Par Kader Bakou Athmane Ariouet est à Boumerdès. Dans un jardin de la ville, une canne à la main, il ordonne aux gens qui passent : «Il ne faut pas tewassakh !» (il ne faut pas salir). En réalité, c'est un tableau peint par un artiste anonyme dans lequel on voit le célèbre comédien dans la peau de son personnage du film Le Clandestin de Benamar Bekhti. Son ordre aux gens qui viennent se reposer dans le jardin est inspiré de sa fameuse réplique dans ce film : Faut pas tekdheb ! (il ne faut pas mentir). Certains films paraissant «simples» ont une énorme influence sur la culture populaire en Algérie. K. B.
