SIDI BEL-ABB�S / CONCOURS DES AGENTS D�ADMINISTRATION DE L��DUCATION Des dizaines de candidats convoqu�s n��taient pas sur les listes Des dizaines de candidats convoqu�s pour subir les �preuves du concours des agents de l�administration de l��ducation au niveau de la Facult� des sciences de l�Universit� de Sidi Bel-Abb�s ont eu dans la journ�e du 22 d�cembre, premier jour de l�examen, l�am�re surprise de se voir refoul�s �tant donn� que leurs noms ne figuraient pas sur les listes affich�es au niveau des salles. Selon ces malheureux candidats, ils avaient d�pos� des dossiers pour concourir aux postes d�agent d�administration de l��ducation, et pay� les frais inh�rents, avant de recevoir des convocations en bonne et due forme pour subir les �preuves, mais � leur grande surprise, leurs noms ne figuraient nulle part sur les listes alors que d�autres beaucoup plus chanceux puisque leurs noms �taient �tal�s en noir sur les listes, ont rejoint leurs salles pour concourir. Les malheureux candidats, d�j� rong�s, par le ch�mage depuis longtemps, ont vu l�occasion de concourir leur �chapper cette ann�e, malgr� leur bonne volont�. A. M. A�N-TEMOUCHENT Sensibilisation contre la drogue : �c'est l'affaire de tous� L'association Amel a organis�, cette semaine, une journ�e de sensibilisation contre la consommation de la drogue et sur ses effets n�fastes dans la soci�t�, au sein de l��tablissement p�nitentiaire situ� dans le quartier populaire Moulay-Mustapha d�A�n-T�mouchent. Trente-cinq pensionnaires de cette maison de r��ducation ont suivi avec soin, les diff�rentes communications pr�sent�es par des professeurs, des m�decins et des imams. Le pr�sident de l�association Amel, M. Fellouh, a proc�d� � la projection d'une vid�o sur la toxicomanie et ses effets nocifs sur la sant�. Le Dr Bouterfas, m�decin l�giste a expliqu� l�aspect m�dicol�gal. Selon l'orateur, un toxicomane n�est pas un malade mental selon la loi. La loi punit plus lourdement le toxicomane qu'un individu normal. De son c�t�, le psychologue Bouhadjela Fouad a abord� les causes et les cons�quences n�fastes des toxicomanes sur la soci�t�. Enfin, l�imam inspecteur M. Belhadj, a ax� son intervention sur la pr�vention et la sensibilisation qui commenceront � partir de la famille, l��cole et la mosqu�e. Tout en citant des versets coraniques qui interdisent l�usage des drogues, l'imam dira que la lutte contre la drogue est une mission qui incombe � toute la soci�t� : famille, �cole, pouvoirs publics et services de s�curit�. Un riche d�bat s'en est suivi o� les pensionnaires de la maison d'arr�t ont pos� librement leurs questions relatives au sujet et �cout� avec attention les r�ponses des responsables concern�s. S. B. RELIZANE Les prix du poulet flambent La flamb�e des prix des viandes blanches � Relizane est li�e � la r�gression de l'ordre de 16 % enregistr�e de la production de cette ann�e par rapport � l'an dernier, selon les statistiques fournies par les services agricoles. Depuis quelques jours, les prix du poulet ne cessent d�augmenter � Relizane, d�passant la barre des 350 DA le kilogramme, un prix jamais �gal� m�me en p�riode hivernale r�put�e pour une forte hausse des prix. En effet, de 320 DA, le prix est pass� � 350 DA et pourrait encore continuer sa hausse, selon des aviculteurs avec qui nous nous sommes entretenus. Ainsi, il est indiqu� que seulement pr�s de 80 000 poulets de chair ont �t� abattus depuis le lancement de la campagne actuelle, du fait que seuls les �leveurs de volaille recens�s par la Direction des services agricoles de la wilaya de Relizane exercent d�une fa�on r�guli�re, alors que le reste intervient dans les activit�s de la fili�re qu�occasionnellement. Et l�abattage de plus de 8 millions de dindes et de cailles n�a pas pes� sur le cours des prix du poulet qui restent �lev�s en cette fin d�ann�e alors qu�habituellement, la situation est toute autre. M�me le prix des �ufs a d�pass� les 10 DA l�unit� malgr� une production de plus de 10 000 000 unit�s. Les aviculteurs avancent de leur c�t� la