activaient dans le trafic de stup�fiants. Il faut savoir que deux autres individus sont encore en fuite. En marge de la conf�rence, le chef de S�ret� a fait �galement part de l�arrestation de deux Subsahariens, qui activaient dans le trafic de faux billets. Ils ont �t� arr�t�s par les �l�ments de la 16e S�ret� urbaine, en plein centre-ville. Ils avaient en leur possession une mallette remplie de billets, pr�ts � �tre imprim�s. Le chef de la S�ret� n�en a pas r�v�l� davantage sur cette affaire, car, a-t-il pr�cis� : �L�enqu�te est encore en cours.� Amel Bentolba MOSTAGANEM Un repas chaud pour les sans-abris C�est gr�ce � une �quipe fort dynamique et surtout aux b�n�voles que l�association Dir el kheir wa nsah, devenue un exemple � Mostaganem, que les sans-abris ont b�n�fici� d�un repas chaud. Cette association de bienfaisance, qui active dans la discr�tion et l�anonymat, m�rite bien des �gards et de la consid�ration. L�op�ration baptis�e �Un repas chaud pour un SDF� a �t� lanc�e samedi dernier � 20 heures et a dur� deux jours. Les membres de Dir el kheir wa nsah ainsi que des b�n�voles ont sillonn� les lieux fr�quent�s par les SDF. Ils ont trouv� recroquevill�es une vingtaine de personnes de cette frange vuln�rable de la soci�t� emmitoufl�es dans un semblant de couverture o�, d�s la tomb�e de la nuit, elles se pr�cipitent � la recherche de cartons et d�un coin chaud, � proximit� d�un commissariat, de magasins et de mosqu�es, pour y passer la nuit. Une chorba, des boureks, du riz au poulet, un dessert (banane, orange et dattes), du pain et de l�eau min�rale ont constitu� le menu de ce d�ner. En d�couvrant ce repas, les SDF ont eu du mal � cacher leur �motion car habitu�s aux rudesses de la rue. Ils ont �t� profond�ment touch�s par ce geste. Il y a eu des �changes extraordinaires, nous r�v�leront des �tudiants membres de cette association, en �coutant les histoires de ces SDF frapp�s par les al�as de la vie. Par ces temps froids et glacials, la distribution de repas chauds ne suffit pas pour assurer la survie � cette frange de la soci�t�. A. Bensadok RELIZANE Le relogement des six familles restantes de Reha�lia tarde � se faire En d�pit des promesses faites pour le relogement des familles habitant la localit� de Reha�lia, relevant de la commune de Belacel-Bouzegza, rattach�e � la da�ra d�El Matmar, dans la wilaya de Relizane, force est de constater que leur situation n'a pas chang� d'un iota. En effet, l'une des personnes habitant cette localit� l'a qualifi�e de cit� de la honte. Face � un calvaire qui perdure depuis plus de six mois, les habitants de ces taudis lancent un appel de d�tresse aux services concern�s pour acc�l�rer l'op�ration de leur relogement dans des logements d�cents, qui tarde � avoir lieu, malgr� l'existence d'un programme de logements destin�s � la r�sorption de l'habitat pr�caire. A. Rahmane TISSEMSILT Solidarit� envers des familles n�cessiteuses Une centaine de couffins contenant des denr�es alimentaires et un lot d'effets vestimentaires pour enfants ont �t� distribu�s, samedi dernier, � des familles n�cessiteuses de la r�gion de Tissemsilt par l'association Kafel el yatim, a-t-on appris de ses repr�sentants. Cette action de solidarit� a cibl� les familles n�cessiteuses r�sidant dans des zones �loign�es caract�ris�es par des reliefs accident�s et un froid rigoureux en hiver, notamment dans les communes de Khemisti, Youssoufia, Bordj Emir Abdelkader, Layoune et Theniet El Had, ont pr�cis� les m�mes sources. L'association Kafel el yatim poursuivra cette action caritative au courant 2013 au profit des familles n�cessiteuses et des orphelins de la wilaya, qui b�n�ficieront de denr�es alimentaires et de v�tements chauds, en plus d'activit�s culturelles, �ducatives et sportives. A court terme, il est pr�vu des aides num�raires � des familles n�cessiteuses, notamment celles qui prennent en charge des enfants orphelins, a-t-on ajout�.