hausse des prix des aliments pour expliquer cette flamb�e ou la cessation de leur activit�. A- Rahmane ORAN Plus de 12 000 lignes t�l�phoniques suspendues ont �t� r�tablies Plus de 12.000 lignes t�l�phoniques fixes suspendues pour d�faut de paiement ont �t� r�activ�es � Oran, a-t-on appris dimanche aupr�s de la d�l�gation r�gionale d�Oran du Groupe Alg�rie T�l�com (AT). �Plus de 12.000 clients d�Oran sur pr�s de 30.000 dont les lignes ont �t� suspendues pour non-paiement, ont b�n�fici� de la r�activation de leurs lignes dans le cadre d'une op�ration de recouvrement des cr�ances intitul�e Sehelli, ayant d�but� en 2010�, a-t-on indiqu�. Les abonn�s ont b�n�fici� �galement d�un �ch�ancier pour payer leurs dettes, a ajout� la m�me source qui pr�cise que �les mauvais payeurs� sont constitu�s d�entreprises aussi bien publiques que priv�es. �Gr�ce � cette offre (Sehelli), nous avons pu r�cup�rer d�anciens clients et les r�sultats obtenus sont satisfaisants�, s'est f�licit� la d�l�gation r�gionale d�Oran du Groupe AT. Destin�e exclusivement aux abonn�s dont la ligne a �t� suspendue pour nonpaiement de factures depuis les trois derniers bimestres, cette offre donne la possibilit� de reprendre la ligne et d'avoir acc�s � un abonnement ADSL d�s le r�glement du premier versement de l��ch�ancier de paiement approuv� par le client. En plus de la facilit� de paiement de ses dettes qui lui a �t� accord�e, l'abonn� disposera d�un modem gratuit pour l�acc�s � l'ADSL de 512 kilo bits ou de 1 m�gabit, a-t-on encore ajout�. (APS) B�CHAR Plusieurs expositions sur l�artisanat et les m�tiers traditionnels Plusieurs expositions d�di�es � l�artisanat et aux m�tiers traditionnels sont actuellement organis�es � travers plusieurs r�gions touristiques de la wilaya de Bechar, a-t-on appris dimanche aupr�s du pr�sident de la chambre de l�artisanat et des m�tiers (CAM). Ces expositions, initi�es dans le cadre des activit�s d�animation de la saison touristique dans le sud, regroupant une cinquantaine d�artisans des r�gions de Bechar, Beni-Abbes, Taghit, El Ouata, Tamtert et Igli, constituent un moyen de faire d�couvrir aux visiteurs et autres touristes en s�jour, dans cette r�gion, les diff�rentes facettes de l�artisanat traditionnel et des m�tiers dans la wilaya, a indiqu� le m�me responsable. Ces manifestations sont aussi un espace ouvert � la commercialisation des produits et objets r�alis�s par les artisans, qui peuvent � travers ces expositions, faire conna�tre leurs r�alisations dans des domaines li�s � la dinanderie, poterie, confection de kheima, vannerie, cuir, couture des habits traditionnels, tapisserie locale et l'art du sablage, a pr�cis� M. Mansour Kadaoui. Les objets et les pi�ces de l�artisanat d�art notamment les tableaux de l�art de sablage, les objets d�coratifs et les instruments de musique traditionnelle � l�instar du Guembri, restent les produits les plus pris�s par les touristes, a-t-il ajout�. L�artisanat d�art recense actuellement 314 artisans sur les 1.964 inscrits au registre de la CAM, a-t-il signal�. Cette manifestation qui refl�te la culture locale et la cr�ativit� artistique des artisans de la r�gion, constitue un apport au d�veloppement du secteur du tourisme � Bechar, a soulign� le pr�sident de la chambre de l�artisanat et des m�tiers. (APS) NA�MA Poursuivis par la justice, deux condamn�s en cavale arr�t�s Deux individus recherch�s par la justice, objet d�un mandat d�arr�t, ont �t� arr�t�s par les �l�ments de la s�curit� routi�re de la S�ret� de wilaya de Na�ma lors d�un barrage de routine. II s�agit de deux condamn�s en cavale, N. H. �g� de 51 ans, originaire de Tissemsilt, poursuivi depuis 2002 � l�issue d�une condamnation par le tribunal de Mohammadia (Mascara) et T. A. K., �g� de 32 ans, originaire de B�char, condamn� en 2007 par le tribunal de B�char pour �mission d�un ch�que sans provisions. Pr�sent�s devant le procureur pr�s du tribunal de Na�ma, N. H. a �t� mis sous mandat de d�p�t pour d�lit de fuite, alors que T. A. K., a �t� lib�r�, nous a-t-on indiqu�.